Suisse: La classe moyenne, trop “riche” pour être aidée, s’essouffle à vue d’oeil

Christian Hofer: Bien entendu, l'article ne mentionne pas l'immense responsabilité de la socialiste Ruth Dreifuss dans le naufrage de la caisse maladie ni ses mensonges (elle promettait que les primes baisseraient avec la concurrence) et encore moins le fait qu'elle milite pour les migrants pendant que ses compatriotes sont à la limite de leurs ressources financières à cause d'elle. Pendant ce temps, autre socialiste s'attaque aujourd'hui aux rabais des franchises hautes.

Enfin, l'article cite hypocritement le problème des caisses maladie alors que les migrants pèsent de tout leur poids sur le budget de la santé, qu'ils bénéficient de toutes les prestations sans aucune entrave. La population suisse est désormais traitée de manière inférieure face à de parfaits inconnus débarquant des quatre coins du monde alors que ce sont les Suisses qui cotisent et font fonctionner le pays. Notre gouvernement nous traite comme des esclaves au service de l'immigration.

**********

 

La classe moyenne suisse a mal à son porte-monnaie, allégé par les impôts, les assurances ou encore les loyers, selon une enquête du Matin Dimanche qui met en lumière le traitement défavorable dont elle est victime.

"En Suisse, près d'un ménage sur quatre appartenant à la classe moyenne inférieure n'arrive pas à faire face à une dépense inattendue de 2500 francs", rapporte Le Matin Dimanche, s'appuyant sur une étude de l'Office fédéral de la statistique (OFS).

Car le rapport entre l'imposition et le niveau de prestations perçues est toujours en défaveur de la classe moyenne, qui représente 58,1% de la population, souligne l'enquête de l'hebdomadaire.

Et de citer notamment les hausses annuelles des primes d'assurance maladie, qui ont augmenté de 160% depuis l'introduction de la LaMal en 1996, et les loyers, qui ont grimpé de 20% entre 2000 et 2010.

(...)

Source et article complet

Le secret honteux de la classe moyenne américaine

Disposez-vous d’une réserve de 400 $ (350 euros) que vous pourriez utiliser immédiatement en cas d’urgence ? Même si une telle somme ne semble pas insurmontable, des chiffres récents de la Réserve fédérale américaine (FED) montrent que plus de 47% des Américains devraient emprunter ou vendre quelque chose pour disposer de cette somme.

Suite

Merci à Pierre H.