Le génie de l’extrême gauche pour empêcher la police de secourir la population

À Seattle, des « manifestants pacifiques » ont érigé un tas de neige de près d’un mètre de haut devant le garage du poste de police, pour empêcher les voitures de patrouille de répondre aux appels d’urgence pendant la tempête de neige samedi soir.

Pendant qu’une voiture tentait de franchir l’obstacle puis reculait pour ne pas prendre de risques, une douzaine d’anarchistes sautaient de joie, criaient et lançaient des boules de neige.

De échauffourées ont suivi quand la police s’est mise à pelleter la neige.

Le même poste de police avait dû être fermé pendant près d’un mois en juin pendant les émeutes de Black Lives Matter. Il avait été la cible de tentatives d’incendie en août et en septembre.

Article complet : Furious Seattle cops confront Antifa for barricading a police precinct with SNOW to stop patrol cars responding to emergency calls during storm (trad. auto.)

Résumé Cenator

Voir aussi : Antifa blocks Seattle police from responding to emergencies with snow barrier (trad. auto.)

Le mouvement raciste BLM, adulé par les gauchistes, s’attaque à présent aux Asiatiques

Célébrez le Mois de l'histoire des Noirs : un Asiatique de 91 ans agressé à Oakland

Un homme asiatique de 91 ans a été brutalement agressé dimanche dans le quartier chinois d'Oakland, juste devant le Centre de ressources asiatique. Le suspect a ensuite agressé un homme de 60 ans et une femme de 55 ans le même jour.

Selon la Chambre de commerce d'Oakland, il s'agit du vingtième vol ou agression cette année.

La police locale veut donner des sifflets aux citoyens pour se protéger de ces prédateurs. Mais ne faudrait-il pas penser aussi à des permis de port d'arme dissimulée et à des inculpations pour crimes de haine ?

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Cenator : Les journalistes suisses, qui ont gavé la population durant 6 mois avec le racisme systémique des Blancs envers les Noirs, vont-ils évoquer ne serait-ce qu'une seule fois le racisme anti-Blancs, anti-Jaunes des Noirs de BLM?

Mort de George Floyd: des milliers de manifestants dans plusieurs villes suisses

États-Unis : suicide d’un propriétaire de bar qui avait tué un homme en se défendant d’une foule #BlackLivesMatter

[...]

Un propriétaire de bar pro-Trump du Nebraska s’est suicidé après avoir été accusé d’avoir tué un émeutier noir qui avait vandalisé son commerce en mai.

[...]

Le 30 mai, Gardner avait été confronté et attaqué par une foule Black Lives Matter devant le bar Gardner’s Hive au milieu des protestations du Old Market, un quartier du centre d’Omaha. Lorsqu’il a été renversé au sol, Gardner a tiré deux coups de semonce pour tenter de se relever, ont indiqué les procureurs. Puis une échauffourée a éclaté avec James Scurlock, 22 ans, avant que Gardner ne tire sur Scurlock. L’émeutier noir avait à plusieurs reprises brisé les vitres du bar de Gardner et d’autres commerces voisins.

Selon l’Omaha World-Herald, Gardner s’est suicidé près de Portland, Oregon, une ville ravagée par plus de 100 jours de troubles.

Gardner avait été inculpé par un grand jury d’homicide involontaire, usage d’une arme à feu dans la commission d’un crime, tentative d’agression au premier degré et menaces terroristes. Le procureur du comté de Douglas, Don Kleine, avait d’abord jugé que l’affaire était un acte de légitime défense et avait décidé de ne pas poursuivre les charges.

Mais vendredi le juge de district James Gleason a signé un mandat d’arrêt affidavit, rédigé par Jeff Gassaway, inspecteur de la police d’Omaha à la retraite, l’un des enquêteurs.

Un GoFundMe avait été lancé pour collecter des fonds pour la défense de Gardner, mais la page a été supprimée par la plateforme de collecte de fonds. Sa famille et ses amis s’attendaient à ce que sa caution soit fixée à un million de dollars.

[...]

Article complet : https://www.fdesouche.com/2020/09/21/etats-unis-suicide-dun-proprietaire-de-bar-qui-avait-tue-un-homme-en-se-defendant-dune-foule-blacklivesmatter/

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Jake Gardner était un ancien Marine qui avait combattu en Irak. Il avait subi un traumatisme crânien et un syndrome post-traumatique.

Il s'est suicidé quelques heures avant de se rendre aux autorités.

Pourtant, son avocat était convaincu qu'il aurait pu prouver son innocence. Il a dénoncé un "procès par les médias" et a affirmé que la mort de M. Scurlock - bien que tragique et évitable - était le résultat de la légitime défense.

Il a ajouté que Gardner était terrorisé à l'idée de retourner à Omaha, ayant reçu des menaces de mort et parce qu'il ne pensait pas bénéficier d'un procès équitable.

Il se trouvait en Californie pendant les incendies et attendait de pouvoir rentrer chez lui en sécurité afin de coopérer avec la police.

Le procureur du comté de Douglas, Don Kleine, avait demandé au grand jury de revoir l'affaire après avoir été critiqué pour avoir négligé le passé prétendument raciste de Gardner.

[...]

Article complet et source des images : https://www.mirror.co.uk/news/us-news/ex-marine-accused-shooting-dead-22715227

Extraits Cenator

 

Kenosha (Wisconsin) : BLM et Antifa incendient le commerce d’un Blanc de 70 ans, puis le tabassent violemment. Que dit la RTS de ces événements?

Résultat: mâchoire cassée, plaies à recoudre, etc...

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Depuis le décès de George Floyd, la RTS ne parle JAMAIS des victimes blanches et accuse systématiquement Trump d’attiser la haine raciale.
Les victimes des émeutes raciales sont systématiquement les Noirs et les responsables du racisme sont exclusivement les Blancs.
Les pillages, les destructions, les exactions envers la police et la population civile par les Antifa et BLM sont tues, et la RTS prend la défense de ces gangs criminels.

Voici la présentation des émeutes de Kenosha par un professeur de sociologie, invité du Forum de la RTS le 26.08 2020 :

Nouvelle nuit d'émeutes aux Etats-Unis: interview du politologue Romain Huret

Interview de Romain Huret, historien spécialiste des Etats-Unis, directeur de recherche à l’Ecole de Hautes Etudes en Sciences Sociales à Paris

lien vers l’audio 15:10-17:40 : https://www.rts.ch/play/radio/forum/audio/nouvelle-nuit-demeutes-aux-etats-unis-interview-du-politologue-romain-huret?id=11541009

Raphaël Grand en direct de Kenosha (la séquence n’est pas disponible séparément) :

« Trump attise la violence et l’utilise à des fins politiques. »

« Trump  n'a pas d’intérêt immédiat à faire baisser les tensions. »

All Lives Matter ou seulement Black Lives Matter?

Un grand-père de 80 ans meurt après avoir été sauvagement battu dans les toilettes d'une épicerie ; une vidéo de surveillance conduit à l'arrestation d'un suspect

La famille de la victime pense qu'il a été tué pour son portefeuille

Le crime s'est déroulé à Lancaster, en Californie.

Roberto Flores Lopez a été retrouvé gravement battu dans les toilettes d'un supermarché après ce qui semblait être un vol en juillet. Selon sa famille, ses nombreuses blessures comprenaient "cinq côtes cassées, une orbite brisée, de multiples fractures faciales, [et] un traumatisme mental". La police a appréhendé un suspect après avoir obtenu une vidéo de surveillance.

La victime est morte mercredi, un mois après l'agression, mais on ne sait pas si c’est une conséquence de ses blessures.

Damaris Wade, 22 ans, a été accusé de tentative de meurtre, de violence contre personne âgée et de vol au second degré.

Ayant déjà été condamné précédemment pour vol, il risque 25 ans de prison.

Lopez avait 16 petits-enfants et un arrière-petit-fils.

Voici un reportage de la TV locale sur ce drame :

 

Source : 80-year-old grandfather dies after vicious beating in grocery store bathroom; surveillance video leads to suspect arrest - The Blaze
Résumé Cenator

A Londres, les snobs pro-Black Lives Matter détestent la classe ouvrière blanche

Un article de la "Salisbury review"


Avec l’aimable autorisation de ses auteurs, Causeur traduit et republie un article de la Salisbury review. Qu’ils en soient remerciés. 

Un samedi matin ensoleillé, sur l’artère principale de Chiswick, la file d’attente devant le supermarché Waitrose était baignée d’une lueur d’autosatisfaction. Des dizaines de citadins branchés, habillés de façon décontractée, manifestaient leur sens de la justice sociale en s’agenouillant, signe rituel de soutien à la campagne Black Lives Matter. L’espace d’un instant, ces jeunes à la mode ont pu se sentir noirs par procuration.

Protégés du salariat vs classes défavorisées 

Cette occasion de montrer les vertus de la classe moyenne progressiste ne tenait pas compte des personnes noires défavorisées, des jeunes élevés dans un monde de rap nihiliste, de skank abrutissant et de bandes violentes. Ils ne pensaient pas davantage aux victimes, pour la plupart noires, d’agressions au couteau et de fusillades. Jour après jour, le fossé entre les protégés du salariat et les classes défavorisées s’élargit.

Comme nous l’expliquons dans notre livre Morality, le véritable enjeu est le snobisme de classe. Selon Sohrab Ahmari, auteur de New Philistines (2016), les causes émancipatrices sont exploitées par la bourgeoisie pour préserver son hégémonie culturelle. Quelle est la classe sociale qui excelle le plus dans le respect du politiquement correct, sinon celle des cadres professionnels à ordinateurs portables ? Ses enfants apprennent le jargon des « questions de race, de sexe et de sexualité » dès leur plus jeune âge. On attend d’eux qu’ils le maîtrisent à leur entrée dans la vie active. Les ouvriers, quant à eux, sont les plus susceptibles de peiner avec cette langue. Même lorsqu’ils ont de bonnes intentions, ils n’y parviennent pas toujours, en raison de la complexité de la pensée critique raciale  et des acronymes LGBTQ. En renforçant l’obligation de parler et de penser correctement – et en augmentant du même coup les risques d’échec – la classe néolibérale a  mis en place un nouveau mécanisme répressif pour rester au sommet et maintenir les gueux au bas de l’échelle.

Les pauvres paieront la décarbonisation

Tout en gratifiant les habitants noirs des cités voisines d’une sympathie de façade, les snobs métropolitains détestent la classe ouvrière blanche. Les pauvres, toutes ethnies confondues, devront payer le prix de la décarbonisation exigée par les alarmistes du changement climatique, car ils sont appauvris par la main-d’œuvre bon marché qu’apporte la mondialisation. Mais c’est la classe ouvrière blanche qui souffre le plus dans une société où (comme l’a tweeté le 23 juin le professeur de littérature à  l’université de Cambridge Priyamvada Gopal « White lives don’t matter. As white lives ») la vie des blancs n’a pas d’importance. De plus en plus de données prouvent la chute des résultats scolaires et professionnels des petits blancs qui se trouvent du mauvais côté de la voie et qui ne sont pas BAME (acronyme britannique pour Black, Asian and Ethnic Minority).

Il s’agit sans doute de racisme inversé, comme l’exprime de manière flagrante l’insulte « gammon » (à l’origine, viande de porc de couleur vive) pour désigner les hommes blancs en colère qui n’apprécient pas l’immigration de masse ou le multiculturalisme.

Il y a quelque chose qui ne va pas dans l’attitude envers le groupe favorisé.  Alexander Pelling-Bruce a décrit dans The Spectator (4 juillet 2020) les récents rassemblements antiracistes comme une performance culturelle : « Certains des plus fervents partisans blancs du BLM sont les mêmes types de personnes cosmopolites qui ont précédemment défilé contre le Brexit. Puis, ils ont utilisé un conflit constitutionnel pour s’élever au-dessus de leurs concitoyens supposés paroissiaux. Aujourd’hui, ils affichent leur supériorité en attirant l’attention sur le péché de leur propre blancheur. »

S’excuser pour quelque chose qu’on n’a pas fait

A l’image du prince Harry qui s’est réveillé dans son manoir à Los Angeles, la culpabilité de la classe moyenne ne se transforme pas en autoflagellation chiite avec du sang qui coule dans les gouttières. S’excuser pour quelque chose qu’on n’a pas fait, en utilisant le mot « nous » alors qu’on veut vraiment dire « ils », est indolore et socialement gratifiant.  En se concentrant sur la race, ces philanthropes ne se critiquent pas eux-mêmes, mais s’adressent à leurs cibles habituelles : les patriotes à l’esprit traditionnel, plus bas dans la hiérarchie socio-culturelle.

Pourtant, les Noirs ordinaires ne veulent pas être les pions des politiques identitaires qui divisent. La racialisation de la société est régressive en ce qu’elle attribue des caractéristiques à chaque personne en fonction de son ethnicité. La race est un concept scientifiquement douteux. Ce n’est certainement pas un absolu, comme le confirment des millions d’enfants métis. Or, la couleur de la peau est dangereusement utilisée pour alimenter les tensions interraciales par ceux-là même qui se disent antiracistes.

Le mouvement Black Lives Matter est raciste non parce qu’il est anti-blanc (bien que certains militants aient des préjugés racistes flagrants), mais par son essentialisme mythologique. Un Louis Farrakhan de jeux vidéo décrit le privilège blanc comme s’il y avait quelque chose d’intrinsèquement supérieur chez les diables de Yakub (selon les croyances de la Nation de l’Islam, Yakub était un scientifique noir qui a vécu il y a 6 600 ans et a créé la race blanche) qui détiennent le pouvoir intrinsèque de ruiner la vie des Noirs. Cette idée est devenue courante, avec des rayons entiers de livres consacrés au « racisme systémique » à la lumière des protestations du BLM.

Le filon de l’esclavage

Il s’agit d’une forme paradoxale de suprémacisme blanc : le fantasme des militants antiracistes est si fort que la société doit « abolir la blancheur ». Les Blancs du mouvement woke croient apparemment que leur ascendance les rend impitoyablement efficaces, tout en considérant avec condescendance les autres ethnies comme Les tribus primitives mais nobles car en accord avec Mère Nature, comme le montre le National Geographic…

La classe moyenne libérale aimant défendre une bonne cause, puisque la brutalité policière britannique n’est pas suffisamment documentée, elle a trouvé dans l’esclavage un meilleur filon. Tout personnage historique ayant fait du commerce outre-mer aux XVIIe et XVIIIe siècles incarne un pays raciste, ses actions philanthropiques en étant conséquemment invalidés.

Les avantages économiques légués à l’intelligentsia progressiste sont entachés d’une faute morale, car le patrimoine familial s’appuie sur les bénéfices de l’esclavage. L’admettre est moins grossier que de glisser dans la conversation que le cousin d’un nobliau assiste à un dîner qu’on organise, mais cela va dans le même sens.

Marxisme culturel

Comme l’a fait remarquer Lionel Shriver (une femme de lettre et journaliste américaine qui vit au Royaume-Uni, soutient le Brexit et s’oppose à la discrimination positive), la honte crée un malaise, et non de la joie. Le racisme exprime le complexe du sauveur blanc. C’est l’attitude de ceux qui vont en Afrique pour sauver des indigènes sans défense, rendant en dernière instance les Blancs responsables de leur situation misérable. Avec leur mantra « le silence des blancs est de la violence », ces missionnaires post-modernes préconisent des réparations pour l’esclavage, comme si le noir devait vivre des restes de l’opulence blanche. Les citoyens noirs et asiatiques n’ont pas besoin que les propriétaires de maisons cossues affirment que leur vie compte.

Le déterminisme marxiste, par l’importance qu’il accorde à la structure plutôt qu’à la possibilité d’action des individus, est à l’origine de la transformation de George Floyd en héros populaire, dont le meurtre par un policier a suscité l’indignation mondiale. Dans l’esprit des partisans blancs du BLM, un homme noir qui s’est illustré dans la criminalité et la drogue ne fait que ce qu’on lui a imposé.  Autrement dit, le problème, c’est la police et les tribunaux, pas le délinquant. Une attitude similaire est adoptée à l’égard du programme Prevent visant à éloigner les jeunes musulmans du terrorisme. Bien sûr, les cambriolages à main armée et les attentats suicides sont un fléau pour la société, mais il y a des avantages à tirer pour ceux qui se rangent du côté d’un groupe de victimes patentées. Selon Inaya Folarin Iman, chroniqueuse et candidate malheureuse du parti pro-Brexit aux législatives de 2019, « il ne s’agit pas d’une continuation des luttes de libération du passé, mais d’un rejet de celles-ci ». Les progressistes de la classe moyenne ne croient pas en la capacité des « racisés » à agir. Cela traduit  un stéréotype grossier selon lequel les Noirs sont inférieurs.

Oublions la mélanine

Le racisme est indéniablement un problème, mais les choix de vie ne dépendent pas de la quantité de mélanine des uns et des autres.  Pour les enfants narcissiques de la classe moyenne, émettre ce message émancipateur est une police d’assurance psychologique contre les ogres qui marchent cagoulés dans les rues la nuit. Les stéréotypes grossiers ont la vie dure. L’appel à arrêter de financer la police, repris sur les réseaux sociaux, n’est destiné qu’aux quartiers noirs. Ce n’est certainement pas une autorisation pour cambrioler les avenues verdoyantes des beaux quartiers de Londres.

Ironiquement, la vague de Black Lives Matter a balayé un pays à une époque où le racisme était moins flagrant que jamais. Au lieu d’apprécier ces progrès,les agitateurs sont à l’affût de son retour en force.  Comme l’ont découvert des behaviouristes tels que Skinner, le comportement appris se renforce par des récompenses peu fréquentes. Le désir de montrer sa vertu en condamnant les autres est irrésistible et, dans une certaine mesure, crée une dépendance. Pour une dose de dopamine, les dénonciateurs regardent sous chaque pierre pour débusquer une trace de racisme. Les réseaux sociaux profitent de notre dépendance, à l’image de la boîte à tendances de Twitter qui encourage les utilisateurs à participer aux expressions de honte publique.

Or, si le racisme était facile à dénicher, l’effet de nouveauté s’estomperait rapidement. Ici, il ne s’agit pas vraiment de race. Car l’engouement de la classe moyenne pour le mouvement Black lives matter détourne l’attention des problèmes sociaux de nos villes, problèmes qui touchent de manière disproportionnée les communautés noires. Au lieu de gaspiller du temps et de l’argent dans des formations sur les préjugés inconscients, des audits sur les salaires des minorités et des comités sur le déboulonnage des statues, la société devrait se préoccuper davantage de la lutte contre la criminalité, les gangs, le trafic de drogue et la dépendance, ou du désespoir des familles sans père.

Peu d’ambition pour les minorités

Les progressistes libéraux ont des attentes aussi faibles que le professeur d’une école alternative des années 1970 qui oriente un noir bon élève vers le sport plutôt que vers la science. Gaspiller de l’argent dans les cours de graffitis est à l’opposé de l’approche ambitieuse qu’il faudrait adopter.

Sur Chiswick High Road, alors que les aspirants membres de l’élite métropolitaine s’en allaient avec suffisance, le gouvernement de Boris Johnson semblait impuissant face au saccage de notre patrimoine culturel par les vandales du BLM. Tout cela était très excitant pour un quartier chic de l’ouest de Londres, où les trois quarts des habitants ont voté contre le Brexit. L’allégeance à un super-État européen avec 27 autres pays à prédominance blanche avait un aspect néo-impérialiste : ce bloc protectionniste impose de lourds droits de douane sur les exportations africaines. Mais ce n’est pas grave car, de temps en temps, les bien-pensants offrent leurs vieux vêtements à Oxfam.

Retrouvez la version originale de l’article sur le site de la Salisbury review.

source: https://www.causeur.fr/a-londres-les-snobs-pro-black-lives-matter-detestent-la-classe-ouvriere-blanche-180256

Portland : la foule bat jusqu’au coma un conducteur qui a voulu empêcher un vol à main armée et crie « Black Lives Matter »

17 août 2020

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Portland, 81e jour d’émeutes. Un conducteur veut défendre une personne qui est la cible d’un vol à main armée. Il est agressé ainsi que sa compagne. Il tente de s’enfuir à bord de son véhicule mais en voulant éviter la foule il percute un lampadaire. Une rumeur l’accuse d’avoir voulu écraser volontairement des gens. On l’extrait du véhicule, on le force à s’asseoir, on fouille ses affaires. quelqu’un prend son élan et lui lance un coup de pied dans la tête : il perd instantanément connaissance. Pas de policiers en vue. Une ambulance l’emmène à l’hôpital.

La police est complètement débordée par les appels d’urgence pour des cas de vol, vandalisme, délit de fuite, cambriolage, non-respect d'une ordonnance de restriction, vol de voiture, harcèlement, et bien d’autres. Plus de 60 appels d’urgence sont restés sans réponse cette nuit-là.

Article entier : https://www.patriotproject.com/portland-mob-brutally-beats-driver-unconscious-shouts-black-lives-matter/

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Le mouvement BLM n’était pas différent avant les émeutes de 2020.

Exemple d’un vrai crime de haine raciste. À Chicago, un adolescent blanc handicapé est enlevé et torturé durant 48 heures, on le force même à boire de l’eau des toilettes. Ce crime est revendiqué par des Afro-Américains comme un acte contre Trump et contre les Blancs, filmé par ces richesses puis posté sur Facebook. Un policier de Chicago – ville Démocrate – a qualifié ce crime de « stupidité », excusant implicitement les Noirs car les gens font parfois des choses stupides.

Fox News, 5 janv. 2017

Résumés Cenator

Californie : elle efface deux lettres d’une inscription géante Black Lives Matter et est accusée de crime de haine

Deux résidents de Martinez, Californie, Nicole Anderson, 42 ans, et David Nelson, 53 ans, ont été accusés de « crime de haine », de « vandalisme » et de « possession de matériel servant à commettre des actes de vandalisme », pour avoir dégradé une inscription temporaire « Black Lives Matter ».

S’ils sont reconnus coupables, ils risquent jusqu'à un an de prison.

À l’occasion le la Fête nationale américaine, un autre résident de Martinez avait obtenu l’autorisation de la ville pour peindre sur le sol « Black Lives Matter » en grandes lettres jaunes [à l’image de ce qui s’était déjà fait à Washington sur une rue menant à la Maison Blanche et à New York devant la Tour Trump].

Le jour même, Nicole et David sont arrivés avec de la peinture et un rouleau et Nicole a commencé à peindre en noir les deux premières lettres du slogan.

[...]

Article entier : Woman Defaces BLM Mural, Gets Charged With HATE Crime! – Anthony Brian Logan

Autres vidéos ici et ici.

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Cenator : C'est la logique révolutionnaire marxiste: détruire les statues, la culture, n‘est pas un crime de haine, mais vouloir effacer un slogan raciste, qui impose une vision du monde où les vies "non-Noires" ne comptent pas, est devenu criminel!

Rappels :

Black Lives Matter : « Nous Sommes des Marxistes Aguerris » – Partie I

Black Lives Matters, ou une révolution néo-bolchévique ?

Ces personnes noires qui rejettent les mensonges de la mouvance “Black Lives Matter”

Un shérif noir : La «rage contre les policiers» est alimentée par «une idéologie haineuse appelée Black Lives Matter»

Royaume-Uni : l’ancien chef de la police de Londres s’en prend à Black Lives Matter, Sky News stoppe l’interview

Dossier : Black Lives Matter – Comment les globalistes manipulent la question raciale

Black Lives Matter: la lettre d’un professeur de Berkeley

Black Lives Matter means defund the police – ici à 18:00 :
Tucker: Black Lives Matter is now a political party

Une activiste de Black Lives Matter : les Blancs sont des sous-humains

Dans un tweet qui a refait surface récemment, Yusra Khogali, co-fondatrice de Black Lives Matter Toronto, s’est lancée dans des réflexions biologiques sur les Blancs :

« Les blancs ne sont pas  humains. En fait, la peau blanche est sous-humaine. »

« La mélanine permet à la peau noire de capter la lumière et de la retenir dans son mode mémoire, ce qui révèle que la blackness (noirceur, négritude) convertit la lumière en connaissance.

La mélanine communique directement avec l’énergie cosmique.

Voilà pourquoi l’indigénéité de toute l’humanité vient de la blackness.

Nous sommes les premiers et les plus forts de tous les humains et notre génétique est la base de toute l’humanité.

La mélanine est essentielle pour la réalisation efficiente de toutes les fonctions naturelles du corps.

C’EST POURQUOI

Les blancs sont des déficients génétiques récessifs. C’est factuel.

Les blancs ont besoin de la suprématie blanche comme mécanisme pour protéger leur survie en tant que peuple parce que tout ce qu’ils peuvent faire est de se produire eux-mêmes. Les noirs simplement par leurs gènes dominants sont capables de littéralement effacer la race blanche si nous en avions le pouvoir. »

Les blancs « ont une plus haute concentration d’inhibiteurs d’enzymes » qui répriment la production de mélanine, or la mélanine est importante pour une série de facultés comme des os solides, l’intelligence, la vue et l’ouïe.

Source : BLM Toronto leader believes white people are sub-human, calls them 'genetic defects'

Résumé Cenator

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La base "scientifique" de ces élucubrations: "Théorie de la mélanine"

[...] La théorie de la mélanine (Melanin Theory) est une théorie pseudo-scientifique, raciste, suprémaciste selon laquelle le taux plus élevé de mélanine des individus à la peau foncée leur donne un avantage physique, spirituel et intellectuel [...]

source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9orie_de_la_m%C3%A9lanine

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