Un socialiste musulman critique la Suisse: «Winterthour est devenu un point chaud salafiste et c’est la faute des autorités»

Christian Hofer: Comme d'habitude pour les musulmans, la faute en incombe exclusivement à la société non musulmane! Pas un seul mot sur l'islam qui considère le non musulman comme étant inférieur, qui le discrimine dans de nombreux textes! On lui rappelle que le salafisme est un mouvement qui se base sur le coran et la sunna et ce n'est pas à la Suisse de combattre une telle idéologie mais aux musulmans eux-mêmes!

Bien entendu, ce musulman ne fait aucune critique à l'encontre de sa religion qui est à la racine du problème mais il blâme un pays qui leur a ouvert ses portes. Je rappelle que notre pays n'aurait pas à faire face à de tels problèmes si l'islam ne s'était pas implanté via une immigration "humanitaire" qu'on nous a imposée.

Nous n'avions pas "à prendre des dispositions" dans les années 80. Ce n'est qu'avec leur présence que notre sécurité s'est dégradée!

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La ville de Winterthour fait à nouveau les gros titres en lien avec le djihadisme international. Le mois dernier, la SRF révélait que le Ministère public de la Confédération avait mis en détention préventive S., soupçonné d’être une figure centrale du milieu islamiste de l’ancienne cité industrielle. Au moins cinq jeunes musulmans en sont partis pour faire le djihad.

Les autorités communales ont annoncé la création d’un service de prévention contre l’extrémisme et la violence. La Ville réfléchit à d’autres mesures. Pas de quoi satisfaire Blerim Bunjaku, membre du comité directeur du PS de Winterthour.

Comment expliquez-vous qu’autant de jeunes candidats au djihad viennent de Winterthour?

Les autorités n’en ont pas fait assez au cours des dernières années pour favoriser l’intégration des étrangers. Aujourd’hui, de jeunes musulmans grandissent dans des familles salafistes, coupés de la culture suisse. Ils voient l’Occident comme un ennemi. Le manque de réactivité, voire de courage, des autorités a laissé le problème s’empirer. Ce n’est pas encore grave, mais, si l’on ne prend pas des mesures adéquates, dans quelques années, on dénombrera beaucoup plus de cas de radicalisation dans notre ville.

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