France. Besançon: Rosette, 88 ans, torturée et tuée, ses bourreaux ont réalisé des selfies avec son cadavre tout en écoutant du rap

Assassinat d’une octogénaire : le mineur jugé en appel

Jeudi, s’ouvre à Besançon, le procès en appel d’un habitant de Vieux-Charmont, 16 ans, condamné en février pour l’assassinat d’une octogénaire à 20 ans de réclusion criminelle. Son complice, majeur, sera jugé en décembre. La vieille dame, découverte dans son lit le 5 janvier 2018, avait subi un calvaire.

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Elle s’appelait Rosette Giuliani, était âgée de 88 ans. Cette paisible veuve habitait au centre de Vieux-Charmont où elle a été retrouvée, au matin du 5 janvier 2018, étouffée dans son lit.

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Au cours de cette nuit d’hiver, le mineur, un voisin de la vieille dame et un Bethoncourtois de 18 ans s’étaient introduits dans sa maison pour y commettre un cambriolage.

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Mais comment expliquer les tortures infligées à l’habitante surprise dans son sommeil ? Un sac à pain enfilé sur sa tête pour l’étouffer, son corps coincé sous le matelas et découvert par ses proches (ils s’étonnaient que la mamie n’ait pas ouvert ses volets), les selfies réalisés par les deux copains à côté de la défunte, le rap diffusé à plein tube… Aucun des deux n’était sous l’emprise de drogue ou d’alcool.

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L’article dans son intégralité sur L’Est Républicain

via Fdesouche

France. Besançon : un Afghan recherché pour avoir tué sa femme en pleine rue de plusieurs coups de couteau à la gorge.

Un appel à témoin a été lancé par le parquet de Besançon pour retrouver un homme de 38 ans, d’origine afghane, soupçonné d’avoir tué sa femme en pleine rue de plusieurs coups de couteau. La femme était hébergée dans un foyer pour victimes de violences conjugales après avoir porté plainte à plusieurs reprises contre son mari. « Le caractère crapuleux de l’agression est exclu », a ainsi estimé le procureur, faisant de son époux « le suspect numéro 1 »

Le parquet de Besançon a lancé ce mercredi un appel à témoins pour retrouver un Afghan de 38 ans, soupçonné d’avoir tué la veille son épouse en pleine rue« L’exploitation d’une caméra de la ville de Besançon a permis de mettre en évidence la présence d’un individu qui suivait la victime […]. L’exploitation plus fine de l’ensemble des moyens de vidéo protection a confirmé qu’il s’agissait de son mari », a expliqué Etienne Manteaux, procureur de la République de Besançon, lors d’une conférence de presse.

« Le suspect est un homme de 38 ans de nationalité afghane, mesurant 1,75 mètre. Il porte un tatouage sur l’épaule droite », a précisé le commissaire Charly Kmyta, chef de la sûreté départementale de Besançon. L’individu est soupçonné d’avoir tué son épouse, une Afghane âgée de 34 ans, mère de trois enfants de 9, 12 et 16 ans, mardi vers midi.

Le « suspect numéro 1 »

« La victime a reçu plusieurs coups de couteau au niveau du torse et du cou. L’objet tranchant et pointu a entraîné sa mort par rupture de l’aorte », a-t-on appris de source policière. Elle était hébergée dans un foyer pour victimes de violences conjugales après avoir porté plainte à plusieurs reprises contre son mari et avait fait l’objet en juillet d’une ordonnance de protection délivrée par un juge des affaires familiales, censée empêcher son mari de l’approcher.

Aucun de ses objets personnels n’a été volé lors de l’attaque. « Le caractère crapuleux de l’agression est exclu », a ainsi estimé Etienne Manteaux, faisant de son époux « le suspect numéro 1 »« Toute personne susceptible de faire avancer l’enquête est invitée à contacter le commissariat de police de Besançon », a souligné Charly Kmyta.

 

Ouest-france.fr

Nos remerciements à Λlex Λ 

Besançon : les centres d’accueil sont saturés

Besançon : les centres d’accueil saturés, des clandestins campent sur les quais

Des clandestins campent sur les bords du Doubs, notamment aux alentours du quai de Strasbourg à Besançon. Ils viennent en majeure partie du Kosovo pour demander l’asile politique à la France. Il y a aussi des Africains, qui viennent du Soudan ou de la Libye.

Certains sont ensuite hébergés chez des proches ou des cousins qui sont arrivés dans la capitale comtoise quelques mois en arrière. Ces derniers bénéficient d’un logement et d’un statut de réfugié.

 

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