Zoug : Une banque Raiffeisen aurait refusé d’ouvrir un compte pour une organisation conservatrice

L’organisation explique au journal qu’elle a eu beaucoup de peine à ouvrir un compte en banque pour gérer ses affaires financières. Plusieurs établissements auraient rejeté sa demande. Postfinance lui a finalement autorisé l’ouverture d’un compte.

Une situation que l’association ne compte pas tolérer. Elle a récemment déposé une plainte pénale auprès du Ministère public zougois contre Raiffeisen Zoug. Elle l’accuse de violation de l’interdiction de discrimination, confirme au journal son vice-président Christoph Keel.

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20min.ch

Nos remerciements à Schwarze Rose

Alerte: L’union européenne explore un gel préventif des comptes afin d’éviter des ruées bancaires

Cette information est tombée hier, et elle n’est pas des plus optimistes. Selon ce que rapporte reuters, les états membres membres de l’union européennes envisagent des mesures qui permettraient de geler provisoirement les comptes des déposants afin d’éviter toute ruée bancaire. Voilà ce qu’a révélé reuters en ayant pris connaissance d’un document européen.

Selon cet article, ce projet étudié depuis le début de l’année, sort moins de 2 mois après qu’une telle ruée aux guichets de la banque espagnole Banco Popular, ait contribué à sa faillite.

https://youtu.be/AxWR-0fFRAY

Marc Touati: « Je me dois d’avertir les français sur la confiscation de leur épargne ! » L’OCDE prédit une cascade de faillites et l’Europe devra sauver les banques

En Octobre 2014, la santé des banques européennes préoccupait déjà beaucoup Charles Gave, économiste et financier, président de Gavekal Research et de L’Institut des Libertés, dans les Experts, présenté par Nicolas Doze, sur BFM Business.

Croyez moi ou pas mais lorsque tout va bien, l’idée même d’explorer de telles mesures ne viendrait à l’esprit de personne…

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Nos remerciements à Victoria Valentini

L’Allemagne et la Deutsche Bank sont dans l’œil du cyclone

Prenez la peine de vous informer à propos des difficultés financières de l’Allemagne, la troisième économie mondiale. Ce qui se passe là-bas sera bientôt le lot des pays occidentaux.

Depuis plusieurs jours les médias financiers s’émeuvent des difficultés des banques allemandes. Une vidéo du réseau Le Fil de l’Actualité propose une explication qui obscurcit plus qu’elle n’éclaircit le prétendu mystère de la faillite imminente de la Deutsche Bank, l’une des plus grandes banques d’Europe (1). Pourquoi et comment en est-elle arrivée là ?

La Deutsche Bank en difficulté

Ce n’est pas en scrutant les opérations bancaires et boursières journalières de la Deutsche Bank que vous découvrirez le motif de sa faillite appréhendée. En effet, cet examen critique des opérations de la banque allemande laisse entendre que la banque aurait pu agir autrement d’où la conclusion de la présentatrice de l’émission à l’effet que les gouvernements devraient légiférer pour contrôler les banques et les empêcher de spéculer et de mener des opérations boursières trop risquées comme celles des « subprimes » en 2007. Mais si une banque se voyait soudainement empêcher de prêter l’argent de ses épargnants, elle ferait faillite immédiatement plutôt que dans cinq ans.

Reprenons point par point le raisonnement qui nous est présenté dans cette vidéo du webmagazine Le Fil d’Actualité afin d’en démontrer l’inanité.

« La Deutsche Bank possède un capital de 17 000 milliards de dollars US en placement (prêts), pourtant elle enregistre une perte de 7 milliards de dollars cette année, au motif que la Banque Centrale Européenne, imposant un taux directeur à zéro pour cent, rend le prêt d’argent peu payant, forçant ainsi la Deutsche Bank à des placements boursiers mieux rémunérés, mais aussi plus risqués. Pire, le gouvernement des États-Unis poursuit la banque allemande pour un montant de 15 milliards de dollars pour son implication dans l’arnaque des « subprimes » en 2007-2008 aux É.-U. Du capital à prêter la Deutsche Bank en a à satiété puisque l’Allemagne a un excédent commercial de plusieurs milliards de dollars chaque année (272 milliards de dollars en 2015) ». L’analyste poursuit sa fumisterie en disant qu’il y a trop d’épargne en Allemagne et pas assez d’emprunts ce qui est démentit par les chiffres publiés par le FMI qui démontre que l’endettement atteint des niveaux record dans tous les pays de l’hémisphère nord, y compris en Allemagne (2). Ce qui manque aux investisseurs Allemands ce sont des occasions d’affaires dans lesquelles investir leur capital bancal. Il n’y a nulle part où cette banque puisse prêter cet argent sans risquer de le dilapider – car le problème ce n’est pas la « financiarisation ou la monétarisation » de l’économie « irréelle » (sic) comme l’écrivent les économistes, le problème c’est l’étranglement de l’économie capitaliste. Le problème ce sont les marchés anémiés, sans solvabilités, que les « vautours » financiers s’arrachent faute d’autres proies à dépecer. Le capital est disponible à profusion, mais il ne parvient plus à se valoriser – à s’investir « profitablement », ce que les économistes marxistes appellent « l’accumulation capitalistique » – d’où les banquiers – ces argentiers de métiers – sont contraints de lui imposer une circulation forcée à travers le circuit financier qui ne peut que se dégrader au point d’imploser. Car contrairement à ce que prétendent les économistes gauchistes la circulation financière du monétaire ne crée que valeurs boursières imaginaires, via une circulation parasitaire qui accapare une part croissante de la plus-value aux dépens du secteur productif de l’économie (industriel – construction – primaire – transport). Mais attention, ce phénomène n’est pas apparu au stade ultime impérialiste du mode de production capitaliste. Cette pratique existait dès l’origine de ce mode de production, la phase impérialiste là simplement exacerbée jusqu’à le faire imploser.

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Nos remerciements à Didier S.

‘La faillite de Deutsche Bank provoquerait à coup sûr un krach mondial’

Depuis quelques jours, les marchés boursiers européens sont très nerveux. Les actions bancaires en ont d'ailleurs fait les frais en piquant du nez. Déjà qu'elles n'étaient pas au mieux de leur forme, voilà qu'une décision d'Angela Merkel les fait plonger dans le rouge vif !

En effet, Angela Merkel a fait savoir par interviews interposées que son gouvernement ne ferait rien pour aider la Deutsche Bank. Bref, que le contribuable allemand ne paierait pas pour recapitaliser la première banque allemande, qui est aussi l'une des douze plus grandes du monde. En clair, la Deutsche Bank devra se débrouiller toute seule pour trouver une solution à tous ses problèmes financiers, dont le dernier consiste à négocier avec la justice américaine qui lui a infligé une amende historique de 12,5 milliards d'euros pour son rôle dans la crise des subprimes !

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Faillites: Lorsque la gauche italienne magouille avec les banques

Christian Hofer: A noter que Matteo Renzi, le fils du magouilleur cité dans l'article, fait partie du... centre gauche.

Il en est de même pour le père d'Elena Boschi, cette dernière appartient au même parti démocrate affilié... au Parti socialiste européen

Vous savez, "les gentils défenseurs des pauvres"...

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Les banques italiennes menacent la zone euro

Les actions de Monte dei Paschi di Siena (MPS) ont perdu 78% de leur valeur depuis le 1er janvier et 97% de leur valeur en un an.

MPS n’est pourtant que la pointe de l’iceberg. Car c’est tout le système bancaire transalpin qui est à risque.

Le père de la ministre Elena Boschi, numéro 2 du gouvernement, était vice-président de la banque Etruria, dont la faillite en 2015 a ruiné des milliers de petits épargnants, et le père de Matteo Renzi a bénéficié de prêts généreux de la même banque.

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Les banques américaines détiennent désormais le secret bancaire. Les banques suisses appellent à l’aide!

Un grand merci à Eveline Widmer-Schlumpf qui, on le rappelle, a pu accéder au Conseil fédéral à la suite des magouilles PDC - PS, spécifiquement grâce au PDC Darbellay et à la PS Wyss. On constate ici à quel point les USA nous ont pris directement pour des imbéciles sans que cela ne gêne cette Conseillère fédérale.

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Une concurrence peu équitable de sociétés financières américaines inquiète l’Association suisse des banquiers.

Des sociétés financières américaines multiplient les efforts de démarchage dans le domaine de l’optimisation fiscale depuis l’automne dernier.

Elles invoquent notamment les arguments de la sécurité juridique, de la stabilité du droit états-unien et d’un niveau de confidentialité proche de l’absolu. Autrement dit, l’ex-secret bancaire helvétique aurait franchi l’Atlantique. A certains égards cette concurrence paraît souvent peu loyale. Sans illusion mais avec conviction, la place financière helvétique compte bien se faire entendre.

 

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“Les USA voulaient mettre UBS à genoux et forcer le gouvernement suisse à abandonner le secret bancaire, objectif qui a abouti”

L'ancien numéro trois d'UBS, Raoul Weil, acquitté il y a quelques jours des accusations de complicité de fraude fiscale aux Etats-Unis, soupçonne des motivations politiques derrière les poursuites engagées à son encontre.

Il accuse la justice américaine d'employer une tactique d'usure.

«On voulait mettre UBS à genoux et forcer le gouvernement suisse à abandonner le secret bancaire, objectif qui a abouti», déclare dans une interview diffusée dimanche 9 novembre par la «NZZ am Sonntag» M. Weil, blanchi après un procès de trois semaines en Floride.

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Banques suisses – USA: “Les exigences américaines constituent une violation du droit suisse”

En date du du 22 septembre dernier, la justice américaine a présenté aux quelque 100 banques de la catégorie 2 - soit celles ayant selon Washington de «bonnes raisons» de penser avoir enfreint le droit américain en contribuant à l'évasion fiscale - un modèle d'accord en vue de régler le litige. Le document, appelé Non Prosecution Agreement (NPA), exige une coopération extrêmement étendue.

Refroidies par l'étendue de ce NPA, 73 banques ont envoyé une lettre au DoJ pour exiger de ce dernier qu'il révise son modèle. «Dans sa forme actuelle, le NPA est inacceptable, car il constitue une violation du droit suisse», ont déclaré à l'ats plusieurs banquiers sous couvert d'anonymat.

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