Il y a quelques minutes seulement, Alain Marsaud, député "Les Républicains" a quitté en plein direct le plateau de BFMTV qui consacrait sa tranche d'information à l'attentat de Barcelone.
L'homme politique était en fait agacé que l'on ne "nomme pas l'ennemi islamiste".
Bien loin des âneries que les médias colportent, voici le témoignage d'un ex-magistrat antiterroriste.
⚫️ Ex magistrat antiterroriste @AlMarsaud dénonce arnaque de la "#déradicalisation" et raconte réalité des centres
► https://t.co/yjVfuUQK4u pic.twitter.com/MBl0KgMSki— Damoclès (@Damocles_Fr) 28 juillet 2017
Nos remerciements à Victoria Valentini
Suite à cet article concernant ce qui s'est passé en Autriche.
Voici une déclaration passée inaperçue alors qu’elle vaut son pesant de cacahuètes. Nous sommes le 23 décembre 2014, au lendemain des attentats par des “déséquilibrés”, comme les qualifie alors le pouvoir socialo-communiste, qui sont rentrés avec leurs voitures dans des civils aux cris d’Allah ouakbar. Alain Marsaud, député UMP de la 10ème circonscription des Français de l’étranger (Afrique et Moyen-Orient) et ancien magistrat antiterroriste, explique alors qu’en 1986, alors qu’il était encore magistrat, le pouvoir politique lui avait dit de qualifier les auteurs des attentats islamistes aux Galeries Lafayette et au Printemps de “déséquilibrés”.
https://youtu.be/ta3zrwLFRgA
