Vous reprendrez bien une pinte de culpabilité ?

Le (nouveau) Nouvelliste dans ses oeuvres, en préparation du débat sur la libre circulation.

L'histoire d’Ardita M. jeune Kosovare expulsée Suisse, et par conséquent séparée de sa fille de 5 ans, qui dit en vouloir beaucoup au Valais. Où le Nouvelliste semble faire l'inventaire de tous les motifs susceptibles de retenir un ressortissant étranger débouté:

"Je peux me faire tuer d’une minute à l’autre. Mon statut de femme divorcée et de mère célibataire fait que je ne suis pas la bienvenue. Selon les codes du pays, j’ai déshonoré ma famille."

Le divorce comme motif d'asile...

Plus loin on apprend tout de même qu'Ardita:

"A vécu en Valais à deux reprises: de 2001 à 2004 puis de 2007 à 2013. Elle est expulsée une première fois de la Suisse avec sa famille à l’âge de 15 ans. Un mariage arrangé par sa famille la ramène en Valais. L’union se termine très rapidement. Elle noue ensuite une relation avec un autre homme et tombe enceinte. Après s’être retrouvée seule à gérer sa grossesse, elle accouche, en avril 2008, d’une petite fille. L’enfant vit avec sa mère jusqu’en 2011. A cette date, la garde se voit attribuée au père. Entre temps, comme le permis B de son mariage rompu n’est pas renouvelé, son séjour en Suisse n’est plus légal."

Ce qui n'empêche pas de faire pleurer le chaland en pleine page sur une situation pour le moins inhumaine... N'est pas Léonarda qui veut.

Suite

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