Dans la Berne fédérale, les politiciens s’interrogent: faut-il rester sur le réseau social X?

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La ministre socialiste Elisabeth Baume-Schneider vient de quitter la plateforme X (ex-Twitter), et son collègue Beat Jans songe à l’imiter. Mais pas sûr que les magistrats bourgeois en fassent de même

Quelques phrases et puis s’en va: «X a profondément changé. Cette plateforme ne correspond pas à la culture du débat à laquelle je souhaite participer. J’ai donc décidé de la quitter. J’invite mes followers à me rejoindre sur Instagram!» Les mots choisis par la conseillère fédérale Elisabeth Baume-Schneider sont clairs. Le 31 octobre dernier, la socialiste annonçait son départ du réseau social X (ex-Twitter). Pas question de continuer à communiquer sur la plateforme d’Elon Musk, tout aussi controversé que le nouveau président américain Donald Trump qu’il soutient sans réserves. Le multimilliardaire est accusé d’avoir modifié X de sorte que les contenus proches de son idéologie soient favorisés par les algorithmes, et donc davantage visibles.

Elisabeth Baume-Schneider trouvera peut-être de la compagnie parmi ses collègues du gouvernement. Son camarade socialiste Beat Jans lâchait ce dimanche dans le SonntagsBlick «avoir de la peine» à supporter X, reprochant au réseau social de «diffuser des contre-vérités et de la haine, et de contribuer aux divisions de la société. C’est pourquoi nous étudions avec la Chancellerie fédérale quelles sont les alternatives» de communication.

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