Criminalité importée : découvrez ici ce qui se passe quotidiennement dans nos rues

S’agissant des vols et des cambriolages, les taux crèvent le plafond. Comme en 2022, les taux de croissance sont à deux chiffres :

Vols à l’étalage +23%
Vols par introduction clandestine +23%
Vols de voitures +26%
Vols à l’arraché +38%
Vols de motos +38%
Cambriolages de véhicules +48%
Vols de vélos électriques +49%
Vols dans des véhicules non fermés à clé +71%

Au total, plus de 210’000 vols et cambriolages ont été commis en 2023, soit donc 575 délits par jour, en moyenne, en précisant qu’il ne s’agit ici que des délits signalés et enregistrés. Le chiffre noir des « petits » vols est bien plus élevé. Les vols à l’étalage commis par des étrangers en situation irrégulière et des demandeurs d’asile, en particulier, sont devenus un véritable fléau dans le pays. Les homicides (+26.2%) et les blessures corporelles graves (+15.5%) sont également en nette augmentation.

Un taux de criminalité de 91% !
La proportion d’étrangers et de demandeurs d’asile criminels a fortement augmenté et ce, tant en chiffres absolus que par rapport à la population. Ils volent, dealent, harcèlent et frappent ; 56% des personnes incriminées sont des étrangers et la part des demandeurs d’asile est particulièrement élevée.

Le directeur de la sécurité zurichois Mario Fehr donne le « top des nationalités » pour son canton : En première place, on trouve les Algériens. « Il s’agit presque exclusivement de demandeurs d’asile déboutés. Chez eux, nous avons un taux de criminalité de 91% ». Les ressortissants roumains arrivent en deuxième position, les Ukrainiens en troisième. Selon Mario Fehr, l’immigration en provenance d’Ukraine a changé : « Nous avons une part croissante de Roms », s’alarme-t-il.

Un changement de cap politique est nécessaire
Les statistiques de police exposent sans équivoque les problèmes liés à la criminalité importée, conséquence de la politique migratoire des autres partis. La population Suisse ne se sent plus en sécurité dans son propre pays.

Que faut-il faire ? Le chaos de l’asile doit être stoppé. Pour cela, il faut des contrôles systématiques aux frontières et mettre un terme aux procédures d’asile pour les migrants qui arrivent en Suisse avec l’aide de bandes de passeurs criminels et c’est dans ce but que l’UDC lance son initiative sur la protection des frontières. Les criminels étrangers doivent être expulsés sans condition, comme le demandait l’initiative sur le renvoi, édulcorée dans son application par les autres partis jusqu’à devenir méconnaissable. En d’autres termes, nous avons besoin d’un changement de cap politique en Suisse. Qui veut plus de sécurité et mettre un terme au chaos de l’asile vote UDC !

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