A Paris, 80 % des 4 000 personnes fréquentant les «équipes mobiles psychiatrie précarité» sont désormais des exilées, souvent polytraumatisées. Leur précarité, tant au niveau administratif que de l’hébergement, rend difficile un traitement de longue durée des troubles lourds.
Avant même de narrer son destin, les cicatrices de Fofana Seko parlent pour lui. Son crâne, son bras gauche, son tendon d’Achille, portent de profondes meurtrissures. «Ils m’ont tracé le visage avec un cutter, tranché le tendon à la machette pour que je ne puisse pas courir, puis cassé une brique sur mon visage. J’ai été laissé pour mort dans un cimetière.» C’était en 2018. Cet Ivoirien de 42 ans, alors marchand de vêtements dans une banlieue d’Abidjan, avait refusé de se laisser acheter par le parti majoritaire pour les élections municipales. Après six mois de coma, il croise à nouveau ses agresseurs, décide de fuir, et parvient en France en 2019.
Malgré l’éloignement du danger, son corps emporte le traumatisme : «M. Seko souffre d’un syndrome de stress post-traumatique aigu : sans médicaments, il était insomniaque, son corps pris de tremblements, il était devenu bègue, raconte François Lair, le psychiatre qui le suit depuis qu’Amnesty International l’a dirigé vers son équipe mobile psychiatrie précarité (EMPP) en 2020. C’est dans les petits locaux de l’EMPP, dans un centre médical du XIXe arrondissement de Paris, que nous le rencontrons. Sans cette équipe formée d’une demi-douzaine de soignants et de travailleurs sociaux, l’Ivoirien, qui a été deux ans sans abri, n’aurait sans doute jamais a (…)
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Tout ceci démontre que L’IMMIGRATION DE MASSE NOUS IMPOSE DES CRIMINELS ET DES MALADES PAS QUE MENTAUX. Et ces machinations sont organisées aussi par LES INDUSTRIELS DE L’IMMIGRATION DE MASSE qui tirent de grands profit sur le dos des assurés-contribuables. Nombre de ces officines para-hospitalières tels Magellan ont expérimenté sur France les abus qu’elles exploitent aussi sur la Suisse avec naturellement des médecins issus de l’immigration qui parlent les langues de l’immigration de masse et c’est pas pour rien qu’ils n’ont pas pu s’installer en Valais Exemple: https://www.magellan.ch/centre/centre-medical-servette/ Et avec autant de langues ont peu se demander où ont-ils trouvé le temps d’étudier la médecine ? C’est dans ce contexte que j’ai entendu deux musulmanes en costume obligatoire qui venaient d’Afrique du Nord avec leurs enfants drogués et vraisemblablement aussi dealers et qui se payaient l’avion pour venir au fêtes de Genève et profiter d’une consultation en psychiatrie ambulatoire à la rue de Lausanne comme par hasard.
Et avec la Lamal de la Dreifuss, c’est clair que l’Europe et ses accords pour cocus, nous oblige à les prendre en charge. Donc je vous laisse imaginer les jongleries comptables possibles, sans compter les pourboires pot-de-vin culturels liés à leurs origines. Vous pensez bien que ces médecins sont sous la pression du chiffre d’affaires et qu’ils n’auraient pas qu’un petit intérêt à faire venir des malades de leur pays sous prétexte d’immigration et de faux-réfugiés. Le téléphone arabe doit bien servir à quelque chose non ?
Voilà pourquoi à Genève les bénéficiaires de primes et des coûts hospitaliers ne sont pas nécessairement ceux qui paient réellement Et ce n’est pas Levrat (Levrak en arabe phonétique) le dirlo des HUG qui coure après la Légion d’honneur https://ch.ambafrance.org/Bertrand-Levrat-nomme-Officier-de-la-Legion-d-honneur, qui pourrait affirmer le contraire vu son éthique égocentrique de bi ou trinational. La plupart de hélicoptère qui arrivent au HUG à Genève, viennent de France même s’ils ont encore de hôpitaux. Alors que leur personnel y est souvent mis en cause, ils n’ont qu’à passer la frontière pour être blanchi sans problèmes et multiplier leurs salaires, mais pas nécessairement leurs compétences et les années d’études imposées aux médecins du lieu. Et c’est encore la traîtresse Dreifuss qui leur a créé ce marché sur-mesure en imposant un numérus clausus, alors qu’elle savait très bien qu’elle créait un problème tout en soutenant l’immigration de masse avec ses malades et ses criminels. C’est ainsi quand des personnes sont de mauvaise foi tout comme avec le cannabis-marijuana dont elle soutient les pires inepties.