ndt: Chaque année la Hongrie accueille de plus en plus d'immigrés européens qui fuient le multiculturalisme et pour continuer leurs vies dans un pays traditionnellement européen.
Parallèlement, le Parlement Européen a rendu obligatoire l'acceptation des migrants extraeuropéens. La Hongrie qui n'en veut pas, se demande si elle pourrait remplir les exigences de Bruxelles avec les migrants occidentaux. En cas de refus, cela deviendrait plus qu'évident que ce n'est pas une question de solidarité mais un travail de sape méthodique pour détruire la civilisation occidentale..
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András Bencsik, rédacteur en chef : Chaque année, de plus en plus de citoyens d'Europe occidentale, s'installent en Hongrie, la grande majorité d'entre eux en provenance d'Allemagne. [...] On peut dire que notre pays est devenu de plus en plus manifestement un pays accueillant ces dernières années ; si vous voulez, les migrants et même les réfugiés choisissent la Hongrie comme nouveau pays, mais ces personnes sans exception fuient l'Europe occidentale, précisément parce que la vie y devient de plus en plus invivable à cause des immigrants du tiers monde.
On parle de pas mal de monde (comme on va le lire) : cette année, près de 15 000 retraités allemands verront leur pension transférée selon leur lieu de résidence hongrois, et si la situation ne change pas, d'ici quelques années les Allemands fuyant chez nous - parmi eux un nombre croissant de jeunes et d'enfants - le nombre peut atteindre cent mille. Bien que ces familles soient capables de créer leur existence par elles-mêmes, leur présence et leur intégration harmonieuse dans le mode de vie hongrois imposent de plus en plus de tâches à l'État.
On peut dire que tout cela revêt une importance stratégique, car lorsque les ministres de l'intérieur de l'UE ont décidé à la majorité, à l'issue d'une réunion marathon à Luxembourg, de rendre obligatoire la répartition des migrants entre les États membres, et quiconque n'accepte pas les migrants, devra payer 22 000 euros pour chaque refoulé, [...]
Arrêtons-nous ici un instant. Un pays où les citoyens sont en sécurité. Aujourd'hui, c'est l'élément central de la stratégie du gouvernement Orbán, le pilier le plus important. Alors que sous la pression de la direction actuelle des États-Unis, presque toute l'élite gouvernementale européenne, y compris la direction de l'Union, brûle dans une fièvre de bataille constante, presque tout est submergé par la psychose de guerre, à la suite de laquelle une partie importante de la société d'Europe occidentale est tombée dans le piège de la dissonance cognitive, par exemple, elle est tout simplement incapable d'accepter le désir inébranlable de paix des Hongrois, et de la même manière, elle ne veut pas voir les changements culturels, sociaux et économiques pression de millions d'immigrants du tiers monde comme mauvaise, tandis que ceux qui se réveillent de cette stupeur à la suite d'un choc social cherchent immédiatement l'occasion de s'échapper.
Nous pouvons être sûrs que le nombre d'Européens fuyant vers nous dans un proche avenir - si les choses continuent ainsi - atteindra et dépassera le nombre de ceux que nous devons accepter selon les ministres de l'intérieur de l'UE, alors pourquoi ne pas prétendre que la Hongrie remplit déjà ce que la solidarité européenne attend de nous, après tout, même les Bruxellois ne peuvent pas dire que la vie d'un Européen ne vaut pas celle d'un Asiatique ou d'un Africain.
[...]
article complet: https://demokrata.hu/velemeny/europa-menekul-692910
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Gabor Bencsik : Le grand remplacement de population
Le 8 juin, les ministres de l'intérieur de l'UE ont voté en faveur de la répartition obligatoire des migrants, seules la Hongrie et la Pologne votant contre. Ils ont ajouté que les pays qui refusent d'accueillir des migrants doivent payer une "contribution de solidarité" de 22 000 euros par migrant dans les caisses communes de l'UE. Ce qui se cache réellement derrière cette décision, et quelles peuvent en être les conséquences, est présenté ici sur l'exemple de l'Allemagne.
Après la Seconde Guerre mondiale, un véritable miracle économique s'est produit en Allemagne. Évidemment, l'aide du Plan Marshall y est pour beaucoup, mais il faut se rappeler que, bien que ce soit l'Allemagne qui ait subi les plus grandes pertes humaines et matérielles, le montant alloué à la RFA n'était même pas la moitié de ce que les Français ou les Britanniques ont reçu; même l'Italie a reçu davantage. Derrière l'énorme développement économique des années 1960, il y avait clairement les performances exceptionnelles de l'industrie allemande et des travailleurs allemands.
L'augmentation de la production exigeait une quantité croissante de main-d'œuvre.
Quand la natalité en Allemagne a recommencé à augmenter après le recul dû à la guerre, le nombre d'enfants par femme (couple) est passé à plus de deux en 1950, puis à 2,47 en 1965, et l'avenir de la population semblait assuré.
Et avant que ces enfants ne soient en âge de travailler, des Allemands déplacés d'Europe centrale sont arrivés, puis à partir de 1954, des dizaines de milliers de travailleurs immigrés italiens, voire des centaines de milliers après 1960. Peu après, le flux des travailleurs immigrés turcs a commencé, et à partir de la seconde moitié des années 1960, celui des Yougoslaves.
Dans les années 1970 et 1980, la moitié de l'Europe travaillait pour les Allemands.
Qui aurait pensé que le taux de fécondité allemand tomberait de 2,53 en 1966 à 1,53 en seulement sept ans en 1973, puis à 1,28 dix ans plus tard en 1983 ? Et même si quelqu'un le remarquait, qui s'en souciait ? La population de la partie occidentale du pays a augmenté régulièrement de 51 millions en 1950 à 62 millions en 1972, et bien qu'il y ait eu une légère stagnation, la croissance, alimentée par l'immigration, a recommencé après 1986 et s'est poursuivie sans discontinuer dans l'Allemagne réunifiée. La population a maintenant dépassé 84 millions et continue de croître.
Mais tout cela ne suffit pas. Comme Marcel Fratzscher, professeur d'économie à l'Université Humboldt de Berlin, l'a récemment déclaré dans l'hebdomadaire Der Spiegel: sans immigration, voire accroissement de l'immigration, l'Allemagne va au-devant d'une crise qui menace son existence économique.
Pour lui, sans une quantité suffisante de travailleurs qualifiés, de nombreuses entreprises ne pourraient pas survivre et l'Allemagne perdrait à long terme une grande partie de sa prospérité. Il y a déjà deux millions d'emplois non pourvus dans le pays, et dans les dix prochaines années, il y aura cinq millions de personnes de plus qui prendront leur retraite qu'il n'y aura de jeunes entrant sur le marché du travail. Et l'Allemagne est loin d'être la seule à se trouver dans une telle situation aujourd'hui.
Les faits ci-dessus ne sont pas la cause de la crise migratoire européenne, mais ils sont la raison pour laquelle les politiciens occidentaux y réagissent de la façon que l'on peut lire dans les journaux.
Cette prospérité que l'électorat d'aujourd'hui prend pour une évidence, ils ne pensent pas qu'elle soit durable sans un afflux supplémentaire de main-d'œuvre, mais ils n'osent pas l'admettre, c'est pourquoi ils cachent la réalité derrière l'argument humanitaire.
En fait, cette façon de mettre l'accent sur le statut de réfugié ne sert qu'à enrober la pilule amère de l'immigration de masse afin que la population puisse l'avaler sans broncher. Répétons les propos du professeur Fratzscher: « sans immigration, l'Allemagne va au-devant d'une crise qui menace son existence économique ».
Allons donc au-delà de l'argument humanitaire, qui est en fait un faux argument, et disons-le clairement et sans ambiguïté, puisque les politiciens occidentaux ne le font pas : les politiciens occidentaux soutiennent la migration par pur intérêt personnel, car ils voient que la prospérité ne peut être préservée sans l'arrivée de millions de migrants.
Mais peut-elle être préservée avec les migrants ?
Et tout d'abord, puisqu'il est question de raisons humanitaires, cette autre question: est-il moralement acceptable que l'Occident veuille remédier à sa propre pénurie de main-d'œuvre en attirant les jeunes les plus mobiles, les plus éduqués, les plus entreprenants, les plus valides des pays sous-développés?
Est-il normal que l'Occident, après avoir siphonné les matières premières des pays en développement, fasse maintenant de même pour leur main-d'œuvre? Est-ce un ordre mondial viable si un groupe de pays s'organise en permanence pour exploiter les ressources humaines des autres et fonde sa prospérité là-dessus? Voilà à quoi l'Occident devra répondre dans un avenir pas si lointain.
La question la plus grave est cependant celle-ci: est-ce que les immigrés pourront être aussi productifs que les Européens de souche? Sauront-ils reproduire la fameuse précision allemande?
Nous avons dit plus haut que le miracle économique allemand des années 1950 et 1960, le Wirtschaftswunder, était le résultat des performances exceptionnelles des travailleurs allemands. Mais ces performances sont elles-mêmes le résultat de la culture du travail qui s'était développée en Allemagne au cours des siècles.
Depuis le développement de l'anthropologie structurale dans les années 1950, c'est un principe fondamental des sciences sociales que, même si les individus peuvent acquérir de telles choses, les grandes communautés qui apportent leur propre culture ne peuvent le faire que lentement et difficilement. Le problème est que les croyances, les désirs, les ambitions, les peurs, les habitudes et les normes de comportement d'un peuple interagissent et se renforcent mutuellement pour former ce que l'on appelle une structure. Nous héritons de cette structure de nos parents et la transmettons à nos enfants. Il n'y a pas de racisme à dire que les travailleurs allemands sont, en moyenne, plus disciplinés et attentifs que, disons, les Béninois.
La grande question est celle-ci: si l'ouvrier béninois avec sa large famille immigre en Allemagne, quelle culture y apportera-t-il avec lui?
Ne nous laissons pas leurrer par le fait que chaque individu est capable d'assimiler la culture d'un autre peuple, surtout s'il est entouré de toutes parts par cette culture et qu'il n'en reçoit que du soutien.
Les lois de l'anthropologie structurelle ne s'appliquent pas à l'individu, mais à la multitude. Or dans le cas de la migration, il s'agit de plus en plus de multitudes. Si suffisamment de travailleurs béninois - pakistanais, afghans, syriens - entrent dans la production allemande, leur culture du travail ne deviendra-t-elle pas tôt ou tard dominante?
Le risque que cela se produise est tout à fait réaliste.
Tout cela ne semble pas menaçant aujourd'hui, car les immigrés viennent de nombreux pays, ils sont divers, aucune des cultures apportées ne peut rivaliser avec la culture européenne de souche. L'islam européen est encore faible aujourd'hui, car même si la religion est en gros la même, un Marocain n'a pas plus à voir avec un Afghan que, disons, un Danois avec un Macédonien.
Cependant, si une nouvelle structure, un nouveau système de croyances, de désirs, d'aspirations et d'ambitions émerge de ce mélange de peuples, cela changera fondamentalement l'histoire de l'Europe occidentale. Si les migrants sauvent l'Allemagne, ils ne la sauveront pas pour les Allemands.
source: https://demokrata.hu/vilag/a-nagy-nepessegcsere-693245/
traduction: Albert Coroz
Photo: ShutterStock
La pérennité de l économie est une facade , un écran de fumée.
Le but de la dictature illuminati du nouvel ordre mondial est de détruire les économies par la dette et des pandémie ( faux Covid , H1N1,…grippe aviaire , pets de vaches plus importants que les pets de 29 volcans ….), par des guerres civiles dues à un afflu de migrants mâles bac-7 plus malléables et en mission de destruction.
Tous les partis politiques sont infiltrés, tous.
A bas le système pyramidal.
Merci à Kandel pour ce rectificatif.
Cela dit nous sommes à un tournant de l’humanité occidentale. La raison économique pour laquelle on ferait venir des millions de migrants, ne suffit pas expliquer les choix de nos gouvernants, et ils sont multiples.
Lorsqu’on écoute un certain discours de Mr Biden, lorsqu’il déclare que le plus grand danger est le suprématisme blanc, il y a de quoi sourire d’entendre cela de la part d’un homme blanc, dont la caste BLANCHE n’a cessé de dévaster de nombreux pays du monde.
L”homme blanc des hautes sphères , ne supporte donc plus le peuple blanc. Si l’on regarde bien le PROJET MONDIALISTE, on s’aperçoit que la caste hyper milliardaire, hyper mondialiste blanche, souhaite gouverner le monde, sans les peuples blancs qui ont vécu avec elle et travaillé pour elle. La période COVID a très bien su nous éclairer déjà sur leurs intentions.
Les peuples blancs ayant connu les droits de l’homme et droit du travail ont acquis par cela, une conscience de la préservation de la dignité humaine. Cela gêne profondément cette caste dans la mesure où elle ne veut plus que les nouveaux travailleurs étrangers en bénéficient. Et elle ne veut plus que le travailleur blanc syndiqué ou pas, mène le travailleur étranger à prendre conscience qu’il peut exiger ces mêmes droits.
Mais bien sûr, ce n’est pas la seule raison, mais il serait assez long d’énumérer en quoi les peuples blancs déplaisent aujourd’hui aux hautes sphères blanches. On peut éventuellement se reporter au fameux plan Kalergi, mais cela ne suffit pas à expliquer ce grand divorce.
« Est-il normal que l’Occident, après avoir siphonné les matières premières des pays en développement, fasse maintenant de même pour leur main-d’œuvre? Est-ce un ordre mondial viable si un groupe de pays s’organise en permanence pour exploiter les ressources humaines des autres et fonde sa prospérité là-dessus? Voilà à quoi l’Occident devra répondre dans un avenir pas si lointain. »
RECTIFICATIF indispensable : cette auto flagellation de l’Occident est totalement infondée et mortifère, le Tiers-monde doit presque TOUT à l’Occident (santé, instruction, infrastructures, remplacement de l’animisme par le christianisme, etc) et l’Occident ne doit rien au Tiers-monde qui ne savait pas ce qu’était des «matières premières» avant l’arrivée des Occidentaux… et bien sûr à quoi elles pouvaient servir [à de rares exceptions près].