Le Tunisien Aziz a épousé une Suissesse de 30 ans son aînée; naturalisation facilitée en poche, il divorce et épouse une Tunisienne, de 41 ans plus jeune que son épouse précédente

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Résumé - Albert Coroz: En 2008, le Tunisien Aziz épouse la Suissesse Sophie, en prenant soin de cacher la chose à sa famille restée au pays. Sophie se souvient des querelles dues aux différences culturelles, et se plaint de ce que son mari et sa famille, lors des visites en Suisse, aient parlé en sa présence en arabe, alors que tout le monde savait le français.
Au bout de cinq ans de mariage, Aziz demande la naturalisation facilitée, qu'il obtient en 2015. Deux ans plus tard, le couple divorce, et Aziz se recycle rapidement avec une jeune compatriote, avec qui il fonde une famille. Le SEM met alors en doute la sincérité du premier mariage d'Aziz, qui, craignant de perdre son passeport suisse, ainsi que celui de son fils né des secondes noces, recourt jusqu'au Tribunal fédéral pour prouver sa sincérité.
Aziz vit mal la suspicion des autorités à son égard. Pour convaincre les juges de sa bonne foi, il fait valoir la grande souffrance que sa rupture avec la Suissesse lui aurait causée.
Aziz est au bénéfice de l'assistance judiciaire, car malgré plus de vingt ans de résidence en Suisse, il n'arrive toujours pas à s'assumer financièrement (et sans doute sa seconde épouse non plus). Les contribuables vont verser 3'100 francs d'indemnités à l'avocat d'office, mais nous n'avons aucun renseignement sur ce que nous devrons encore débourser pour entretenir notre Tunisien et sa nouvelle famille.

Nous avons des milliers de pigeons de ce genre en Suisse qui peinent à trouver l'amour sur place et qui se laissent leurrer par ce genre de mariage, tout en nous enrichissant avec leur importation. Néanmoins,  très rares sont les cas qui se finissent par un retrait de passeport.
Nous connaissons même deux cas de polygamie, où un "Aziz" avait déjà une autre épouse et des enfants dans son pays lorsqu’il a épousé une Suissesse pour obtenir les papiers, sans que cette dernière soit au courant.
La faute en revient en premier lieu à la Gauche suisse, qui fait une sous-enchère constante sur les critères de naturalisation, au point que dans les villes dirigées par la Gauche, devenir suisse ne signifie plus grand-chose.
Aucun endroit au monde – hormis l'Occident décadent qui rejette ses racines – n'offre la nationalité aux personnes qui sont à la charge de la collectivité. Ni à celles qui ne maîtrisent guère la langue locale, et surtout pas à celles qui ne respectent pas leurs coutumes.
Et malgré cela, nous avons encore des Ada Marra qui viennent nous bassiner avec nos critères de naturalisation "trop sévères".

 

 

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