La neutralité n’est pas une valeur abstraite ou idéalisée.
Il s’agit tout simplement de la question de la survie du modèle fédéraliste, souverain, avec contre-poids du pouvoir du temple, de la défense de nos intérêts de confédérés, d’un rôle politique de médiateur à conserver dans un monde multipolaire qui s’organise, hors l’hégémonie moraliste et financière occidentale, militaire et impériale anglo-saxonne .
Les ravages de la stratégie de santé justifiée par les mesures dictatoriales Covid, son impact économique qui accélère une transition autoritaire sont nets. En plus de l’accélération de la migration à accueil obligatoire facilitée par les guerres d’ingérence et économiques de l’Empire du Bien, les catastrophes montées en épingle par une évaluation émotionnelle et dramatisée des modifications du climat (le climat n’est jamais stable à long terme !). On en vient à regretter l’élection forcée (fraudes morales inclusives et usage du numérique pour compter les voix des électeurs) du Zombie masqué des néoconservateurs que représente Joe Biden et ses clones Trudeau, Macron, Merkel et consorts.
La stratégie de mise à plat globaliste (la Grande réinitialisation ou Grand remodelage sociétal) se poursuit et sait utiliser les techniques d‘occultation de ses objectifs.
Le récit dominant de cette stratégie s’articule essentiellement autour de trois thèmes.
Les observateurs attentifs et critiques ont vu se mettre en place des stratégies de modification comportementale (propagande, paternalisme étatique, marketing subtil et incitatif, coups de pouce discret/nudging) derrière l’épidémie Covid et les contraintes imposées par les « experts », les catastrophes anticipées et amplifiées par l’intelligence artificielle. L’objectif était de planifier des urgences de pénurie, comme une économie de guerre, un contrôle social numérisé, l’idée illuminée de prévenir plutôt que guérir en modifiant la vulnérabilité génétique. Diminuer le recours aux hôpitaux, remplacer les soins par des consultations en ligne, faire diminuer le nombre d’intermédiaires (commerce, industrie, loisirs, médecine privée de famille). Le Covid a servi à accélérer un changement comportemental basé sur une suspicion que ceux qui ne respectent pas des directives absurdes ou catastrophistes deviennent responsables de l’évolution de la situation. Avec du recul aujourd’hui, on voit les dégâts sur l’endettement, l’isolement social, la chute massive de la consommation, la disparition des intermédiaires.
La deuxième étape est l’instrumentalisation de la guerre hybride en Ukraine, qui existait depuis 2014 en tous cas, et qui sert de justificatif à la transition écologique sous prétexte de pénurie de gaz, de craintes de dépendance du gaz russe. Il est vital que notre pays reste dans une stricte neutralité et n’appuie pas des sanctions ou des exportations d’armes. Il ne faut pas s’aligner dans un monde qui devient multipolaire, ni s’associer à une tentative de démembrement de l’économie russe, Caverne d’Ali Baba, convoitée depuis des années par le capitalisme financiarisé globaliste. Un tel conflit, présenté de manière manichéenne, ne doit pas être réglé par une escalade guerrière avec des risques nucléaires, sans compter sociaux et économiques, surtout préjudiciable à l’Europe. Ne pas céder aux chantages bellicistes et promouvoir des solutions acceptables, la seule attitude raisonnable. Veiller à la diversification de l’accès à l’énergie en visant le plus d’autonomie possible. Le solaire, l’éolien oui mais pour suppléer à l’hydraulique, les nouveaux carburants, le nucléaire de technologie nouvelle, l’hydrogène. Ne pas laisser notre politique extérieure et notre démocratie à l’Union européenne. Démonter les influences de la presse à pensée unique, apprendre à diversifier ses sources, démonter la dictature numérique. Mettre des garde-fous à la possibilité de fraudes électorales, de propagande Big Data, de manipulations numériques, les tueurs de la démocratie représentative et participative, les « créateurs d’histoire » orientée comme l’a montré récemment le scandale de la société privée de sécurité « Team Jorge ».
Le réchauffement climatique, mesuré selon des critères à court terme et dramatisés, est un thème qui sert surtout à démonter l’accès aux énergies fossiles, donc rendre dépendant et faire décroître la réindustrialisation locale. Et justifier accessoirement la surmigration pour raisons de catastrophes écologiques et « climatiques ».
Sortir du modèle global, revenir au local, à la souveraineté, à l’information diversifiée. Vite.
Dominique Baettig, ancien conseiller national
http://www.autochtonisme.com/2023/02/orion-23-macron-prepare-l-engagement-de-la-france-contre-la-russie.html?utm_source=_ob_email&utm_medium=_ob_notification&utm_campaign=_ob_pushmail
Quand il s’agit de guerre on parle souvent d’engrenages…
Or, il n’y a pas de mécanique aussi bien huilée que le jeu d’engrenages de la guerre contre la Russie !
Merkel, Porochenko, Hollande ont avoué sans honte que les accords de Minsk avaient pour seul but de mettre en mouvement le jeu inexorable des pignons, crémaillères et roues dentées qui ferait de l’Ukraine un bélier dirigé contre la Russie, et donc l’élément déclencheur d’une troisième guerre mondiale.
Ils savaient !
Macron, quant à lui, était le « garant » de ces accords de Minsk. Et il n’a pas alerté la « communauté internationale » lorsque le régime ukrainien, installé par les Etats-Unis, votait des lois qui rendaient ces accords inapplicables, et donc la guerre inéluctable (loi sur la réintégration du Donbass, en 2018, et la loi sur la langue, en 2019. Nos articles sur le sujet : ici et ici).
Macron savait !
Mais l’engrènement n’est pas terminé. Des exercices militaires, baptisés Orion 23, viennent de commencer dans notre pays. Cet exercice est « d’une ampleur inédite depuis trois décennies » nous apprend le Ministère des Armées. Il va regrouper des centaines de véhicules et jusqu’à 40 000 hommes dont des troupes « alliées » de l’OTAN : Américains, Belges, Italiens et Anglais.
Alors que le contexte international exigerait une action diplomatique et une politique d’apaisement, Emmanuel Macron lance donc, sous le regard de l’OTAN (et celui de la Russie !), un exercice militaire d’une ampleur inédite dont le scénario est un « engagement à haute intensité » dans le cadre d’un « conflit majeur entre Etats » !
Aveuglement, bêtise ou goût du sang ?
Le Ministère des Armées nous apprend qu’Orion 23 simule une « une Small Joint Opération (SJO) » (sic). Une Small Joint Opération est un concept de l’OTAN qui correspond, en français, à une « opération de coercition majeure ».
Plus précisément, une Small Joint Opération est un engagement multinational coercitif sous la direction d’une « nation-cadre ». Selon les normes de l’OTAN, une « nation-cadre » est une nation qui a les capacités d’agir seule et de faire une «entrée en premier » sur un théâtre d’opération (sous coordination OTAN bien sûr). L’entrée en premier, caractérise, selon le Ministère des Armées une « projection de puissance interarmées… dans une zone fortement défendue» ! Cette « nation-cadre » doit également être en mesure d’assurer le commandement d’une force multinationale (et de tenir des fonctions clés, en matière d’information et de communication par exemple).
En fait, Macron se sert de Orion 23 pour montrer à l’OTAN (en clair aux Etats-Unis) que la France peut parfaitement être une « nation-cadre » dans une opération militaire de haute intensité dirigée contre un Etat, qui est évidemment la Russie ! Le message que Macron adresse aux américains, et que les Russes entendent parfaitement, est le suivant : « l’armée française est une bonne élève de l’OTAN, elle est soumise et suit bien les consignes de l’Organisation. Elle est prête, Orion 23 va vous le prouver, à « entrer en premier » dans les zones « fortement défendues » par la Russie ! Elle n’attend plus que votre ordre pour le faire ! ».
Dit autrement, Macron signifie aux Etats-Unis qu’après avoir sacrifié leur dernier Ukrainien, ils pourront sacrifier leurs premiers Français !
Comprenons bien : cet homme, Macron, ne veut pas la paix ! Il a parié sur la guerre (son avenir en dépend) et joue la provocation envers la Russie. Il n’est qu’un rouage dans le jeu des engrenages qui nous mène inexorablement à un conflit armé contre la Russie. Les Français ont dormi durant la manipulation du Covid, ils feraient bien de réagir avant de se réveiller dans une tranchée ukrainienne !
Antonin Campana
67 612 vues 4 avr. 2018
A l’instar des Balkans dans les années 90, l’interminable calvaire syrien et l’instabilité géopolitique grandissante de la région moyen orientale manifestent l’affrontement tous azimuts entre les acteurs globaux et régionaux d’une reconfiguration des rapports de force à l’échelle planétaire.
Au delà du sort de la région, ce n’est en effet rien moins que l’avenir de la relation américanorusse, celui du nouveau condominium sino américain, mais aussi l’issue des tentatives des puissances régionales importantes (Iran, Turquie, Arabie saoudite) et enfin le sort d’une Europe fragilisée et très divisée qui se jouent sur les décombres de l’un des berceaux de notre civilisation.
Les enjeux de puissance, d’influence et leur paradoxes, mais aussi les questions géo économiques, énergétiques et monétaires sont en question derrière la présentation biaisée et sensationnaliste d’une tragédie humaine. Le conférencier reviendra sur ces différents domaines pour tenter de dégager quelques grands questionnements et peut être quelques axes d’effort souhaitables pour une politique extérieure française à repenser.
https://youtu.be/ykr6blvHMOc Caroline Galactéros en conférence en 2018:Moyen Orient le tragique laboratoire des nouveaux équilibres du monde
Pour que la Suisse retrouve sa démocratie directe qui lui a été confisquée, ils faut traquer les francs maçons au parlement Fédéral et cantonaux, dans la justice, et dans l’économie, en publiant sur internet leurs noms, prénoms et adresses, et chasser çes réseaux atlanto sionistes, qui ont l’impunité en Suisse, qui attaque notre démocratie directe et notre neutralité. Nous devons les interdire et les déclarer agent de l’étranger, comme le fait la Hongrie de Orban
”Ne pas laisser notre politique extérieure et notre démocratie à l’Union européenne.”
M. Berset (PS) et Mme Sommaruga (PS) font partie du NOMES Nouveau mouvement européen suisse !!
https://www.parlament.ch/fr/ratsbetrieb/suche-curia-vista/geschaeft?AffairId=20175584
”Démonter les influences de :
– la presse à pensée unique les grands groupes de la presse ont tout noyauté !
– apprendre à diversifier ses sources et oublier la RTSocialiste !
– démonter la dictature numérique.” c’est dans la ”normalité” de la chose, les merdias, aux ordres des politicards pourris et corrompus, transmettent de la PROPAGANDE !