La RTS, Arcinfo et la censure, quand le journaliste détermine ce que le quidam ne doit pas savoir
« Plus de 95 % des personnes prévenues étaient des hommes. Le groupe d’âge des 18 à 39 ans en présentait la part la plus élevée et les personnes prévenues d’origine étrangère étaient surreprésentées par rapport à leur part dans la population. »
Il est beaucoup question ces temps-ci de fake news, de propagande, de réseaux sociaux menaçant la démocratie. Pour échapper aux rumeurs et théories complotistes, il faut consulter le journalisme de qualité. Avec les journalistes de qualité, aucun risque d’être mal informé voire d’être désinformé.
La réalité est un peu différente. Sur son site internet, la RTS évoque le rapport sur le harcèlement sexuel en Suisse paru hier. On y trouve mot pour mot ce qui figure en tête du présent billet « les personnes prévenues d’origine étrangère étaient surreprésentées ».
Mais la RTS ne le signale pas. Pas un mot sur cette surreprésentation étrangère. On relève que les personnes LGBTIQ+ sont particulièrement exposées mais rien quant à la présence étrangère parmi les auteurs.
Pas un mot non plus dans le quotidien neuchâtelois Arcinfo, celui-là même qui nous expliquait qu’il fallait voter oui à l’aide à la presse car elle constitue la seule voie de salut face à la désinformation.
Voici l’état de l’information dans notre pays. Une information lacunaire, partiale, évaluée par les censeurs qui décident que les victimes LGBTIQ+ méritent d’être citées mais rien, mais alors rien sur l’origine des auteurs.
Il est vrai que lorsqu'un ponte des Frères musulmans explique doctement que la femme non voilée n'a pas d'honneur et passe de mains en mains telle une pièce de monnaie, cela peut donner des idées. Mais pas un mot à ce sujet, ce n'est pas politiquement correct.
Le peuple n’a pas à savoir qui pèse lourd en matière de harcèlement sexuel. Il ne faudrait pas donner raison à l’UDC qui l’affirme depuis bien longtemps. Dès lors qu’une information dépasse la grille de lecture du journaliste, il choisit de ne pas la publier. Qu’un organe de presse privé choisisse de taire les informations qui le dérangent, c’est entre lui et les lecteurs. En revanche, pour ce qui est de la RTS, c’est avec notre argent.
Nous sommes toutes et tous obligés de financer une propagande gauchiste qui se prétend essentielle à la démocratie. En Suisse, le peuple ne mérite de savoir que ce qui arrange les journalistes. Ce n’est pas un hasard s’ils sont tellement hostiles aux réseaux sociaux qui permettent au quidam d’échapper à la propagande bien-pensante.
Et d’apprendre que « les personnes prévenues d’origine étrangère étaient surreprésentées ».
Yvan Perrin, 28.04.2022
Mais oui, mais oui. Prends une autre bière et roule-toi une clope, c’est bon pour ce que tu as, Yvan.
Oui mais pas des psys aux ordres!
Les merdias constituent le 1er pouvoir !
Les merdias suisses sont le cancer du pays.
La RTS la tumeur, les autres merdias les métastases.
Lors du prochain appel a la redevance, nous devrions deposer ce payment chez un notaire, pour éviter de financer des instruments de propagande qui nous font office de medias
Excellent resume encore une fois de Mr Perrin. La tristesse me prend de retour d un long periple a l etranger, de constater qu une grande partie de mes compatriotes aiment a se complaire dans cette mediocrite qui traverse tout l Occident , cela avec la funeste complicite de beaucoup de merdias et politiques , signant un veritable suicide des valeurs et droits de nos peuples a une reelle independance et liberte de choix .
Le politiquement correct c’est comme un Kleenex (mouchoir en papier) ! une fois utilisé, on le jette à la poubelle … Au moins le Kleenex a été utile !
La RTS est l’organe de propagande officiel de la Suisse. Nous en sommes les mécènes involontaires. Imaginons que nos élites soient atteintes d’une crise subite de déontologie et décident (on peut rêver) d’une redevance à l’image de l’impôt ecclésiastique. Celui qui refuse de payer serait exclu du parti socialiste. Le gauchisme en déclin pourrait alors fusionner avec le Vatican.
le politiquement stupide
Le fait que les médias bien-pensants protègent systématiquement la diversité démontre on ne peut plus clairement qu’il y a un gros problème avec cette diversité.
Maintenant, comme paradoxalement il y a peu de diversité dans les rangs des journalistes, et certainement peu qui doivent vivre au milieu de cette diversité, il faut en déduire soit que ceux-ci se foutent complètement de l’avenir de la Suisse et de l’Europe, et de celui de leurs enfants et petits enfants, soit qu’ils aient une envie morbide de vivre dans un pays comme le Liban, au milieu de guerres tribales ou dans la charia.
C’est de psys dont la Suisse et l’Europe ont besoin, et des très bons !