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Dire que les gauchistes veulent que les français françaises vote pour micron le dépeceur de la France au lieu de sa concurrente qui au contraire veux défendre ce pays contre la main mise de la finance américaine.
Des traitres tout simplement.
https://www.ojim.fr/mckinseygate-revelations-en-mode-discret-dans-les-medias-de-grand-chemin/
Les liens entre McKinsey et Emmanuel Macron
Les liens entre McKinsey et Emmanuel Macron ont fait l’objet en février 2021 d’un article du Monde. Mais à la veille de l’élection présidentielle, ils refont surface de façon encore plus détaillée.
Il s’agit d’une longue histoire, puisque comme nous l’apprend Le Télégramme, « les liens entre Emmanuel Macron et le cabinet McKinsey remontent à 2007. Emmanuel Macron, alors inspecteur des finances, a 29 ans ».
Médiapart titre un article paru le 31 mars sur les « prestations offertes et jeux d’influence : révélations sur McKinsey et Emmanuel Macron ». Les exemples ne manquent sur ce qui semble être un retour d’appareil sur le mode « don contre don » théorisé par Marcel Mauss. « On vendait des fortunes des trucs effarants de nullité », aurait avoué un ancien consultant de McKinsey au site d’investigation.
Derrière les organisations, il y a les hommes et les femmes. Des salariés de McKinsey ont été « bénévoles » pendant la campagne présidentielle d’E. Macron en 2017. France 24 cite l’enquête du Monde : « Plusieurs consultants ou anciens consultants du cabinet qui avaient participé bénévolement à la campagne du candidat Macron en 2017 ont ensuite intégré des postes au sein de la Macronie ».
Sur Twitter, de nombreux abonnés publient des tweets plus ou moins documentés et sourcés sur les liens entre le cabinet McKinsey et la « macronie ». Ainsi Éric Anceau illustre un Tweet sur « La République McKinsey en marche ! » par des CV de jeunes « marcheurs » passés par McKinsey.
La contre-attaque
Le camp présidentiel ne reste pas inerte. Comme nous l’apprend BFM TV le 27 mars , « interrogé sur l‘affaire McKinsey, Macron s’agace et conteste d’éventuelles « combines ». La photo qui illustre cette contre-attaque montre le président avec sa gestuelle si particulière qui a su faire illusion pendant les dernières années.
Le 28 mars, c’est « le gouvernement (qui) crie au « complotisme » des oppositions sur McKinsey », nous informe le journal Libération.
Lors d’une conférence de presse organisée le 30 mars animée par deux ministres, Olivier Dussopt et Amélie de Montchalin tentent de déminer le terrain : « Les attaques sont de plus en plus fortes & grossières (…) nous allons rappeler un certain nombre de faits pour que le débat démocratique puisse vivre clairement ».
L’ex patron de Sud radio, Didier Maisto, tient également à rappeler sur Twitter « un certain nombre de faits » :
« 1. Olivier Dussopt est visé par une enquête du PNF pour corruption et prise illégale d’intérêts
2. Le mari d’Amélie de Montchalin a été membre de Boston Consulting Group jusqu’en 2020, cabinet de consultants au cœur du scandale d’État ».
Conjugué au Rotschildgate, c’est en creux un nouveau visage du régime LREM en place qui apparait, fait d’affairisme, de retours d’ascenseur et de dépenses faramineuses et contestables. Si dans les réseaux sociaux, en particulier sur Twitter, les commentaires sont acerbes, le peu de médiatisation de cette « affaire » revient en boucle. Le juriste Régis de Castelnau fait part sur Front populaire de son « verdict », bien que la justice ne se soit pas emparée de l’affaire :
« Le patron de la république bananière s’agace. Pour le #McKinseyMacronGate, j’ai noté pas moins de 5 infractions pénales probables. Fraude fiscale, Concussion, Délit de favoritisme, faux témoignages et bien sûr Corruption. Coucou le PNF ».
Circulez, il n’y a rien à voir. A suivre…