Schengen, l’imposture onéreuse
Dès les premières négociations au sujet de Schengen-Dublin, l’UDC a manifesté son hostilité à cet irresponsable concept qui voulait faire de l’Europe un espace de liberté et de sécurité. Il fallait bien quelques technocrates bruxellois pour imaginer qu’il serait possible de surveiller les frontières extérieures de l’Union européenne. Le plan était pourtant parfait, il y aurait Frontex, une sorte de corps des gardes-frontières chargé de veiller à ce que nul ne s’annonce sur le territoire européen sans y avoir été invité. Il suffisait de leur octroyer les moyens nécessaires et tout roulerait comme sur des rails. Restait tout de même la question de la délinquance interne. Dès lors que tout était ouvert, on pouvait aisément imaginer que certaines ethnies connues pour leurs penchants criminels en profiteraient. Lorsque les frontières tombèrent, les premières lacunes surprirent les concepteurs. L’Union européenne était un vrai moulin où chacun allait et venait sans entraves. Bon sang, mais bien sûr ! Frontex manquait de moyens. Il fallut donc déverser de plus en plus d’argent dans ce tonneau sans fond tandis qu’on attendait en vain un éventuel résultat
La faillite du système fut dramatiquement mise en évidence lors des attentats de Paris en novembre 2015. Les terroristes avaient pu se déplacer sans problèmes particuliers entre les territoires contrôlés par l’Etat islamique et l’Europe. Ils avaient ensuite été en mesure de quitter la France là-encore sans encombres.
Aujourd’hui, on nous demande une nouvelle fois de jeter l’argent du contribuable par les fenêtres pour satisfaire la bureaucratie bruxelloise toujours avide de fonctionnaires inutiles. C’est notre conseillère fédérale Karin Keller-Sutter qui est à la manœuvre. Au début du mois, elle a été invitée à débattre du futur de Schengen avec ses homologues européens. A cette occasion, le président Macron a fait savoir que « l’Europe doit reprendre en main la protection de ses frontières, condition indispensable pour garantir la libre-circulation circulation des personnes à l'intérieur de l'espace Schengen. » Bel aveu d’un personnage qui ne passe pas pour hostile à l’Union européenne. Cette dernière a perdu le contrôle de ses frontières.
Merci de confirmer ce que l’UDC explique depuis le début. Mais pas question de revenir sur l’idée générale, quelques menues adaptations suffiront. Le président français propose la création d’un conseil de pilotage qui « assumerait des activités opérationnelles et pourrait apporter un soutien rapide et ciblé aux États Schengen en cas de crise. » Mais voilà une idée qu’elle est bonne !
La Suisse y serait associée moyennant finance, bien évidemment. Ca suffit ! NON à Schengen !
@Jean-Francois Morf le 17 février 2022 à 15h21
En ce qui concerne l’Australie ce sont également des femmes prisonnier qui ont été envoyer la-bas , de ce faite les Australiens sont très attaché a leur liberté personnel mais également refusent et ce sont donner les moyens pour éviter l’immigration sauvage.
Si vous êtes pris c’est remise direct dans le premier avion vers votre pays de départ ou des camps si vous arrivez par la mer, quelque soit le pays.
C’est ce que l’Europe doit faire et commencer déjà par arrêter de subventionner toutes ces association pro migrants.
L’Angleterre a colonisé l’Australie en y expédiant tous ses repris de justice mâles.
Le Magreb nous expédie tous ses repris de justice mâles pour nous grand-remplacer: ils ne sont pas des humanistes: ils viennent pour nous tuer, et c’est leur devoir de djihad.
Ce pseudo-accord (promu par Calmy-Rey encore une socialiste) doit être dénoncé rapidement et revenir à la sécurité gérée par la nation pour elle-même.
Schengen un panier percé !
Tous les migrants issus de l’immigration de masse illégale profite de l’efficacité redoutable de la technocratie bruxelloise …. !!
Mme Merkel en 2015 a amorcé la pompe pour faire venir et accueillir toute la misère du Monde, y compris toutes ces ”chances” qui encombrent maintenant nos prisons.
Schengen-Dublin a été l’une des nombreuses victoires à la Pyrrhus de la Calmy-Rey. Comme toutes les catastrophes, lorsqu’elles arrivent en fin de vie, il faut les achever pour qu’enfin elles passent de vie à trépas. Ce serait une absurdité de vouloir donner une seconde vie à ce qui a tant coûté à notre pays et qui souvent a servi de prétexte pour s’aligner à l’UE.