Faible et transitoire, comment Arcinfo voit l'aide à la presse.
Le 13 février se rapproche. Arcinfo fait donner l'artillerie lourde afin de convaincre l'électeur de soutenir la presse. On trouve sur la page Facebook du quotidien une charmante vidéo dont une capture d'écran figure ici. On y trouve le mot "transitoire" en évidence. A Berne, rien n'est plus durable que le transitoire, le provisoire. C'est juste pour faire passer le texte, il sera toujours temps ensuite d'expliquer comment ça marche tellement bien qu'il faut maintenir pour les prochains siècles.
Il est aussi question du mot faible au niveau des charges des médias. Faible, mais alors pourquoi tout ce battage pour quelques sous. Vu l'empressement mis par Arcinfo pour influencer le quidam, faible ne semble pas vraiment le mot.
La meilleure reste tout-de-même "seule l'approbation de leurs lecteurs compte". C'est-y pas beau ça ? C'est bien le très exact inverse que l'aide à la presse propose, à savoir soutenir des médias qui ont perdu l'approbation de leurs lecteurs. Et c'est précisément pour cela que la presse a besoin d'aide.
Pour survivre en continuant à produire ce que les lecteurs ne veulent plus lire.
NON le 13 février !
Yvan Perrin, 2.02.2022
Les médias nous mentent comme des arracheurs de dents (charia religion de paix et d’amour, vaccin efficace, etc) , et nous devrions les récompenser pour leurs mensonges?
Qu’ils crèvent, c’est tout ce qu’il méritent!
Il y a eu les amoureux de Billag et de son successeur. Désormais, nous paierons encore plus cher la Pravda. Mais oui, ce sont les lecteurs qui le désirent de toute leur âme. Il faut que nos grouillots de journalistes pètent dans la soie. Les gens qui nous expliquent sans relâche ce que nous devons penser sont à mettre à l’abri du besoin. Pour ouvrir un journal, il faut avoir le stoïcisme du martyr et faire abnégation de toute forme de questionnement. Plus besoin de s’abonner ni même de soutenir le plumitif, vous adhérerez automatiquement par la grâce de l’impôt.