Carla Montet: En Suisse romande, concernant l’assaut du Capitole du 6 janvier 2021, la totalité des accusations du camp Démocrate ont été reprises, sans nuances, par nos médias subventionnés.
En fait, tout ce qui se passe dans le monde, et particulièrement aux États-Unis, est réinterprété par nos médias selon les prises de positions et les dogmes du parti Démocrate et des médias qui le servent.
La population romande subit quotidiennement une sorte d’Anschluss idéologique avec ce jumelage, sans pour autant manifester son mécontentement. Pourtant, une telle uniformité du paysage médiatique est inexistante à notre connaissance dans les autres pays occidentaux; même en Suisse alémanique, un minimum d’opposition subsiste.

L’exemple de la commémoration de l’assaut du Capitole illustre parfaitement à quel point nos médias sont inféodés au politiquement correct, reprenant les analyses et discours mensongers du parti Démocrate. Ensuite, les divers «spécialistes» et envoyés spéciaux invités pour analyser l’événement leur servent à appuyer leurs positions pré-établies, à renforcer en chœur les opinions identiques.
Ici, l’assaut du Capitole est estimé comme un événement majeur et une attaque grave contre la démocratie. Mais nous aurions pu prendre n’importe quel exemple, les élections, la présidence de Trump, d’Obama, de Clinton: nos médias sont les succursales des Démocrates américains.

En Suisse romande, aucun média n’a parlé du fait que les dernières élections américaines ont été massivement fraudées. Les informations biaisées ou mensongères s’enchaînent, et jamais aucun démenti ne suit lorsque tous les USA savent qu’ils s’agit d’un mensonge créé de toutes pièces pour discréditer un adversaire des Démocrates. Comme cela avait été le cas avec la série d’accusations mensongères concernant Trump, nos médias sont pris dans un engrenage de mensonges et de désinformation sans fin.

Aux États-Unis, les Démocrates utilisent depuis une année à leurs fins politiques la gigantesque manifestation pro-Trump du jour de l’investiture de Biden, afin de réduire la contestation à l’incident de l’intrusion au Capitole d’une minorité manipulée. Ils grossissent l’épisode pour détourner les regards des élections volées, qui signifient l’illégitimité des Démocrates au pouvoir. En faire un événement majeur sert à justifier la répression, les emprisonnements, à intimider, à réduire au silence ceux qui contestent les élections volées.

Après avoir piétiné la démocratie, le gouvernement en place se justifie devant le peuple en actionnant un de ses outils de subversion préférés, l’inversion de la réalité par la victimisation, tout en sachant parfaitement qui sont les vrais responsables de l’intrusion au Capitole.

Biden s’est plaint que l’insurrection ait affaibli la démocratie américaine, mais en réalité c’est l’usage de méthodes immorales pour arriver au pouvoir qui a affaibli la démocratie américaine. C’est-à-dire la fraude électorale, le recours systématique aux mensonges pour affaiblir l’adversaire, l’usage des Antifa et de l’extrême Gauche pour semer le chaos, la terreur, la persécution sociale des opposants, la «wokisation» des esprits: voilà les méthodes utilisées par le camp des Démocrates qui ont gravement affaibli la démocratie américaine.

Et voici, en résumé, ce qui s’est passé ce jour du 6 janvier 2021.
Comment une partie des manifestants pro-Trump ont pu être entraînés dans ce piège par des manipulateurs bien organisés.
Tout le reste n’est que mensonge, et Trump n’y est pour rien.

Résumé par Guy Millière: 6 janvier 2021 : Les démocrates américains veulent faire des Etats-Unis une dictature totalitaire

[...] Rien ne se passe comme prévu. Pendant que Trump parle encore à la foule devant la Maison Blanche, des gens parmi ceux déjà présents devant le Capitole insultent les policiers. Des policiers envoient des grenades lacrymogènes dans la foule, qui est, oui, très calme (et donc rien ne justifie l’envoi de grenades lacrymogènes : le droit de s’assembler paisiblement est inscrit dans le Premier amendement), puis ils ouvrent les barrières de sécurité et font signe aux gens d’avancer vers le bâtiment. Les gens s’approchent du Capitole. Des hommes, ceux qui insultaient les policiers, incitent la foule à prendre le Capitole d’assaut : deux d’entre eux commencent à escalader un mur et incitent d’autres à le faire, et une dizaine de manifestants se laisseront entrainer, ce qui fera les photos que vous voyez dans la presse. Une dizaine sur un million de personnes !  Des hommes, ceux qui insultaient les policiers encore, utilisent des pics à glace et des marteaux de vitrier pour briser les vitres de plusieurs fenêtres du Capitole et communiquent entre eux par walkie-talkie. Ils sont vêtus de noir et ne font pas partie des manifestants. La police du Capitole n’intervient pas contre ces hommes. Des manifestants tentent de les arrêter, en vain. Ils entrent et ouvrent les portes du Capitole et font signe à la foule d’entrer. Des policiers du Capitole font eux aussi signes à la foule d’entrer. Ceux qui entrent font le tour du Capitole. Les policiers du Capitole leur servent de guides. Rien n’est cassé, sauf dans un couloir où une porte fenêtre est fermée, et des hommes en noir décident de la briser. Des policiers du Capitole sont là et n’agissent pas. Ils s’en vont rapidement et laissent des hommes en noir et quelques manifestants devant la porte fenêtre. Un homme en noir dit aux manifestants d’entrer par la porte fenêtre. Une femme, Ashli Babbitt, tente d’entrer. Un policier qui était caché dans un renfoncement tire une balle qui atteint la femme à la gorge. Elle tombe. Elle se vide de son sang, et mourra un peu plus tard. Elle n’était pas armée et ne menaçait personne. Elle franchissait une porte vitrée brisée. Le policier n’avait aucune raison pour tirer et tuer. C’est un meurtre, oui ! Elle sera le seul mort tué au sein du Capitole, oui ! Le policier meurtrier s’appelle Michael Byrd. Les hommes en noir s’esquivent vite. Ils changeront de tenue avant de s’éloigner. Quand les manifestants ont commencé à sortir du Capitole, invités à le faire par des policiers du Capitole, les policiers du Capitole ont à nouveau fait usage de grenades lacrymogènes et deviennent violents, et il y a eu une bousculade. Deux manifestants ont eu une crise cardiaque et en sont morts. Une femme est tombée, et est morte piétinée. L’irruption dans le Capitole a duré trois heures. Il y a eu une dizaine de vitres brisées, une porte fenêtre également brisée, quelques menus objets volés. C’est tout. Aucun policier n’a été blessé. [...]

Derrière cette réinterprétation généralisée du réel dans les médias en Suisse romande se trouve l’idéologie marxiste, progressiste, en constante mutation, menant notre civilisation dans le mur.

Comme chaque fois que la Gauche a pris le pouvoir dans l’histoire de l’humanité, ici aussi la fin justifie les moyens, le jeu démocratique fait place à l’étouffement du réel, c’est de cette manière que la socialocratie s’est imposée partout dans le monde.

Bien entendu, partout les élites cherchent à rester au pouvoir, mais avec cette différence de taille que Houellebecq relève si bien, à savoir qu’en Occident les élites haïssent le peuple, lui inculquent la haine de soi, et la culpabilisation de la population lui fait supporter toutes leurs folies destructrices.

En Russie, en Chine, en Inde, au Japon... les gouvernements cherchent aussi à protéger leur pouvoir, mais tout en préservant leur peuple, comme par exemple en faisant barrage aux idéologies suicidaires provenant des Blancs dégénérés.

Les discours de commémoration de Biden et de Kamala Harris ont comparé l’assaut du Capitole à l’attaque de Pearl Harbor et à celle du 11 septembre, et Harris s’est même demandé si le 6 janvier 2021 serait considéré un jour comme le début de la fin de la démocratie américaine.

Harris: « Je me demande comment on se souviendra du 6 janvier dans les années à venir. S’en souviendra-t-on comme d’un moment qui a accéléré le démantèlement de la plus ancienne et de la plus grande démocratie du monde, ou comme d’un moment où nous avons décidé de sécuriser et de renforcer notre démocratie pour les générations à venir ? » (source)

Discours de Biden (24:38): https://www.youtube.com/watch?v=D1OSQfrnovw

Discours de Harris (8:00): https://www.youtube.com/watch?v=axuhGEKPKTs

Attaque de Pearl Harbor (4:58): https://www.youtube.com/watch?v=tCycoVlHHiw

Attaque du 11 septembre (8:54): https://www.youtube.com/watch?v=nh28XcnpzX4&t=1s

Le 6 janvier 2022, jour anniversaire, les médias romands ont parlé d’un épisode majeur, comme s’il s’agissait de la prise de la Bastille ou de celle du Palais d’Hiver à Petrograd, tout un délire bâti pour la circonstance. Des journalistes se sont indignés qu’une année après son investiture, 71% des Américains de la Droite contestent la légitimité de Biden.

La prise du Capitole, comparée à la prise de la Bastille ou à celle du Palais d’Hiver à Petrograd.

Archive du 6 janvier 2021 (AP Photo/Manuel Balce Ceneta, File) The Associated Press. Des partisans du président Donald Trump font face à des agents de la police du Capitole des États-Unis devant la salle du Sénat à l’intérieur du Capitole à Washington.

La chasse aux sorcières a bien changé de camp depuis le maccarthysme des années 50.
Depuis que la Gauche est victorieuse, la persécution sur base idéologique des malpensants et leur répression judiciaire connaissent une ampleur jamais vue dans les démocraties modernes.

Les Big Tech se sont rangés eux aussi du côté des vainqueurs, la liberté d’expression est de plus en plus grignotée par une réalité parallèle qu’on nous impose. Toute la censure sur le net doit servir le point de vue progressiste, créer des masses lobotomisées faciles à guider.

Suisse - Grève des femmes 2019: 500’000 manifestantes ont défilé contre le patriarcat, les inégalités et la misogynie.

Dans le discours de Biden du 6 janvier, son équipe a même inventé un marécage «trumpien» à assainir, pour contrer le Deep State évoqué par Trump, qui l’a tout de même persécuté durant 4 ans, sur base de délits, scandales et calomnies sans fondement (collusion avec la Russie, viols imaginaires, fraudes électorales, misogynie...).

Après l'hystérie planétaire déclenchée par le camp progressiste autour de George Floyd, suite à son arrestation qui a mal tourné, et alors que le policier concerné a été jugé coupable et condamné à 22,5 années de prison, noter que le meurtre d'Ashli Babbitt, une femme Blanche au CV exemplaire, meurtre commis sans sommation par un officier Noir du Capitole, visant la tête à bout portant, n’a jamais été suivi d’une inculpation, ni de manifestations...

Tout le déchaînement des Antifa et BLM en 2020 a préparé le terrain pour faire accepter la fraude électorale. Le racisme systémique a servi à couvrir une fraude électorale systémique, et avec l'aide convergente des Big Tech, des médias et des spin doctors, très au fait des manipulations de masses, les Démocrates ont réussi leurputsch.

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La RTS commémore le 6 janvier et rappelle que le FBI cherche encore dans les mails et tweets de Trump les preuves de sa culpabilité.

Forum - L’impact politique de l’assaut du Capitole il y a un an: interview de Françoise Coste

7 min. - Forum du 5 janvier 2022: https://www.rts.ch/audio-podcast/2022/audio/l-impact-politique-de-l-assaut-du-capitole-il-y-a-un-an-interview-de-francoise-coste-25791397.html

Mehmet Gultas, journaliste indécrottable de la RTS, interviewe Jordan Davis en direct de Washington, le gauchiste de service totalement orienté.

- Les émeutiers sont entrés de force dans le bâtiment, c’est du terrorisme intérieur, ils voulaient empêcher le transfert pacifique du pouvoir au gouvernement légitimement élu.
Biden a délivré en ce jour de commémoration de ces événements tragiques son discours le plus passionné de son mandat.

Nous apprenons comme crime que des manifestants ont déféqué dans le bâtiment, le symbole même de la démocratie! Tout ça parce que Trump a contesté avec son fan-club l’intégrité de l’élection. À cause de Trump, le pays est plus divisé que jamais.

- Quel est l’impact des émeutes sur la démocratie?

Et le plat de résistance du jour arrive, servi par Mehmet Gultas:
Françoise Coste, professeure à l’Université de Toulouse, historienne spécialiste des États-Unis, biographe de Ronald Reagan, qui va expliquer sa science aux auditeurs.

Françoise Coste est présentée comme la biographe de Reagan, mais son livre est un vulgaire pamphlet à charge contre Reagan, comme il en sort des dizaines dans les librairies contre chaque président Républicain élu. Ces œuvres sont unanimement saluées et valorisées par nos médias, primées, puis oubliées. Françoise Coste a bâti toute sa carrière sur ce livre.
Elle est sur les plateaux TV, maître de conférences, enseignante à l’université en tant que spécialiste des États-Unis... (du point de vue progressiste, mais sans que cela soit dit).

Extrait de l’interview:

Mehmet Gultas: Trump nie toute responsabilité, peut-il être condamné?

Françoise Coste: La commission d’enquête travaille dur et collecte les documents, on peut imaginer l’inculper comme Nixon avec le Watergate. Et si le Congrès trouve, il faut encore le mettre en examen. Politiquement, c’est explosif et Coste désespère.

«L’assaut a fait entrer le parti Républicain dans une période très sombre, le parti a basculé, abandonné le socle démocratique libéral occidental, a fait un pacte avec le diable en vendant son âme au diable, à Donald Trump.

Les Républicains qui ont rompu avec Trump ne seront pas réélus. Leur honneur a passé avant leur carrière.
Le reste, la base électorale de Trump, qui utilise la violence, revendique avec fierté utiliser la violence, est une sorte de mouvement mafieux qui fait physiquement peur. Les supporteurs de Trump sèment la terreur…»

lien vers l’émission: https://www.rts.ch/audio-podcast/2022/audio/l-impact-politique-de-l-assaut-du-capitole-il-y-a-un-an-interview-de-francoise-coste-25791397.html

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Concernant la culpabilité de Trump: Lors de la 1ère audition sur l’émeute du Capitole, les Démocrates réalisent que Trump était innocent

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Voici une autre émission avec la "spécialiste" Françoise Coste, fustigeant «l’extrême Droite» et les médias alternatifs.

Alt-Right, Fachosphère: Quand l’extrême droite s’empare du web (France Culture)

Françoise Coste: ... le parti Républicain, depuis 50 ans, devient de plus en plus conservateur et remet en cause les faits. C’est la post-vérité. Ils nient le réchauffement climatique et c’est la faute à Trump. Les fact-checkers sont démunis face à ces mensonges.

Voir aussi; Les Américains ne sont pas dupes de ce que racontent les Démocrates au sujet du 6 janvier 2021

Faillite de l’Hebdo: Le Conseil d’Etat vaudois veut contraindre les contribuables à passer à la caisse pour la presse!