Cenator : Nous aimerions savoir de quoi vivent les membres de ce squat et combien ils vont coûter à la collectivité durant leur temps d’occupation.
Nous parions qu'aucun d’eux ne se lève le matin pour trimer et payer ses impôts.
En général, ces « collectifs » sont constitués de petits gauchistes qui se prennent pour de grands révolutionnaires, qui ont le luxe de pouvoir imposer en toute quiétude leur loi au-dessus des lois, puisque la ville de Lausanne est dirigée par des gens qui partagent leur idéologie.
Lausanne est endettée par tête d’habitant au même niveau que la Grèce.
Les collectifs d’espaces alternatifs autogérés sont juste une population intouchable, faite de communistes à l’ego surfait, vivant majoritairement de subventions, de fils à papa et d’autres illuminés de luxe qui font leur cinéma aux frais des contribuables, à l’instar des zadistes du Mormont.
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Vide depuis six ans en attendant sa rénovation prévue vers fin 2022, l'auberge de Sauvabelin est désormais occupée par un collectif portant le nom de Roseau. Il veut faire de ce lieu un espace socio-culturel alternatif autogéré.
Les occupants disent avoir contacté les autorités lausannoises pour «ouvrir le dialogue et trouver un terrain d’entente». Ils souhaitent la signature d'un contrat de prêt à usage jusqu’au début effectif des travaux de rénovation.
Pour l'instant, Lausanne n'a dit ni oui ni non. Les discussions auront lieu prochainement.
source: https://www.lematin.ch/story/printemps-precoce-en-suisse-et-c-est-parti-pour-durer-529885715164 (à 14:44)
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Un collectif squatte l’Auberge de Sauvabelin
Mû «par des valeurs humanistes», le collectif Roseau a écrit à la Ville pour l’informer qu’il s’était installé dans la bâtisse vide depuis 2015, dans l’espoir d’en faire un espace autogéré.
Vincent Maendly -19.03.2021
Ayant pris acte que la rénovation de l’Auberge de Sauvabelin ne débuterait pas avant décembre 2022, au terme d’une «démarche participative», le «collectif Roseau» a décidé de s’y installer. Il en a informé mercredi la Ville de Lausanne, qui en est propriétaire. Dans un communiqué diffusé vendredi, les membres se disent «désireux de faire vivre l’endroit qui restera vide encore plusieurs années. Que des rires, des chants et des rêves résonnent entre ces murs, comme cela était le cas par le passé.»
«Notre collectif se compose d’individus venant d’horizons multiples, écrivent-ils: artistes, étudiants, travailleurs sociaux, artisans, horticulteurs, permaculteurs, […] tous unis autour d’un même projet, mû par des valeurs humanistes […] comme le partage, la solidarité, l’autogestion, la créativité ou encore l’horizontalité.» L’objectif est de créer «un lieu socio-culturel alternatif autogéré à visée écologique sortant des logiques destructrices du système capitaliste actuel». Le Collectif a rédigé un manifeste de 22 pages, dont trois de références bibliographiques.
[...] Depuis le temps, la Municipalité est rompue à ce genre d’événements et dispose d’un protocole en pareil cas: une première décision est prise par un trio: le syndic Grégoire Junod, le municipal de la police Pierre-Antoine Hildbrand et le municipal concerné, en l’occurrence Natacha Litzistorf, en charge du service logement et gérances. «Les occupants connaissent bien leurs droits, commente celle-ci. Comme ils sont installés depuis un moment, nous ne serions pas solides juridiquement à les faire expulser et dans l’immédiat, nous avons écarté cette issue.»
[...] Une visite technique est prévue lundi, avec des représentants de la police du feu, de la prévention des accidents, du service du logement notamment. [...]
L’Auberge de Sauvabelin est censée faire l’objet d’une démarche participative centrée sur sa rénovation. À terme, l’édifice doit retrouver sa vocation de café-restaurant.
article complet: https://www.24heures.ch/un-collectif-squatte-lauberge-de-sauvabelin-321239520453
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voir aussi:
https://lesobservateurs.ch/2015/05/23/vaud-gauche-veut-dialoguer-squatteurs/
https://lesobservateurs.ch/2015/05/24/letat-ne-peut-pas-durcir-le-ton-face-aux-squatters/
https://lesobservateurs.ch/2015/05/08/canton-de-vaud-napplique-plus-lexpulsion-immediate-squatteurs/
etc.
@Stefen
Entièrement d’accord avec vous !
Cela me fait penser à la fable de Jean de La Fontaine : la cigale et la fourmi
https://www.iletaitunehistoire.com/genres/fables-poesies/lire/la-cigale-et-la-fourmi-biblidpoe_003#histoire
Seulement la fin de la fable ne correspond pas à la fin du squat illégal … loin s’en faut !
Le squat fait le bonheur des associations et des services de la commune de Lausanne !
Si les services communaux sont surchargés, il faut engager encore plus de personnel … si les caisses sont vides, on utilise la péréquation financière et tous les con-tribuables vaudois passent à la caisse au moyen des impôts.
En cas de maladie ou d’accident, c’est direction le CHUV comme vous le décrivez et tout est gratuit; gratuit que pour le squatter, car il y aura bien une facture (salaire du médecin, salaires des infirmiers, coûts des médicaments, des installations et du bâtiment !) que nous payerons par nos impôts.
Il est pas beau le monde des squatters ?
Des profiteurs, des sangsues, des personnes qui ne s’assument pas ou très peu.
A mettre sous tutelle (encore un service de l’État que nous payons …)
Le canton de Vaud qui ne les a pas immédiatement expulsés n’est plus un état de droit!
Natacha Litzistorf, en charge du service logement et gérances, nous dit à mots couverts que les autorités n’ont pas le droit de les expulser. Les bras m’en tombent.
Pour connaître ces collectifs, c’est un pot pourri d’idéalistes, de doux rêveurs, de révoltés, de cabossés de la vie, de marginaux, souvent toxicomanes, qui vivotent d’aides sociales, de petits boulots, etc.
Et ça ne fonctionne pas, jamais.
Quand il y a un gros problème de santé, on court à l’hôpital et on est bien content qu’il y ait des abrutis qui se sont envoyés 7 ans d’études pour devenir médecin, enquillent leurs 60h/semaine en hôpital et la collectivité qui paie les assurances et les soins.
Et ce n’est qu’un exemple parmi d’autres, l’auto gestion ne fonctionne pas non plus. À un moment il faut des compétences, être organisé, des ressources et remonter les manches, ne serait-ce que pour entretenir les bâtiments.
Et là commencent les appels aux dons et à votre bon cœur, car la vente de scoubidous tressés en peau de chamois bio, ça paie à peine la consommation de cannabis.
Navré du cynisme, mais ces collectifs devraient ou être dissout, ou qu’ils assument l’entier de leurs frais, à commencer par l’achat d’une propriété, plutôt que de squatter celles des autres.
Nos lois, nos juges, nos institutions et les journalistes militants sont les meilleurs alliés de cette racaille autogérée par notre argent.
L’eau, le gaz et l’électricité ainsi que les frais divers sont bien entendus à la charge des con-tribuables lausannois !!
La municipalité de gôche lausannoise est COMPLICE et ne les expulsera pas …