Cenator: Une fuite importante "soulève le couvercle" du Parti communiste chinois en révélant l'identité de 1,95 millions de membres.
Ils ont infiltré des compagnies importantes, des fleurons des industries occidentales, le monde académique, c'est une révélation majeure, une infiltration qui dépasse de loin des scandales d'espionnages de l'époque soviétique. La réponse de la Chine a été immédiatement une attaque informatique massive contre le gouvernement des États-Unis.
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Des fichiers divulgués révèlent une infiltration massive d'entreprises britanniques par le Parti communiste chinois, notamment AstraZeneca, Rolls Royce, HSBC et Jaguar Land Rover
FranceSoir: Selon une enquête du journal britannique DailyMail, en date du 12 décembre 2020, les grandes sociétés britanniques ainsi que d’autres sociétés européennes sont infiltrées massivement par le Parti communiste chinois, notamment la firme pharmaceutique AstraZeneca (ndlr en concurrence avec le laboratoire Glaxo pour le vaccin contre la Covid-19), le motoriste Rolls Royce, la banque HSCB ainsi que Jaguar et Land Rover. Le DailyMail a obtenu des fichiers compromettants.
Des membres fidèles du Parti communiste chinois travaillent dans des consulats britanniques, des universités et pour certaines des principales entreprises britanniques, révèle The Mail on Sunday.
Une base de données divulguée de 1,95 million de membres enregistrés du parti révèle comment l'influence malveillante de Pékin s'étend désormais à presque tous les recoins de la vie britannique, y compris les entreprises de défense, les banques et les géants pharmaceutiques.
On suppose que certains membres, qui jurent de « garder les secrets du Parti, d'être fidèles au Parti, de travailler dur, de lutter pour le communisme toute ma vie ... et de ne jamais trahir le Parti », ont des emplois dans les consulats britanniques.
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Voir aussi :
Massive CCP Members List Leaked: “Party Branches Set Up Inside Western Companies” - USSA News
Massive CCP Members List Leaked: “Party Branches Set Up Inside Western Companies” - Conservative Daily Post
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La Chine "inonde" l'Amérique d'espions
Gatestone Institute, 14 décembre 2020
Par Gordon G. Chang
- Au vu de l'urgence, Washington devrait immédiatement fermer toutes les bases d'opération de la Chine aux États-Unis, y compris les quatre consulats restants - Chicago, Los Angeles, New York et San Francisco - et réduire considérablement le personnel de l'ambassade. En réalité, l'ambassade n'a besoin que de l'ambassadeur, de sa famille immédiate et de son personnel, et non des centaines de personnes qui y sont actuellement affectées.
- Le consulat de Chine à New York est également une plaque tournante de l'espionnage. James Olson, un ancien chef du contre-espionnage de la CIA, a estimé "de façon prudente" que la Chine, comme l’écrit le New York Post, "a à tout moment plus de 100 agents de renseignement opérant dans la ville". La ville de New York, dit-il, est "attaquée comme jamais auparavant".
- Pékin se contentera-t-il de transférer des espions vers les banques et les entreprises chinoises opérant aux États-Unis ? Probablement, mais cela prendra du temps et, en tout état de cause, Washington peut également ordonner la fermeture d'avant-postes non diplomatiques.
- D'autres diront que les entreprises américaines en Chine ont besoin d'un soutien consulaire. Bien sûr. Mais ma réponse est qu'il est dans l'intérêt de l'Amérique de faire sortir ses entreprises de ce pays, pour des raisons morales et autres. La perte du soutien consulaire sera pour elles une raison de plus de faire leurs valises en toute hâte.
Les révélations de ce mois-ci sur le représentant américain Eric Swalwell, un démocrate de Californie, mettent en évidence la pénétration complète de Pékin dans la société américaine.
L'influence, l’espionnage et les tentatives d'infiltration de la Chine submergent l'Amérique. Au vu de l'urgence, Washington devrait immédiatement fermer toutes les bases d'opération de la Chine aux États-Unis, y compris les quatre consulats restants.
Le plus frappant dans la nouvelle concernant Swalwell est peut-être le fait que Fang Fang, une agente présumée du ministère chinois de la Sécurité d'État, aussi appelée "Christine", l'a contacté pour la première fois non pas lorsqu'il siégeait au comité de renseignement de la Chambre des représentants, mais lorsqu'il était membre du conseil municipal de Dublin, en Californie.
Fang a suivi et promu sa carrière pendant qu'il était élu à la Chambre des représentants puis affecté à une commissiond'un grand intérêt pour la Chine.
La Chine a des centaines - peut-être des milliers - d'agents aux États-Unis qui identifient, préparent, soutiennent, influencent, compromettent et corrompent les Américains en politique et dans d'autres domaines importants pour elle.
Pour identifier et travailler avec tous les Swalwells, les collectionneurs chinois peuvent même se compter par centaines de milliers. Darrell Issa, le Républicain de Californie qui revient au Congrès, a déclaré à Fox News le 11 décembre qu'il y a "des centaines de milliers de personnes qui agissent comme des espions coordonnés par la Chine".
La Chine a une approche "à mille grains de sable", qui consiste à interviewer des étudiants, des touristes, des hommes et des femmes d'affaires à leur retour en Chine, en collectant des informations apparemment anodines. Cependant, Pékin est capable de collationner ces informations, grâce à son intelligence artificielle croissante et à d'autres capacités.
Fang semble être plus qu'une simple collectrice d'informations. Elle a peut-être même "piégé" Swalwell, qui n'a pas encore nié les allégations de relations sexuelles avec elle. Fang est venue en Amérique vers 2011 pour étudier à la Cal State University East Bay, où elle dirigeait un groupe politique, une section locale de l'organisation des Affaires publiques américaines des Îles de l'Asie et du Pacifique. À l'heure actuelle, la Chine compte environ 370 000 étudiants dans les collèges et universités américains. Le nombre des étudiants chinois a triplé en dix ans.
Chaque étudiant est un agent potentiel, car tous sont légalement contraints de commettre des actes d'espionnage contre les États-Unis. Les articles 7 et 14 de la loi chinoise de 2017 sur le renseignement national obligent chaque ressortissant chinois à espionner si on le lui demande. De plus, aucun citoyen chinois ne peut résister à une demande d'espionnage - ou de tout autre acte - dans le système top-down du Parti communiste.
Il n'est donc pas surprenant que la Chine emploie systématiquement ses ressortissants pour la collecte de renseignements et utilise les moyens diplomatiques pour les traiter. Fang, par exemple, a été en contact avec un diplomate soupçonné d'être un agent du ministère de la Sécurité d'État, basé au consulat de San Francisco.
Ce consulat a même hébergé une fugitive recherchée par le FBI. Tang Juan s'est finalement rendue aux autorités américaines le 24 juillet après avoir fui vers la sécurité du complexe un mois auparavant. Elle est soupçonnée d'avoir dissimulé des liens avec l'armée chinoise alors qu'elle travaillait comme chercheuse en biologie à l'université de Californie Davis.
En juillet, le Département d'État a ordonné la fermeture du consulat chinois de Houston. Le secrétaire d'État Mike Pompeo a déclaré que l'installation était une "plaque tournante de l'espionnage et du vol de propriété intellectuelle". On pense que le consulat a été utilisé pour obtenir illégalement, entre autres, des technologies de forage pétrolier d'entreprises texanes voisines.
Le consulat chinois de New York est également un centre d'espionnage. James Olson, un ancien chef du contre-espionnage de la CIA, a estimé "de façon prudente" que la Chine, comme l’écrit New York Post, "a à tout moment plus de 100 agents de renseignement opérant dans la ville". La ville de New York, dit-il, est "attaquée comme jamais auparavant".
Pompeo a déclaré au New York Post que ces agents de renseignement opèrent depuis le consulat de New York et la mission chinoise aux Nations Unies.
Les agents de la Chine submergent les services de police américains. Le directeur du FBI, Christopher Wray, en juillet, lors d'un événement parrainé par l'Institut Hudson, a déclaré que "près de la moitié" des affaires de contre-espionnage du bureau porte contre la Chine. Le FBI ouvre une affaire de contre-espionnage "liée à la Chine" "toutes les 10 heures environ".
Wray, devant la commission sénatoriale du renseignement en février 2018, a déclaré que la Chine utilise "des collecteurs d’information non traditionnels, en particulier dans le cadre universitaire, qu'il s'agisse de professeurs, de chercheurs, d'étudiants", ce que "nous voyons dans presque tous les bureaux extérieurs du FBI dans le pays".
Parfois, les diplomates se livrent directement à l'espionnage. Selon une étude d'Anastasya Lloyd-Damnjanovic pour le Woodrow Wilson International Center for Scholars, ils "sondaient le corps professoral et le personnel pour obtenir des informations d'une manière qui est compatible avec la collecte de renseignements".
Comme Dan Hoffman, un ancien chef de station de la CIA, l'a dit à Harris Faulkner de Fox News, le 10 décembre, "la Chine inonde la zone".
Il y a une seule façon de répondre à urgence que représente cette inondation d'espionnage : fermer les bases d'opérations de la Chine aux États-Unis. Cela signifie fermer les quatre consulats chinois restants - Chicago, Los Angeles, New York et San Francisco - et réduire de façon substantielle le personnel de l'ambassade. En réalité, l'ambassade n'a besoin que de l'ambassadeur, de sa famille proche et de son personnel, et non des centaines de personnes qui y sont actuellement affectées.
Tout en réduisant le personnel de l'ambassade à l'extrême, le Département d'État devrait expulser l'ambassadeur actuel, Cui Tiankai. Lui et un membre du consulat de New York ont tenté de recruter un scientifique comme espion dans le Connecticut.
Washington peut dire à Pékin qu'il peut envoyer un autre ambassadeur, mais devrait avertir les Chinois qu'il sera expulsé au premier signe de conduite inappropriée.
Pékin se contentera-t-il de transférer des espions vers les banques et les entreprises chinoises opérant aux États-Unis ? Probablement, mais cela prendra du temps et, en tout état de cause, Washington peut également ordonner la fermeture de ces avant-postes non diplomatiques. À cet égard, le président Trump peut utiliser la loi sur le commerce avec l'ennemi de 1917 et la loi sur les pouvoirs économiques d'urgence internationale de 1977 pour mettre fin à la coopération en matière de commerce, d'investissement et de technologie avec un régime qui utilise ces liens pour commettre des actes d'espionnage.
La Chine ripostera, bien entendu, en fermant les consulats américains et en réduisant la taille du personnel de l'ambassade à Pékin. Les analystes feront valoir que parce que l'Amérique est une société ouverte et la Chine une société fermée, Washington a plus besoin d'avant-postes diplomatiques en Chine que les Chinois n'ont besoin des leurs en Amérique.
C'est un argument de poids, mais les États-Unis devraient néanmoins agir pour montrer à Pékin qu'ils sont absolument déterminés à se défendre. Rien n’exprime mieux la volonté politique que le fait d'être prêt à prendre un gros coup.
D'autres diront que les entreprises américaines en Chine ont besoin d'un soutien consulaire. Bien sûr. Mais ma réponse est qu'il est dans l'intérêt de l'Amérique de faire sortir ses entreprises de ce pays, pour des raisons morales et autres. La perte du soutien consulaire sera pour elles une raison de plus de faire leurs valises en toute hâte.
Les choses pressent : les espions chinois envahissent l'Amérique, et des mesures moins drastiques ont échoué. Il est temps d’opter pour l’efficacité.
Gordon G. Chang est l'auteur deThe Coming Collapse of China. Suivez-le sur Twitter et Parler @GordonGChang.
Source : https://www.gatestoneinstitute.org/16853/espionage-china-spying-us
Traduction Cenator
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Les enjeux du coup d’état contre Trump sont planétaires
Publié par Guy Millière le 13 décembre 2020
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La Chine a acheté pour 400 millions de dollars l’entreprise fabriquant les machines à frauder Dominion et en est désormais propriétaire, ce qui signifie que les machines à frauder en usage aux Etats-Unis appartiennent désormais à la principale puissance ennemie des Etats-Unis. La Chine a financé Antifa et Black Lives Matter, au côté de milliardaires désireux de constituer une nomenklatura. Elle a, au côté des mêmes milliardaires, selon toute apparence, financé le Parti Démocrate, et même quelques Républicains tels l’infame gouverneur de Géorgie. Elle a infiltré les milieux politiques, financiers, économiques, éducatifs et culturels américains, jusqu’au plus haut niveau, et elle tient Joe Biden, et sans doute Kamala Harris. Joe Biden n’est pas seulement criminel et corrompu, il est tenu par la Chine.
Des dignitaires chinois parlent ouvertement de tout cela en Chine, et des vidéos ont été transmises à l’étranger, diffusées aux Etats-Unis, mais, bien sûr, immédiatement effacées par la Chine, et censurées par les grands médias américains et par les médias français.
La Chine entend soumettre le monde occidental, et cela implique pour elle de soumettre la première puissance du monde occidental.
La dissémination du coronavirus de Wuhan était un acte de guerre biologique, qui s’est doublé d’une guerre psychologique (l’effet de panique créé par des annonces fausses sur la létalité de la maladie) et d’un recours à l’émeute.
La guerre de la Chine contre les Etats-Unis se prolonge dans le coup d’Etat en cours.
Les enjeux de ce qui se passe aux Etats-Unis en ce moment sont planétaires. Ce qui est en jeu est la survie du monde libre. J’y reviendrai.
© Guy Millière pour Dreuz.info. Toute reproduction interdite sans l’autorisation écrite de l’auteur.
article complet: https://www.dreuz.info/2020/12/13/les-enjeux-du-coup-detat-contre-trump-sont-planetaires/
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Une fuite importante "expose" des membres et "soulève le couvercle" du Parti communiste chinois
https://www.youtube.com/watch?v=lDdhoSweBsY&feature=emb_imp_woyt
On peut presque s’étonner que les pays occidentaux sortent un tout petit peu de leur sommeil, mais il est vrai que la désindustrialisation de l’occident semblait une réalité tellement confortable et sans aucune conséquence à terme. Encore heureux que les européens aient le choix entre un Smartphone chinois ou un Smartphone des Etats-Unis !
Et personne dans la presse suisse ne semble s’intéresser à ceci…
https://www.ntd.com/400-million-sec-filing-links-dominion-ubs-and-china_536295.html
… à savoir les éventuels liens entre Dominion et l’UBS.
Espionnage ? mais noooon… une petite histoire des années 1960. Un de nos amis était PDG dans une grosse entreprise belge du genre : il entrait dans l’usine du coton en vrac et il en sortait des chemises d’homme sous cellophane . Un jour ils reçoivent une demande de la chine ou du japon , je ne me rappelle plus les détails, pour venir visiter l’entreprise belge. Celle-ci répond d’accord mais à condition que vous ne filmiez, ni ne photographiez . Alors ces visiteurs font leur visite et après leur visite ils ont, pour remercier, envoyé tout leur reportage qu’ils avaient filmé en caméra cachée … et ensuite l’usine a fermé et on a importé des chemises qui venaient de chez eux. Et ça c’était dans les années 1960… figurez-vous aujourd’hui…