Un responsable de la police de l'État de Virginie a fondu en larmes lors d'une conférence de presse dimanche, en décrivant comment des extrémistes et des émeutiers ont mis le feu à une résidence familiale avec des enfants à l'intérieur et ont ensuite empêché les pompiers d'intervenir.
William Smith, le chef du département de police de Richmond en Virginie, a éclaté en sanglots devant la presse alors qu'il racontait le chaos qui s'est produit lors des émeutes de samedi soir.
William Smith décrit comment des "manifestants" ont intentionnellement mis le feu à une résidence avec un enfant à l'intérieur et ont ensuite empêché les pompiers et les services d'urgence d'atteindre l'incendie. Heureusement, les policiers ont pu aider les pompiers à franchir les "manifestatns" pour atteindre la maison et sauver l'enfant.
William Smith relève également que son service de police dispose d'informations selon lesquelles de nombreux individus ont voyagé dans tout le pays participer aux troubles.
"Nous savons qu'il s'agit d'un effort organisé. Nous sommes déterminés à identifier ceux qui sont derrière tout cela. Et nous faisons de notre mieux pour arrêter les auteurs des violences sur notre communauté, notre ville et nos citoyens", a conclu M. Smith.
(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)
Voiceofeurope.com
c’est malheureusement vrai,ce n’est pas politiquement correct de dire que le meurtre de Floyd était un prétexte pour ce déchaînement organisé.
Cela prouve une nouvelle fois que certaines personnes ayant des moyens financiers important sont prêt a tout pour mettre le cahot dans tout les pays du monde afin de mettre en place leur vision du monde base sur la disparition des nations , des cultures, des langues, des histoires ; le premier d’entre s’appelle Georges Sorros . C’est le diable en personne .
Qu’y a-t-il derrière toute cette chienlit ? Les Démocrates, les “progressistes” dont ils font partie, les nazillons “antifas”, les ONG de Soros, toute la racaille de l’Occident décadent. Les États-Unis sont la proie d’une subversion extrémiste. Des crimes -de vrais crimes- sont commis et personne dans les médias de grands chemins n’y fait allusion, on préfère monter en épingle la brutalité (inexcusable, par ailleurs) d’un policier Blanc : cela nourrit la propagande des “indigénistes” de banlieue.