On rappelle que ni Berset ni notre "administration" n'ont voulu procéder à des mesures de contrôles à nos frontières. Mais pour Martin Leschhorn, c'est l'Afrique qui est la priorité.
Afrique
Le coronavirus n'est pas encore largement répandu sur le continent africain. Jusqu'à présent, seuls deux cas sont connus en Égypte et en Algérie. Martin Leschhorn, directeur du réseau Medicus Mundi Suisse, demande au Conseil fédéral d'examiner les mesures de lutte contre la propagation du virus en Afrique.
"Je suis préoccupé par une épidémie de corona dans les pays africains. Contrairement à nous, les systèmes de santé sont faibles, on pourrait accorder trop peu d'attention aux besoins de la population - ce qui aurait finalement un impact négatif sur la situation mondiale et sur la Suisse", déclare Leschhorn au site 20 Minuten. "Une épidémie dans ces pays devrait vraiment nous inquiéter - le Conseil fédéral devrait examiner dès maintenant comment il peut soutenir les pays touchés".
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(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)
Rien de neuf : encore un représentant d’une faîtière d’organisations subventionnées avec nos impôt qui veut que les autres passent avant les nôtres.
Cependant, pour ce qui est de sa demande ”le Conseil fédéral devrait examiner dès maintenant comment il peut soutenir les pays touchés”, il y a une solution simple : pour chaque décès dû au Coronavirus survenant en Afrique, nous renvoyons un pseudo-réfugié dans son pays d’origine. De cette manière, les forces productives de ces pays seront maintenues malgré le cov19.
Economique et efficace.
Des institutions publiques de formation ont par exemple recommandé aux collaborateurs et étudiants ayant séjourné en Chine de travailler à domicile ou de ne pas assister aux cours pendant les 14 jours qui suivent leur retour.
Ces directives ne correspondent pas à la situation actuelle et contribueraient à générer un climat de confusion, explique mercredi dans Forum Daniel Koch, chef de la division maladies infectieuses de l’OFSP et signataire de la lettre, datée du 20 février.
“Ces institutions ont fait leur propre jugement et ont octroyé des mesures jugées utiles [mais] elles ont un rôle d’exemplarité”, rappelle-t-il. “Si elles agissent librement, on perd la ligne [directrice] en Suisse.” Une ligne adaptée à l’évolution de l’épidémie: le premier cas de coronavirus dans le pays a été confirmé mardi au Tessin.
https://www.rts.ch/info/suisse/11122931-hautes-ecoles-recadrees-pour-leurs-directives-concernant-le-coronavirus.html
Pas normal du tout, ça…
Comme climat de confusion, difficile de faire mieux !
Ou alors, “On” voudrait éliminer nos aînés, qu’on ne procéderait pas autrement…
C’et fou ça, toutes les occasions sont bonnes pour amorcer la pompe à fric de l’Etat par l’industrie de l’asile et de l’aide à l’Afrique…. la bonne poire…. en fait, tout est fait pour la déresponsabiliser cette Afrique, une forme néfaste de paternalisme, d’infantilisme et de colonialisme….
”On rappelle que ni M. Berset ni notre “administration” n’ont voulu procéder à des mesures de contrôles à nos frontières … ”
C’est bizarre ce manque de responsabilité, face à cette pandémie, vis-à-vis de ses propres concitoyens.
C’est un peu comme : Circulez, il n’y a rien à voir en Suisse.
Nous allons aider nos amis Africains, ils ont tellement besoin de nous (NOS sous provenant de NOS impôts).
« … ce qui aurait finalement un impact négatif sur la situation mondiale et sur la Suisse ».
Et en quoi donc cela aurait-il un impact négatif ? Le cacao? Le café?
Moi je veux que le CF utilise ses ressources à gérer cette crise qui arrive pour notre pays et que 100% de ses capacités soient attelées à cette tâche.
L’Afrique est un grand continent, ses habitants des adultes, c’ est le plus riche du monde et ses occupants ne sont pas pas plus bêtes à ce que la bien-pensance nous assène à longueur de temps.
Que l’Afrique se débrouille. Pour l’instant elle est le continent le moins touché.
L’Afrique subsaharienne a fait l’erreur de beaucoup trop augmenté sa population.
Pour le bien de l’humanité laissons faire la nature et l’évolution.
Soyons réalistes et militons pour notre préférence nationale et civilisationnelle.
Il y a tant à faire chez nous et pour les nôtres.