Migrants : et si nous remettions les pendules à l’heure ?

Publié le 4 novembre 2019 - par

 

Photo : 12 « rescapés » en train d’être débarqués d’un navire de passeurs rémunérés et non, comme vous pourriez le croire, d’être « sauvés d’une mort certaine ». Non, vous ne verrez pas ces images à la télévision ou dans les journaux !

Ce soir, je vais à nouveau vous présenter un homme courageux, Julien Dir. C’est lui qui écrivait il y a juste deux mois :
Je n’en peux plus de me lever chaque matin et de découvrir, horrifié, en faisant une revue de presse, que certains de mes compatriotes se font violer, tabasser, tuer, égorger, pour un regard, pour une envie, pour une religion, par folie, par des individus qui, techniquement, pourraient ne pas être présents sur notre territoire.
Ils s’appelaient Timothy, Mauranne, Laura, Florent… auxquels, personnellement, j’ajoute le nom de Maria Ladenburger, petite étudiante en médecine violée, torturée, assassinée par un des individus choyés par Merkel le 16 octobre 2016.
Aujourd’hui, nos larmes sont remplies de rage et de colère.
Et voilà ce qu’écrivait Julien Dir (je résume) : L’épisode de l’Aquarius a le don de clarifier la question des migrants en Europe. D’un côté, des « humanitaires » (le diable se pare de beaux vêtements), des associatifs, et des élus politiques qui clament que tout le monde peut venir en France, et qu’il faut se conformer à la Cour Européenne des droits de l’Homme (qui n’est pas élue il faut le rappeler). Tout en se basant sur des traités et des lois votées au siècle dernier, quand le monde était totalement différent. De l’autre, des dirigeants politiques, du groupe de Visegrad à l’Italie, et même désormais à l’Allemagne qui connait une fronde populaire, qui ont entendu le message et le mandat confié par leur population. Il est très clair. Le message adressé par des populations de plus en plus nombreuses issues des autochtones d’Europe est le suivant : « Fermez les frontières, renvoyez chez eux les immigrés qui veulent venir chez nous et dont nous ne voulons pas, et accélérez le processus sinon tout cela finira mal ».

Face à ce message fort, les professionnels de « l’indignation », les apôtres du « vivre ensemble » et de la religion des droits de l’homme, vocifèrent et expliquent que nous serions tous des salopards, des ordures, des monstres, nous qui partageons ce sentiment pourtant totalement naturel, qui est de vouloir vivre selon nos traditions, sur nos terres, et avec les gens avec qui nous avons décidé de vivre : c’est à dire pas avec le monde entier. Je suis totalement indifférent au sort des migrants, et je l’assume. Je ne suis pas responsable des individus qui décident un beau matin de fuir leur pays, pour de bonnes raisons parfois (la minorité menacée),  mais surtout pour beaucoup de mauvaises (on leur fait croire qu’un Eldorado les attend en Europe, avec du travail, de l’argent, des filles faciles, et l’IPhone dernier cri). Je ne suis pas responsable des ONG qui se prétendent humanitaires et acceptent de charger sur leurs bateaux des femmes enceintes et des enfants, et que ces bateaux ne se rendent pas dans les ports les plus proches (en Tunisie notamment) mais de l’autre côté de la mer.

Je ne suis pas responsable de la misère du monde et des magouilles des multinationales quasi apatrides qui exploitent les ressources des pays d’Afrique ou d’Asie avec l’assentiment de responsables politiques à qui personne ne demande des comptes depuis des décennies. Je ne suis pas responsable du fait que les Africains continuent par endroits de faire beaucoup trop d’enfants parce que régis par les deux religions les plus importantes du monde, alors que des milliards ont été investis pour leur contraception. Je ne suis pas responsable de la crise démographique à venir. Non, je ne suis pas responsable, et ceux qui se sentent responsables sont les mêmes qui croient que les Africains seront plus heureux en Europe que chez eux.

Si j’ai des responsabilités, ce sont bien celles à la fois devant ma famille, c’est-à-dire celle de devoir la protéger de toute menace extérieure. Mais responsabilité aussi devant mon pays, mon continent, là aussi pour le protéger de toute menace extérieure.

Oui, je suis totalement indifférent au sort des migrants, et je l’assume. Non pas que je sois un monstre. Personne n’est insensible devant des images d’individus en souffrance. Oui, il faut aider celui qui a soif, celui qui a faim. Celui qui est malade. Apporter les premiers secours aux personnes en détresse. Avant de les raccompagner vers la sortie. Le secouriste ou le pompier n’est pas le chef d’État, ce ne sont pas les mêmes fonctions.
Pourquoi ? Parce qu’ils ne sont pas ma priorité, ils ne sont pas mon peuple, et que tout simplement aujourd’hui, à l’heure où tout semble prendre l’eau, il y a des priorités à avoir, il y a des enjeux plus importants que des cas particuliers destinés à faire pleurer les gens à la télévision. C’est ce qu’on attend d’un État fort et responsable, d’un père ou d’une mère de famille. (Précision : les points de vue exposés n’engagent que l’auteur de ce texte et nullement notre rédaction. Média alternatif, Breizh-info).

L’immigration, une fatalité et une nécessité ? Un énorme mensonge ! (Breizh-Info)
À longueur du débat sur l’immigration, on entend les partisans d’une hypocrisie généralisée affirmer qu’il serait impossible de contrôler l’immigration, que « de toute façon, vous ne pourrez jamais empêcher les gens qui veulent venir en Europe d’y accéder, par tous les moyens ».

Ce sont des mensonges, car ce que ne vous disent pas ces gens qui vous expliquent que l’immigration serait à la fois un besoin et une fatalité, c’est que des solutions, concrètes, existent, pour stopper totalement l’immigration et dissuader les immigrés du monde entier de venir en France (et même pour inciter ceux qui sont déjà en Europe à repartir).

Refouler systématiquement les bateaux de migrants

Les armées européennes alliées à Frontex ont les effectifs (plutôt que de mettre des soldats avec des armes approvisionnées, mais non armées pour faire Vigipirate) pour patrouiller — cela demande une volonté globale en Europe — en Méditerranée notamment, pour éliminer physiquement les passeurs (qui se soucie que l’on élimine des djihadistes au Mali ? Des islamistes en Syrie ? Pourquoi pas des pirates en Méditerranée ?), repousser les bateaux qui approchent de nos côtes, liquider les esclavagistes en Libye. Tout est une question de volonté politique.

L’Australie a considérablement freiné les tentatives. La Hongrie y est parvenue malgré des moyens limités. L’Europe en serait incapable ? Ben voyons !
Faire pression économique sur les pays de départ
Vous vous rappelez les embargos contre l’Irak, contre l’Iran ? Vous vous rappelez les pays ostracisés dans le monde ? Pourquoi l’Europe, au nom de la sécurité de ses frontières et de sa civilisation, ne pourrait pas faire de même ? Réclamer aux États africains qu’ils agissent, à la fois sur la démographie de leurs nations (pour la freiner) et qu’ils prennent les mesures (n’importe lesquelles) pour empêcher l’émigration.

Vous ne faites rien pour empêcher vos ressortissants de partir ? Arrêt de l’aide au développement, ce résidu post-colonialiste consistant à donner de l’argent, notre argent, à toute la planète, sans demander le moindre compte.
Vous ne faites toujours rien pour empêcher vos ressortissants de partir ? Gel des comptes bancaires que les dirigeants de ces pays possèdent en Europe. Interdiction pour eux de venir se soigner dans nos hôpitaux. Fin des passeports diplomatiques, fermeture des ambassades.

Cela va bien entendu de pair avec l’interdiction, pour les entreprises européennes, de se lancer à la conquête de marchés dans les pays dont les ressortissants veulent immigrer chez nous, pendant une période définie. Il n’y a aucune raison réciproquement à toutes ces mesures, que les Européens se fassent de l’argent sur le dos des Africains ou des Asiatiques. Ne dites pas que c’est impossible, d’autres l’ont fait avant l’Europe, et d’autres le feront encore après. La volonté politique qu’on vous dit !

Expulser automatiquement les clandestins présents sur le territoire, rompre les traités qui nous empêchent d’agir.
Un traité international, une convention, cela se signe. Cela s’efface également. La volonté politique, encore et toujours. Des avocats et des associations obtiennent que des « mineurs isolés » soient maintenus sur notre territoire ? Y compris quand ils commettent des actes de délinquance ? Fin des traités qui les protègent. Les compagnies aériennes ne veulent pas mettre à disposition leurs avions pour des expulsions massives ? Amendes pour entrave à la justice. Suppression d’appels d’offres. Sanctions économiques.

Des individus ayant obtenu la nationalité française très récemment commettent des actes répréhensibles par nos lois ? Expulsion immédiate et sans discuter dans le pays d’origine.
Pas besoin de supprimer l’AME et les aides si plus d’immigration
La suppression de l’Aide médicale d’État, et des allocations familiales, voici deux arguments bien hypocrites sortis par des responsables politiques qui ont la trouille d’aller plus loin dans leurs déclarations. Pourtant, supprimer l’AME à l’heure actuelle reviendrait à exposer notre population à des maladies que nous avions chassées de notre continent. Ne pas soigner les malades sur son territoire, c’est se tirer une balle dans le pied. Par contre, s’il n’y a plus d’immigration, et si les immigrés qui sont ici ne peuvent plus automatiquement bénéficier d’aides sociales et n’ont pas le droit de travailler, alors par définition, ils ne viendront plus. Fin du problème.
L’immigration n’est pas une nécessité
Notre continent vieillit. C’est cyclique, tout simplement. Là encore, ce n’est pas une fatalité. Et les politiques familiales incitant à faire des enfants si besoin est, cela existe aussi. Salaire parental, ouverture de crèches, d’écoles dans la ruralité. Mise en valeur de la famille (il est vrai que dans une société où le mot famille traditionnelle devient une injure, il y a du boulot), et, éventuellement, investissement dans la robotisation, pour éviter à tout le monde de devoir effectuer des tâches pénibles. La fameuse arnaque de « les immigrés font les travaux dont les Français ne veulent pas » doit être balayée. Les Français ne veulent pas bosser à nettoyer les toilettes de ceux qui s’en mettent plein les poches, pour 1 000 euros par mois. Ils ont raison. Ils exigent de la dignité, y compris salariale. Et si un robot pouvait empêcher, à la fois aux Français comme aux autres d’ailleurs, de faire des tâches ingrates, nos sociétés ne s’en porteraient que mieux.

On voit encore une fois tout le paradoxe à ce que des gens qui se proclament de gauche, humanistes, et tout le tralala, trouvent fantastique que des immigrés fassent la plonge à mi-temps, nettoient les toilettes des aéroports et des gares, ou emballent du poulet halal n’ayant jamais vu le jour dans une usine tenue par un patron suspect. Le tout pour, cerise sur le gâteau, un salaire de misère permettant de se concentrer avec sa famille dans un logement pourri d’une grande agglomération.

Pas de dictature, du bon sens, de la volonté politique, et pas d’immigration

Ce sont des mesures, toutes simples à mettre en place, qui ne chambouleront nullement le quotidien de notre peuple. Qui ne feront pas « basculer dans la dictature » comme hurleront quelques responsables associatifs épaulés médiatiquement à qui la France ou l’Europe peut proposer d’obtenir, moyennant accord avec les pays tiers, la résidence dans un des pays d’origine de ceux qu’ils s’acharnent à défendre au quotidien, bien plus que leur propre population, et parfois que leurs propres enfants.

L’immigration n’est pas une fatalité. Les Africains et les Asiatiques ne sont pas de grands enfants que nous devons prendre par la main, mais des peuples qui doivent apprendre à réguler leur démographie, à développer, s’ils le souhaitent, leur économie, et à vivre selon les préceptes de leurs civilisations. L’immigration, une fatalité et une nécessité ? Non. Nous n’avons pas besoin d’immigrés. Pas de quotas, rien. Et nous pouvons empêcher ceux qui ne sont pas invités à venir chez nous d’y rentrer. Mesures économiques, mesures militaires, mesures sociales.
Ce n’est pas compliqué, c’est au contraire très simple… basique. Tout est question de volonté et de courage politique !

Que Dieu vous entende, Julien Dir.

Anne Schubert

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2 commentaires

  1. Posté par Antoine le

    Le message adressé par des populations de plus en plus nombreuses issues des autochtones d’Europe est le suivant : « Fermez les frontières, renvoyez chez eux les immigrés qui veulent venir chez nous et dont nous ne voulons pas, et accélérez le processus sinon tout cela finira mal ».
    Finir mal = Guerre civile !
    ” …il y a des enjeux plus importants que des cas particuliers destinés à faire pleurer les gens à la télévision”
    C’est pour cela que beaucoup de politicards veulent l’égalité quantitative de candidates au pouvoir; les femmes travaillent à l’ ÉMOTION !
    A force de pleurer dans les chaumières, on ne s’aperçoit pas de l’ URGENCE d’agir CONTRE l’immigration de masse illégale !
    ”L’immigration n’est pas une nécessité. Notre continent vieillit. C’est cyclique, tout simplement. Là encore, ce n’est pas une fatalité”
    La démographie se cultive sur la durée, en proposant des crèches, des aides pour familles nombreuses, congé parental, etc … les gouvernements des 40 dernières années n’ont rien fait de bien pour NOUS les autochtones !
    Au lieu de cela, on est envahi par des hordes de migrants qui nous coûte la peau des fesses.
    1.56 milliards rien que pour les Érythréens !
    Il faudra les former mais ils ne veulent PAS travailler …
    https://lesobservateurs.ch/2019/11/01/les-suisses-paient-156-milliard-par-an-rien-que-pour-les-erythreens/

  2. Posté par Bussy le

    Et oui, d’abord un arrêt complet de toute immigration non désirée, et ensuite, en parallèle à une remigration massive de ceux qui n’ont pas voulu s’intégrer ou qui ne le peuvent pas et ne le pourront jamais, on pourra faciliter le départ de ceux “qui s’acharnent à les défendre au quotidien”, afin qu’ils aident leurs petits protégés dans leur pays d’origine. Bon débarras !
    Cerise sur le gâteau, la baisse énorme des charges des Etats qu’on constatera permettra d’aider les Européens qui en ont besoin.

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