Si vous voulez acheter de la drogue à Berlin, vous en trouverez rapidement au parc de Görlitz à Berlin-Kreuzberg. Des groupes d'hommes, pour la plupart d'origine africaine, se tiennent le long des chemins et proposent du cannabis, mais également des drogues dures.
Monika Herrmann (membre du parti de gauche Les Verts), maire du quartier de Friedrichshain-Kreuzberg, n'ose plus se rendre dans les parcs de Berlin la nuit. Elle estime que c'est trop dangereux pour elle.
"Je me ne promène dans aucun parc à Berlin, je ne sais pas comment vous faites, mais c'est trop dangereux pour moi en tant que femme" répond-elle au journal Welt.
Son district comprend l'un des centres de trafic de drogue les plus connus de Berlin, le parc de Görlitz, problème pour lequel elle tente de trouver une solution. Les trafiquants s'y réunissent depuis des années, s'adressant même aux enfants et aux adolescents pour leur vendre des drogues. [...]
(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)
LOL mais on croirait qu’elle parle de la rue de bourg à Lausanne, “noire” de monde dès la nuit tombée…Mais les lausannois semblent aimer ça puisqu’ils élisent des représentants de gauche depuis des décennies…BIEN FAIT POUR EUX!
Moi je ne vais plus dans ce cloaque que contraint, alors que c’était une si jolie ville universitaire et propre jusqu’à l’an 2000…
Mon conseil à tous les blancs: ayez systématiquement sur vous un couteau, histoire de détenir un moyen de légitime défense “proportionné”…
Les maires de nombreuses villes européennes sortent TOUS les mêmes discours. ET Les lieux dont il est question, ne doivent plus être fréquentés.
Sans doute parce que cela risque de déranger “les affaires commerciales” des migrants. Ca apporte surtout la déstabilisation et la démoralisation nécessaire à notre soumission.
Une de nos députés disait même que l’étroitesse des trottoirs dans le quartier de la chapelle pajou à Paris était la cause du manque de respect des migrants envers les femmes.
Ces maires gauchistes puent la mort. Oui, ils nous offrent la mort en perspective, la mort de notre civilisation.
Obsédés qu’ils sont par la création de la “république universelle multicolorée et multiculturelle européenne”, ils utilisent des méthodes et des raisonnements délirants démontrant aussi et c’est cela le plus grave, leur degré de folie. Car nous découvrons que des fous prétendent nous administrer.
Le programme est très simple et a été démontré dans un très bon article : https://www.dreuz.info/2019/01/23/casser-le-peuple-francais-un-prealable-a-la-realisation-de-la-republique-europeenne/
Mais il y a mieux que ça, puisque les derniers curés “mohicans” qui nous restent prônent dans leur sermon encore et encore “le bon samaritanisme” envers le pauvre migrant, alors que notre culture est menacée de disparition. Et que le travail étant absent pour les autochtones, il le sera tout autant pour les allochtones, donc les migrants.
https://ripostelaique.com/jai-corrige-severement-un-cure-immigrationniste-faites-en-autant-les-cathos.html.
Bravo à Sophie Durand pour avoir réagi face à ce naïf qui se donne le droit de vouloir être notre guide.
Cet article de protestation est à glisser dans les boîtes aux lettres de tous les curés de France et de Navarre, du moins ce qu’il en reste. Afin qu’ils comprennent qu’on en a marre de leurs NIAISERIES.
Et qu’on va finir par CREER une nouvelle spiritualité en faisant le tri entre ce qui est nuisible dans les textes et garder ce qui est précieux et nous rend plus forts.
”Monika Herrmann (membre du parti de gauche Les Verts), maire du quartier de Friedrichshain-Kreuzberg, n’ose plus se rendre dans les parcs de Berlin la nuit”.
Lutte-t-elle pour un nouveau mandat ?
Ou lutte-t-elle CONTRE la drogue ? Si oui les résultats sont décevants puisque les dealers s’y réunissent depuis des années.
La méthode douce utilisée ne fait qu’empirer le problème de la drogue tout comme à Lausanne où la municipalité de gôche est complice de l’état de délabrement de la ville et de l’insécurité qui y règne …
“Les trafiquants s’y rencontrent depuis des années”
->>> Les trafiquants s’y réunissent depuis des années
Coquille :
Je ne me promène dans aucun parc à Berlin*