L’an dernier à Genève, l’âge moyen des mères à la naissance a pour la première fois dépassé les 33 ans, a annoncé récemment l’Office genevois de la statistique. C’est dans ce canton que le phénomène est le plus marqué. Les autres cantons n’ont pas encore fourni de chiffres pour 2018. Pour établir une comparaison au […]
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Bien sûr, cet âge moyen inclut forcément la fécondité faible des mères autochtones.
On ne se demandera pas pourquoi les autochtones ne sont plus aussi fécondes.
On ne se demandera pas comment les aider.
On prétextera que c’est dû à l’ embourgeoisement, à une volonté d’avoir moins d’enfants pour un mieux vivre dans l’aisance et les plaisirs égoïstes de la vie etc…etc….
Quand des mamans se sentent en “sécurité , qu’elles sentent une solidarité autour d’elles, qu’elles ont des relations sociales et affectives NOURRISSANTES, elles savent avoir des enfants.
Un mère est avant tout “intuitive”. Son sixième sens n’a pas besoin de “capacités d’analyses” pour l’avertir de l’insécurité SOCIALE qui règne autour d’elle, de l’égoïsme et l’indifférence qui grandissent autour d’elle, de la pauvreté relationnelle familiale ou voisine ou villageoise ou communale répandues autour d’elle, dans notre époque mettant si facilement les humains à distance les uns des autres.
On confond souvent cette ” mise à distance” avec l’individualisme.
Alors bien sûr, des communautés venues d’ailleurs encore empreintes d’un système communautaire, d’un fonctionnement “groupal protecteur” encourageant à la fécondité risquent de dépasser notre démographie.
La femme a un rôle “magique” et à la fois “immense” dans la mesure où donner la vie veut dire que dès l’enfant sort de son ventre, ELLE DOIT PRESERVER ET PROTEGER CETTE VIE.
Est-elle suffisamment aimée, protégée, sécurisée dans ce rôle? NON, ou faiblement. Elle est souvent dans LA LUTTE pour préserver la vie de son enfant ou ses enfants. Elle travaille en aidant l’homme financièrement pour procurer LA DIGNITE à sa famille et elle assume trop, trop, trop d’autres rôles.
Il est temps de se poser des questions sur les raisons de notre infécondité plutôt que de faire une fixation sur celle des autres. Ce sera contre-productif.
Ce qui n’exclut pas de penser que l’immigration-invasion (et non indispensable à notre survie) pourrait sérieusement entraver le retour de la fécondité chez les autochtones. Parce que les plus favorisés par le social dans le futur seront les plus prolifiques.
Les européennes ne fonctionnent pas comme cela. Ce n’est pas, seule, l’allocation familiale, qui les encouragera à avoir plus d’enfants. Les rendre indispensables dans la société tout en leur évitant “cette maladie du STRESS du 20 ème et 21 siècle et en amenant notre société à être plus conviviale, chaleureuse et généreuse, les encouragera à être plus souvent mères.
Une société hostile, indifférente, dont les regards ne se croisent plus, qui n’est plus capable de produire des paroles simples et spontanées des uns envers les autres dans n’importe quel endroit, même si nous ne connaissons pas, cette société n’encouragera pas à la maternité.
Nous fonctionnons aujourd’hui, comme une immense société dans un immense aéroport.
Nous ne faisons que nous croiser, mais sans regards, sans paroles, sans affect.
Vous voulez savoir ce que nous sommes devenus : “allez dans un aéroport”.
Après deux heures passées dans un “aéroport de province “, je fus la seule à avoir engager la conversation avec une dame. Ma chance fut qu’elle était âgée et avait conservé un minimum de goût pour le contact.
Les musulman arrivent, l’âge va fortement baisser !
2030 l’âge moyen des mères à la naissance a pour la première fois dépassé les 13 ans 😉
Et la moyenne doit être encore bien pire si on enlève les pondeuses africaines qui s’y mettent très très jeunes…. et elles ont nombreuses, suffit de se balader dans les rues de Genève pendant les heures de travail….