Les djihadistes suisses présents en Syrie ou en Irak ne cessent de faire parler d’eux: faut-il les rapatrier activement pour les poursuivre en justice? Doit-on au contraire les laisser sur place, notamment dans les prisons kurdes, et miser sur un tribunal international? Le Conseil fédéral a récemment choisi la seconde variante. Il ne prendra pas […]
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Ces mecs sont tres bien la ou ils sont pourquoi les rapatrier ? Vous avez envie de sauter sur une bombe chez vous, d’être égorgé ,violée ? De plus ce sont des traîtres à la nation . Il n’y a pas si longtemps on les fusillaient
Donc s’ils reviennent c’est pour être pendu ou fusillé on leur laisse le choix .
En France il y avait aussi la guillotine c’est un troisième choix
Voyez la vie en société est simple pourquoi compliquer . Ils reviennent ils connaissent leur sort .
Alors que l’on veut retirer les armes déclarées aux citoyens suisses honnêtes, on rapatrie ces assassins qui n’ont, eux, aucun problème à se procurer des armes au noir (via les réseaux islamiques). Tout cela est fait afin de désécuriser les citoyens honnêtes, créer le chaos, détruire l’équilibre de la société. Et quand le chaos sera devenu insupportable, les gens accepterons, pire, demanderont, la mise sur pied d’une dictature. LA force maléfique aura atteint son but. Grâce en particulier à la lâcheté absolue de nos dirigeants.
Ces criminels donnent une sale réputation à la Suisse. Non seulement l’Europe nous impose des criminels de toute la planète, mais il faudrait encore participer à des diminutions de leurs peines. SOUS LA DICTATURE socialo-écolo-islamo-bolchévo-fascite DE L’EUROPE TOUS LES ABUS SONT PERMIS même de nous réduire en esclaves fiscaux pour satisfaire toutes leurs funestes exigences et d’imposer progressivement le port du niqab à toutes les femmes et toute ces saloperies de viols de masse qui vont bien avec ces hypocrisies de l’immigration de masse supplantant l’aide aux vrais réfugiés. Voilà le travail bidon de ces centaines d’ONG, exemptées de charges fiscales qui pillent des milliards dans nos budgets fédéraux.