Màj. Résultat du jugement, 5000 euros d’amende avec sursis! :
Ndlr. Petit complément : si un Blanc rappait et chantait : “Pendez les Noirs, tuez les bébés Noirs,etc… et dirait que c’est du “second degré”, la justice avancerait-elle les mêmes arguments, en fait des justifications?, que pour les propos criminels de ce “rappeur” Noir?
MàJ. Résultat du jugement, 5000 euros d'amende avec sursis, ici
https://fr.sputniknews.com/france/201901101039589123-pendez-les-blancs-net-amende-nick-conrad-reactions/
Cenator, 9.1.2019 : Nick Conrad ne se sent pas coupable, mais, bon sang, pourquoi devrait-il se sentir coupable ?
Depuis tout petit, il a baigné et grandi dans un univers culturel et moral prônant la culpabilité des Blancs et le bon droit absolu et perpétuel des Hommes de couleur sur les « faces de craie ».
Les conséquences de cet univers pervers, façonné et/ou toléré par de lâches « élites » occidentales en mal de repentance, sont dramatiques pour tous. Le camp des Bronzés va s’encanailler comme jamais alors que les Blancs apeurés et/ou culpabilisés vont sombrer dans des abîmes de reniement sans fin des racines et valeurs de leurs ancêtres.
« Les paroles du rappeur Nick Conrad, c’est la barbarie de l’Afrique» associée à la déconfiture du monde occidental plus capable de porter le flambeau de la civilisation qui, autrefois, a éclairé le monde entier.
Cette caricature de la réalité plait terriblement aux gauchistes, à tous ceux qui se complaisent à condamner les Blancs pour toutes les misères, réelles ou imaginaires, arrivées aux Noirs :
- l’esclavage, présent en Afrique depuis la nuit des temps,
- les diverses « exploitations » dont les Noirs seraient les victimes idéales et exclusives,
- etc.
Un exemple banal : Les Noirs ont l’habitude de s’appeler entre eux « frères » et « sœurs » lorsqu’ils se trouvent dans un pays non-africain.
Dans une interview, Rose Christen* explique que la solidarité entre Africains peut être compromise lorsqu’un Blanc quitte sa femme africaine pour une sœur (une autre Noire).
Imaginons que les Blancs fassent pareil et se mettent à s’appeler « frères », « sœurs » lorsqu’ils veulent parler de Blancs à l’exclusion de tout bronzé. Quel tollé cela déclencherait !
Ce simple exemple montre à quel point les Blancs sont colonisés dans leurs propres pays ; ils sont devenus des citoyens de seconde zone, bâillonnés par des lois antiracistes à sens unique.
Tout cela a été rendu possible, à la longue, par un lavage de cerveau constant prenant appui sur une culpabilisation incessante.
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*Rose Christen parle de l'Immigration africaine en Suisse
https://www.youtube.com/watch?v=A5hesPOMA5Q
Message à mes frères et sœurs d'Afrique en Europe
https://www.youtube.com/watch?v=DJIOBYBdQXw
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Nick Conrad n’est même pas poursuivi pour incitation à la haine raciale
Black M, Médine, Nick Conrad : derrière l’indignation, « l’extrême droite » désignée coupable
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RTS: "Je ne reviens pas sur ce que j'ai dit, je ne le regrette pas, je le pense vraiment mais ce n'est pas blessant, ce n'est pas violent"
Depuis retiré de YouTube, le clip "Pendez les Blancs" de Nick Conrad démarre sur une scène dans laquelle un homme blanc quasi nu est poursuivi par deux hommes noirs armés. Plus loin, le corps de l’homme, sanguinolent, balance au bout d’une corde. Les paroles appellent notamment à tuer des bébés blancs et répètent en boucle: "Pendez-les".
La diffusion de ce clip en automne dernier avait suscité un tollé et conduit à l’ouverture d’une enquête. Auditionné, le rappeur français, qui était jusque là quasiment un inconnu, niait être raciste.
Je ne reviens pas sur ce que j'ai dit, je ne le regrette pas, je le pense vraiment mais ce n'est pas blessant, ce n'est pas violent
Un effet miroir
Dans un entretien accordé au "Parisien" en septembre, Nick Conrad expliquait avoir voulu créer un effet miroir, "inverser les rôles de l'homme blanc et de l'homme noir" pour montrer quel mal ça peut faire. Il soulignait que "le choc était voulu", "mais pas à un tel niveau".
Le rappeur estime qu'il faut prendre le rap au second degré et que son clip, qui est une fiction, n'est pas un appel public au meurtre.
Nick Conrad comparaît ce mercredi devant le tribunal correctionnel de Paris pour "provocation non suivie d’effet à commettre un crime". Ses avocats plaideront l’acquittement.
Récemment, Saïdou, un autre rappeur français auteur de "Nique la France", a été blanchi après une première condamnation. Les magistrats ont estimé que ses propos "n'excédaient pas les limites de la liberté d'expression".
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Les paroles du rappeur Nick Conrad, c’est la barbarie de l’Afrique…
Publié le 2 octobre 2018 - par Anne Lauwaert
Faut-il interdire les rappeurs et censurer leurs textes ? Non ! Surtout pas ! Car à travers leurs textes, qui enthousiasment des milliers de jeunes, ils nous livrent le fond de leur pensée. Pour nous il est capital de prendre la mesure de ce que ces gens pensent et, entre autres, ce que pense Nick Conrad : « Je ne reviens pas sur ce que j’ai dit, je ne le regrette pas, je le pense vraiment mais ce n’est pas blessant, ce n’est pas violent »… ?!?
Exemple récent:
« Un rappeur parisien appelle au meurtre des Blancs (Vidéo) : le titre est distribué sur toutes les plateformes – Deezer, Itunes, Amazon, Fnac..)
https://lesobservateurs.ch/tag/nick-conrad/
26.09.2018 / Christian Hofer
Extrait des paroles :
Je rentre dans des crèches, je tue des bébés blancs, attrapez-les vite et pendez leurs parents,
Écartelez-les pour passer le temps.
Divertir les enfants noirs, de tous âges, petits et grands,
Fouettez les fort, faites le franchement
Que ça pue la mort que ça pisse le sang
Pendus aux arbres dans le vide sidéral
Que ces fruits immondes procurent un spectacle fascinant
Blafards et marrants
Ôtez leur toute vie, qu’ils soient des objets sans vie dès à présent
Possédez les, mettez vos noms sur leurs testaments
Refrain: «Pendez les, Pendez-les tous, pendez les blancs».
Pas de sentiments, qu’ils meurent tous en même temps
Donnez l’exemple, torturez devant le groupe
Ceux qui sont trop récalcitrants
Etc. »
Pour d’autres exemples :
Petite anthologie du rap anti-français
http://www.lefigaro.fr/vox/politique/2015/10/05/31001-20151005ARTFIG00352-petite-anthologie-du-rap-anti-francais.php
Allons, allons, c’est de l’art, de la poésie, de la façon de parler, du second degré, de la licence poétique, c’est pour la rime, c’est de la fable comme, vous savez bien, ce type qui s’appelait La Fontaine…
Eh bien non ! Pas du tout, c’est du parler vrai, du concret, du premier degré ! Qu’est-ce qui me permet de dire cela ? Eh bien, maintenant nous disposons d’un texte témoin de référence !
Nous connaissions déjà le Docteur Denis Mukwege, le médecin qui répare les femmes, ses textes, conférences, films, interviews, etc. Pour ceux qui ne le connaissent pas encore, qu’ils aillent tout de suite lire sur Google : c’est capital !
En plus, depuis quelques jours nous avons un document exceptionnel : une BD du titre «Kivu» ( = région de l’ex-Congo Belge) signée par Simon Van Hamme et Christophe Simon et qui parle de personnages vrais : justement le Dr. Mukwege et le Dr. Guy-Bernard Cadière qui, à l’hôpital de Panzi à Bukavu, réparent les femmes… les petites filles et même les bébés… des atrocités qu’elles ont subies de la part de leurs compatriotes…
Cette BD est un témoignage fidèle et crédible dans la Collection Signé. Une signature. « Par ces quelques traits, les artistes concluent leurs œuvres. Elle est la preuve de leur engagement, de la sincérité de leur création et de la paternité de leur discours. »
https://livre.fnac.com/a12278474/Jean-Van-Hamme-Kivu
Quand monsieur Conrad invite ses auditeurs à commettre des exactions, il n’invente rien : c’est exactement ce qui se fait quotidiennement en Afrique, non seulement le massacre des Blancs au Zimbabwe ou en Afrique du Sud, https://ripostelaique.com/afrique-du-sud-70-000-fermiers-blancs-assassines-depuis-1994-dans-lindifference-generale.html
Mais aussi les massacres au Congo, entre autres au Kasaï
https://www.la-croix.com/Monde/Afrique/En-RD-Congo-nouveaux-massacres-Kasai-2018-01-08-1200904308
et, en l’occurrence, au Kivu.
Pour ce qui est de la cruauté, on se souviendra du support de Winnie Mandela au supplice du pneu rempli d’essence brûlant autour du cou des dissidents…
https://forum-politique.org/viewtopic.php?t=147839
L’histoire de la BD ? François, un jeune ingénieur ingénu et belge part au Kivu travailler pour une compagnie minière qui trafique du coltan et de la cassitérite, ces métaux rares indispensables pour nos nouvelles technologies : smartphones, voitures et bicyclettes électriques, éoliennes, panneaux solaires & Co. Pendant ce temps au Kivu, une bande armée attaque un village.
Leur chef : « Les femmes et les gamines violées et mutilées devant leur famille. Les hommes à partir de 12 ans, faits prisonniers. Les mains coupées pour ceux qui résistent. Les bébés et les vieillards brûlés dans leur cahute, morts ou vifs.
Vous, mes lionceaux, ce sera votre première attaque, rappelez-vous que nous ne régnerons sur ce pays que par le fer et le feu. Je couperai moi-même le nez et les oreilles de ceux d’entre vous qui n’exécuteront pas mes ordres, vous avez compris ? »
Deux enfants du village : Jérémie et Violette, assistent au massacre et tentent de fuir mais sont capturés.
Un assaillant : « Ta gueule toi, ou je te coupe les couilles et te les fais manger. »
Ils veulent violer Violette : « Mets-toi à genoux et écarte les cuisses. »
Jérémie tue le chef qui voulait violer Violette, ils fuient à Bukavu. Jérémie est capturé et vendu comme esclave dans une mine. Violette est renversée par la jeep qui conduit François, celui-ci la porte à l’hôpital pour la faire soigner.
Violette à François : « Ils tuent les vieillards et les bébés à la machette, ils éventrent les femmes enceintes et violent les autres devant leur mari et leurs enfants avant de leur enfoncer un pieu ou une baïonnette entre les jambes, ce sont des fous furieux, des monstres. »
François met Violette en sécurité à l’hôpital de Panzi à Bukavu où travaillent les Dr Mukwege et le Dr Guy-Bernard Cadière qui vient l’aider chaque année.
« C’est dans cette aile qu’elles (les femmes mutilées) sont hospitalisées avant d’être opérées, leur côlon, leur vagin, leur anus, ne sont plus qu’une bouillie sanglante et fétide, l’odeur est insupportable. »
Le Dr Cadière : « Une gosse de 18 mois, un bébé, tu te rends compte ? Le vagin et le rectum perforés lors d’un viol collectif ! Qu’elle soit restée en vie est un miracle. »
François : « Ces gens sont malades. »
Le Dr Cadière : « Malades de drogue et ivres de cruauté, un de ces gamins, dont une bande rebelle voulait faire un enfant soldat, a été forcé de couper les seins de sa mère et de les manger devant son père. Fou de terreur, il a réussi à s’enfuir et à se réfugier dans une mission. L’un des prêtres l’a retrouvé deux jours plus tard dans la chapelle, crucifié sur la grande croix par-dessus le Christ, langue arrachée et yeux crevés, il avait 13 ans. »
François rencontre le Dr Mukwege qui « est très en colère, c’est la dix-septième fillette violée qui vient d’arriver du même endroit près de l’aéroport. »
François part à la recherche de Jérémie et découvre l’horreur de la situation : routes défoncées, tentatives de le tuer, groupes armés, corruption, etc.
Un « mercenaire » : « Jusqu’à la fin des années 80, Goma était la ville balnéaire la plus courue du Congo, superbe décor de montagnes et de volcans, les gorilles du Parc des Virunga, les éléphants du Parc Albert et les belles plages du Lac Kivu. Mais en 94, c’est l’arrivée massive des réfugiés rwandais qui y créent le RCD, un nom bien ronflant pour couvrir le pillage systématique de la région. »
(Pendant la colonisation le Kivu, Rwanda et Burundi étaient en effet des régions magnifiques, fertiles et paisibles.)
François retrouve Jérémie mais ils tombent dans une embuscade.
L’agresseur au sujet de l’enfant : « Oh, simplement l’empaler devant l’état-major de mon ami Malumba, après lui avoir crevé les yeux et arraché la langue, bien entendu. Il paraît que quand c’est fait proprement, on ne met que deux ou trois jours à mourir, le temps nécessaire pour se repentir de son crime. »
Et à François : « mais ta tête plantée sur une pique au cœur de Bukavu servira d’avertissement pour tous ceux qui veulent se dresser contre les Interahamwe. »
L’histoire finit bien : François et Jérémie parviennent à Bukavu.
François au Dr Mukwege : « Je voudrais pouvoir servir à quelque chose en écrivant quelques articles et peut-être un livre sur ce qui se passe ici et sur ce que vous faites. »
Dr Mukwege : « C’est en écrivant que vous pourrez nous être le plus utile. »
François assiste encore à des opérations.
« On a introduit chez cette femme un couteau dans le vagin. Son vagin, sa vessie et son rectum sont déchirés. Du coup les selles et les urines coulent en continu par le vagin. Le Dr. Mukwege et mon père vont reconstruire le vagin et le rectum en opérant à 4 mains par laparoscopie. »
Jérémie et Violette retrouvent leur mère et François repart vers la Belgique.
Résultat : cette BD qui dénonce la situation terrible au Kivu. Ce n’est pas le seul pays en proie à la barbarie, nous le savons, mais le voir dessiné, le lire et le relire nous touche plus profondément que les comptes rendus banalisés du J.T.
Qu’est-ce que cela a à voir avec le rappeur Nick Conrad ?
Je vous ai recopié quelques dialogues, car j’ai été frappée par la similitude avec les paroles du rappeur.
La question : la violence dans les paroles des rappeurs fait-elle partie de leur culture, civilisation, tradition, mentalité, subconscient ?
Quand Nick Conrad se défend d’être raciste et déclare :
« Je ne reviens pas sur ce que j’ai dit, je ne le regrette pas, je le pense vraiment mais ce n’est pas blessant, ce n’est pas violent », et que des rappeurs considèrent leurs textes comme de l’art, est-ce parce qu’ils ne se rendent pas compte de la gravité du fait que cette violence est inscrite dans leur subconscient ? et que personne ne leur a opposé les limites de la civilisation occidentale ?
Le problème, c’est d’inviter chez soi des milliers de jeunes étrangers dont on ne connait ni l’Histoire, ni la civilisation, culture, religion et pas non plus le fond de leur subconscient et auxquels personne n’a opposé les limites de la civilisation occidentale.
Quand Pamela est torturée, assassinée et démembrée à Macerata par deux Nigérians, n’est-ce pas la même violence ?
Quand « Une bande de trente jeunes, munis de battes de baseball et de sabres, a attaqué un bus dans la ville d’Angoulême ce mercredi. Pour Boulevard Voltaire, Vincent You, adjoint au maire d’Angoulême, analyse les raisons de cette recrudescence de la violence. »
N’est-ce pas la même violence ?
Le problème c’est aussi quand l’Occident accepte ces violences, comme, entre autres, les mutilations génitales, sous prétexte qu’il s’agit de « leur culture ».
Le problème c’est quand cette « culture » s’exprime en « provocation directe à commettre des atteintes à la vie » comme dans le cas du rap de Nick Conrad.
https://www.huffingtonpost.fr/2018/09/28/nick-conrad-sera-juge-pour-provocation-directe-a-commettre-des-atteintes-a-la-vie_a_23544851/
Le livre BD : il faut l’acheter, le lire, le faire connaître car, comme l’écrit Colette Braechman dans son introduction : « Congo : le dessin est aussi un cri pour déchirer l’empire du silence ».
Ce silence qui cache non seulement le massacre des populations et surtout des femmes mais aussi « La guerre des métaux rares – la face cachée de la transition énergétique et numérique » dénoncée par Guillaume Pitron et dont je vous avais déjà fait un compte rendu. Ces guerres qui provoquent aussi les migrations qui arrivent chez nous, ce cercle vicieux qui nous menace tous.
Anne Lauwaert
Source: https://ripostelaique.com/les-paroles-du-rappeur-nick-conrad-cest-la-barbarie-de-lafrique.html
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Voir aussi:
On va gentillement arriver à la conclusion que chacun chez soi et Dieu pour tous.
Le “multi-culti” nous est imposé et ne fonctionne pas.
Et apres cette decision de juges-collabos-criminels, que fait l’etat francais? A croire que ceux qui manipulent-gouvernent? ils veulent la guerre civile, eh bien vous l’aurez tout soudain! C’est comme cracher a la face des peuples européens…
Nick Conard a donc niqué la Cour si moi y’a bien comprendre. Sans doute une traite payée pour la paix sociale.
Merci les observateurs.ch
ARTICLE SUBLIME. Mme Lauwaert ne cesse de nous étonner au fil de ces articles. Oui, il était nécessaire d’aller à l’origine de cette violence devant laquelle “les blancs” restent sans réponse parce qu’elle n’est pas inscrite dans leur culture.
Et Mme Lauwaert ajoute : Le problème, c’est d’inviter chez soi des milliers de jeunes étrangers dont on ne connait ni l’Histoire, ni la civilisation, culture, religion et pas non plus le fond de leur subconscient et auxquels personne n’a opposé les limites de la civilisation occidentale”.
Et de nous apercevoir aussi que : la barbarie “et ses détails” s’exprimant dans de nombreux pays d’Afrique parvient évidemment très vite aux oreilles et aux yeux de cette jeunesse africano-française, par les moyens de communication toujours plus performants, et HELAS SANS CENSURE.
C’est aussi “grâce à ces moyens de communication” que des jeunes maghrébins sont partis rejoindre DAECH et que des IMAMS INTERNAUTES parviennent à “convertir” un nombre impressionnant de gens AU RADICALISME. (beaucoup moins dans les mosquées).
APRES CE CONSTAT : pourrons-nous vraiment vivre ensemble, puisque tout ce qui est “extrême”, peut s’imposer sans CENSURE, sans réponse PENALE adaptée à la gravité des ACTES. Et surtout sans aide éducative. L’éducation des enfants en Afrique est “groupale”. Le groupe qui l’entoure lui impose les limites. Arrivés en Occident, ces parents sont-ils adaptés à l’éducation donnée par deux parents, seulement? Dans les cités, le nombre considérable d’enfants très jeunes que l’on voit hors de chez eux, à des heures très tardives le soir, est en augmentation. LE GROUPE qui va “les éduquer” sera composé de jeunes adolescents ou jeunes adultes, plus intéressés par l’échange de “certaines poudres rentables” que par la surveillance et l’éducation de ces jeunes membres.
Doit-on remercier les promoteurs du mondialisme, du mélange de tous dans tous, dont le but n’était pas de créer de ” l’ouverture humaine”, mais plutôt du conflit, de l’exploitation en même temps que la dilution de la société occidentale dans “ce mélange”.
Quand ils se retireront du chaos qu’ils ont créé, nous restera l’énorme tâche de gérer ce qu’ils auront semé.
Si j’échange les morts ”blancs” par ”noirs” et vice et versa, est-ce que je suis raciste ?
”Extrait des paroles :
Je rentre dans des crèches, je tue des bébés blancs, attrapez-les vite et pendez leurs parents,
Écartelez-les pour passer le temps.
Divertir les enfants noirs, de tous âges, petits et grands,
Fouettez les fort, faites le franchement ….”
”Refrain: «Pendez les, Pendez-les tous, pendez les blancs».”
« Je ne reviens pas sur ce que j’ai dit, je ne le regrette pas, je le pense vraiment mais ce n’est pas blessant, ce n’est pas violent » !
Comme il ne me parait pas blessant, ni violant, de souhaiter à cette grosse tache d’être dépigmentée et de subir un traitement à la hauteur de son art, c’est-à-dire d’être fouettée, écartelée et pendue !!!
Officiellement, je plaisante, afin de ne pas être poursuivi par des associations de défense des “Chances” racaillo-haineuses, et de me chopper une peine supérieure à celles des maitres niqueurs (seraient ils pas, peu ou vraiment trop Conrad) !
Portez un T-shirt avec “White lives matter”. Vous allez voir ce qui va vous arriver, sans sursis. La décision des juges rouges du syndicat de la magistrature fera jurisprudence et l’on répétera ad vitam la même connerie.
Le vertueux parquet n’a pas pour le coup requis la détention préventive comme pour l’infortuné boxeur Dettinger , qui lui , pourtant à contrario de ce rappeur raciste , s’est immédiatement repenti de son dévissage.Le parquet s’est contenté d’une nouvelle provocation dont l’Injustice française est coutumière , en réclament simplement 5000€ d’amende avec sursis pour cet appel au meurtre suintant la haine raciale . Ce qui pour l’ artiste tout à fait dans le goût sans-culotte constituera une aimable plaisanterie.
Comme quoi le racisme anti-blanc est devenu l’une des “fraternelles valeurs” les plus cultivées du sytsème.
Bien évidemment un tel sujet ne sera pas spontanément inscrit à l’ordre du jour du “grand débat”. Mais il ne serait pas surprenant toutefois qu’il s’y invite parmi d’autres sujets non autorisés.