L'attaque de cinq jeunes femmes à Genève il y a peu continue de faire des vagues. La gauche s'insurge contre les comportements sexistes voire violents en constante augmentation depuis un certain temps. C'est bien. Après SolidaritéS, c'est au parti socialiste de donner de la voix. Hier dimanche 12 août, la Rose a organisé plusieurs manifestations dans diverses villes du pays. Les participants brandissaient bien haut leurs pancartes "Stop aux violences contre les femmes". C'est bien. La Conseillère aux Etats vaudoise Géraldine Savary, toute indignation dehors, nous fait savoir que "que ce n'est pas un cas isolé et que les femmes sont victimes de sexisme, de misogynie et de violence". Jusque-là, c'est juste mais incomplet.
Comme lors des événements de Cologne, les femmes socialistes réclament des mesures contre les comportements inacceptables mais se refusent à désigner la provenance du phénomène. Il est vrai que c'est délicat, le gros des agresseurs étant constitué de musulmans. La chose n'est guère étonnante dès lors qu'on sait comment le coran voit la femme et sa place dans la société. Dans la logique de gauche, l'Autre ne peut être que bon et enrichissant. Il est donc impossible de concevoir que cet Autre soit très largement responsable des faits dont nous parlons. C'est ainsi que lorsque des élèves musulmans ont décidé de ne plus serrer la main de leur enseignante, au lieu d'exiger le respect que l'on doit au beau sexe, les camarades se sont lancés dans une réflexion visant à déterminer si la composante culturelle ne devait pas l'emporter sur notre conception de la vie en société. A cette occasion, les femmes socialistes ont été bien muettes malgré l'insulte. Même chose concernant la burqa, symbole ultime de la domination islamique de l'homme sur la femme, il ne faut pas l'interdire mais la comprendre.
En clair, le parti socialiste dénonce un phénomène dont il exonère les responsables. Avec pareil défenseur, les femmes n'ont pas fini de subir.
Yvan Perrin
*Christian Hofer : je précise que j'ai formulé le titre.
Monsieur Perrin,c’est un homme de votre TREMPE,qui est INDISPENSABLE au Palais Fédéral afin de revenir à UNE POLITIQUE QUI FONCTIONNE, est de REMPLACER ces olibrius hors COURSE.LA VOIX DE L’UDC doit se faire ENTENDRE parfois en tapant du poing sur LA TABLE QUE DIABLE! Non à L’UE,Non à Schengen,Non aux FAUX REFUGIES,Stop aux aides aux Pays de développement,LES NÔTRES D’ABORD !
Les gauches sont les partis soutenus par les mafias de la criminalité lesquelles se soustraient ainsi de plus en plus aux lois. Il est donc évident qu’en poursuivant dans cette voie, il ne peuvent qu’induire la guerre civile et la provoquer, quitte à poser des bombes pour faire illusion et ensuite accuser les fantômes de l’extrême droite sauf ici, où il s’accusent parce qu’ils pense être encore soutenus par les mafias criminelles: https://lesobservateurs.ch/2018/08/17/italie-une-bombe-artisanale-explose-devant-un-siege-regional-de-la-ligue-un-groupe-anarchiste-revendiquerait-lattaque/
Ces manifestations sont cousues de fils blancs.
Les socialistes se précipitent sur la scène publique sur un prétexte fallacieux qui sert de masque au véritable enseignement que cette agression met en lumière.
Pour eux, selon la doxa bien établie de leurs discours, il n’y a que des catégories victimisées… antienne connue socialo-bienpensante : les femmes et les “étrangers” ou les “émigrés” (pour ne pas dire ici les musulmans) sont de celles là, leur fond de commerce.
Aussi ils (les bons socialistes) ont tellement eu peur qu’on se dise que décidément cette immigration d’origine musulmane est une plaie ouverte par nos politiciens irresponsables car elle draine dans la nature (nos pays) des individus particulièrement dangereux par leur culture en propre à laquelle ils vouent un attachement identitaire (communautaire) indéfectible. Bon Dieu en manifestant ils sont donc Genève, comme ils ont été Charly, Bataclan, Bardo, Nice, etc, pour sur ne pas dénoncer les assassins – et les racines du mal.
Pour ne pas dire la seule chose qui est à dire : Non à l’Islam, sa doctrine, sa violence, son sexisme, son racisme (communautaire) et sa haine. Le fascisme islamique ne passera pas !
Et subsidiairement : Non à l’immigration incontrôlée, non voulue, délinquantes, parasitaires et incompatible avec nos sociétés occidentales libres et ouvertes.
Les socialistes sont passés, pour notre plus grand malheur de : “Prolétaires de tous les pays, unissez vous” ; ce que l’on appelait communément “la lutte des classes”, à “Migrants de tous les pays, envahissez nous” ; ce que l’on peut tout aussi communément appeler “la lutte pour la d’éculturisation”. Pour ce faire ils accusent l’ensemble des autochtones mâles des exactions commisent par des individus dont la culture violantes et sociétalo-religieuse est coutumière d’agressions en tous genres vis à vis des femmes et ceci déjà dans leurs sociétés machistes et archaïque. La façon dont la femme européenne est perçue par la plupart d’entre eux ferait se rouler à terre d’hystérie n’importe quelle féministe si elle avait don de lire dans les pensées des hommes. Par contre les hommes eux, entre “mecs” si je puis dire, les propos tenus par certains arrivant à l’égard de la gente féminine sont édifiants ; elle se situe à un rang à peine supérieur à l’animal car il est interdit de s’accoupler avec lui, mais tout comme l’animal, on ne lui demande pas son avis pour la posséder ; on achète et possède. Voilà de quoi les socialistes cherchent à nous faire culpabiliser et nous accusant des crimes commis par leurs protégés. Le “Grand Soir” du prolétariat n’arrivera plus, les socialistes ont en Europe, lamentablement loupé leur coup mais ils rêvent maintenant à autre chose, quelque chose comme :”Le Soir du Grand Remplacement”. Ne nous laissons pas duper, la tactique diffère mais la stratégie est la même pour arriver au but de la lutte finale : la destruction de la société libérale telle que nous la connaissons et son remplacement par administrateurs partisans.
Je pensais être le seul à m’offusquer du comportement de la presse, des socialistes et de celles qui s’offusque du sexisme ambiant, tel que le pitoyable plaidoyer de Manuela Honnegger dans la Tribune de Genève . Au sujet de cette dernière, je suis d’accord de lutter contre le sexisme et je la rejoins entièrement. Mais elle passe complètement à côté des réalités pour se vautrer dans des généralités qui ne collent pas au réel, ou, tout du moins, aux urgences du moment en la matière. Elle manque tout bonnement et simplement sa cible.
Ma surprise, ce dernier samedi, alors que je m’appétais à “squatter” quelques unes des caissettes à journaux laissées vacantes par le Matin, j’ai été surpris par le fait qu’un quidam de mon quartier m’avait devancé. Il avait placardé sur toutes les caissettes libres une page avec le texte suivant : “Qui a tabassé les cinq femmes” … slogan repris pour son article par Manuela Honeggeer…
Les caissettes libres sont… libres, utilisons-les.
Lorsque j’ai lu le titre de l’article de la TDG concernant ce Suisse qui a frappé un de nos policiers, j’ai compris que nous nous sommes inéluctablement rapprochés de nos voisins français. Dans la presse, désormais, il faut comprendre que si un délinquant n’est pas qualifié de Suisse ou de Suédois, il faut interpréter. Le problème réside dans le fait que beaucoup sont incapables d’interpréter. Non pas qu’ils n’ont pas l’intelligence pour, mais bien parce qu’ils sont manipulés.
Aujourd’hui je suis particulièrement en colère… plus que d’habitude. J’aimerais sincèrement vivre sereinement, mais cela n’est pas possible, à cause d’individus qui ont totalement oublié leur instinct de survie, qui encensent une morale suicidaire qui consiste à promouvoir comme réussite sociale la perfection de l’abandon de soi.
Sur la TDG, j’apprend que la justice française va s’occuper des cas de ceux qui appellent “penalty” le fait de donner un coup de pied à une personne à terre. C’est magnifique ! Ces délinquants, dont le plus jeune risque un rappel à la loi, ou un travail d’intérêt commun ridicule, ne vont jamais faire de peine de prison, parce qu’ils tomberont en deçà des deux ans fatidiques d’emprisonnement en France. Ils seront là demain, et ils recommencerons.
Sur qui les socialistes et les défenseurs des droits des femmes vont se reposer demain ? Nous ? Probablement… mais les écrits restent, nous nous souviendrons.
Et de même concernant l’ article frileux et teinté d’ une coupable veulerie, paru en page 15 du 24 Heures de ce jour.
On s’ offusque, on gémit, on ne comprend pas, et surtout, on ne stigmatise pas…
Eleonore Porchet en cheffe de file…
Alors que chaque observateur assidu de la presse sait que l’ immense majorité de ces barbares amoraux sont musulmans, car il sait lire, entre les lignes s’il le faut.
Mais l’on s’ obstine à TENTER DE FAIRE CROIRE au lecteur bien disposé politiquement que, ma foi, ce n’est qu’un phénomène social comme un autre , imputable au destin, à la crise économique ou au réchauffement climatique, éventuellement…
Bravo à Yvan Perrin.
Les femmes socialistes sont des Hypocrites sans courage.
Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes (Bossuet).
Bel exemple de cette hypocrisie dans la Tribune de Genève aujourd’hui, où une présidente d’un collectif termine sa tribune libre intitulée “Qui a tabassé les cinq femmes” par la phrase “…. et nous allons continuer à exiger un monde plus juste, sans sexisme ni racisme”.
Pourquoi parle-t-elle de racisme ?
Ou alors veut-elle parler de racisme anti-Blancs peut-être, ce qui serait peut-être assez juste….
Non ? C’est pas ça ? Alors va-t-on bientôt lire que les coupables sont les méchants racistes Blancs, les vilains hommes blancs occidentaux, qui oppriment ces pauvres petits des banlieues “défavorisées” ?
Yvan Perrin le retour. Ca fait toujours plaisir de vous lire.
Vivement votre retour en politique, fédérale si possible.