Cinquante ans après Mai 68, le « macronisme » achève la victoire du libéral-libéralisme le plus débridé. Son cœur idéologique reste celui de la gauche, marquée par l’héritage d’une mauvaise conscience coloniale, la repentance perpétuelle et obligatoire, la haine de soi. Il est temps d’y mettre un terme en retrouvant l’amour de nos racines, la fierté de ce que nous sommes ! C’est à cet impératif que s’attachera le colloque annuel de l’Institut Iliade pour la longue mémoire européenne, organisé samedi 7 avril 2018 à partir de 10h à la Maison de la Chimie, 28 Rue Saint Dominique, 75007 Paris
La journée est divisée en deux séquences. La matinée (10h-12h30) dressera le cadre de l’analyse, pour appeler à en finir avec la culpabilisation des Européens. Interviendront à cette occasion Philippe Conrad (« Pourquoi s’attaquent-ils à notre Histoire ? »), Javier Portella (« Du nihilisme à l’ethnomasochisme »), ainsi qu’Olivier Dard, Bernard Lugan et Martial Bild (TVLibertés) autour du thème : « En finir pour de bon avec la culture de la repentance ». La conclusion de la matinée sera présentée par le juriste Thibault Mercier, qui s’attachera à définir « le droit des Européens à la continuité historique ». Une première séance de rencontres et dédicaces est proposée avec les orateurs de cette matinée.
L’après-midi (14h-18h30) explorera les voies et moyens de redevenir ce que nous sommes. Interviendront ainsi Hélène Gallois (« L’apport du Moyen Âge à l’identité européenne »), Jean-François Gautier (« Ce que nous devons aux Européens ») et François Bousquet (« Gagner la guerre culturelle »), la conclusion valant synthèse des travaux étant assurée par Jean-Yves Le Gallou. Ces interventions seront entrecoupées d’illustrations concrètes, à partir de travaux des auditeurs de l’Iliade, et de deux tables rondes. La première réunira Rémi Soulié, Paul-Marie Coûteaux et Gérard Dussouy pour traiter des moyens de se réapproprier notre identité, tant à l’échelle locale que nationale et européenne. La deuxième table ronde, illustrée d’une vidéo de témoignages dans différents pays européens, réunira les journalistes Yann Vallerie (Breiz-Info) et Ferenc Almassy (Visegrád Post) autour du thème « Irlande & Europe centrale et orientale : comment se réveille un peuple ? ».
Ce colloque constitue la manifestation publique annuelle de l’Institut Iliade. Il s’est rapidement imposé comme l’un des plus importants rassemblements des partisans de l’identité nationale et européenne avec, à chaque édition, plus de 1'000 participants désireux d’explorer les pistes du nécessaire réveil de notre civilisation, d’échanger et de se retrouver, y compris autour d’un verre, dans la convivialité d’une communauté ainsi reformée.
L’édition 2018 sera l’occasion de présenter en exclusivité le deuxième ouvrage édité par l’Iliade chez Pierre-Guillaume de Roux : Ce que nous sommes. Les sources de l’identité européenne. Ce livre original, tout à la fois érudit et engagé, réunit douze auteurs autour de trois grands chapitres (« Notre longue mémoire », « Un regard européen sur le monde », « Combats d’aujourd’hui et de demain »). Leurs contributions composent un chant polyphonique d’amour et de combat pour l’Europe de demain. Histoire, mythologie, arts, musique, sciences, littérature, politique et philosophie : en se réappropriant les différentes facettes de leur héritage commun, les Européens ont toutes les raisons de croire encore en leur avenir !
Pour être certain de disposer d’une place et accéder plus rapidement à la salle, il est vivement recommandé de réserver en s’inscrivant en ligne dès maintenant via la page d’accueil du site de l’Institut : institut-iliade.com
La repentance ? Basta. Soyons fiers d’être Européens !
https://www.youtube.com/watch?v=uSbrZJfwnGQ
La France est un pays libertaire mais certainement pas un pays libéral ! Macron ou pas. La droite nationaliste française a le mauvais logiciel.
Commentaire posté sur Aleteia et aussitôt censuré.
Les dogmes sont ce qu’ils sont, c’est à dire des dogmes. Rien de plus. À l’instar du dogmatisme mondialiste, dont le pape actuel semble être, avec les “progressistes vaticanistes”, leur lénifiant porte parole consommé ? Le Chantre de la déréliction spirituelle ? À ce propos, n’est-ce pas Jésus qui parlait de sépulcres blanchis ? D’ailleurs, est-ce un hasard si la foudre est tombée sur le dôme de la basilique saint Pierre du Vatican ? Que des colombes, symboles de la paix, ont été attaquées et ensanglantées, juste sous les fenêtres du Vatican, par de sombres volatiles surgis l’on ne sait d’où ? Etc. Etc. La liste est longue…
Cette concomitance d’évènements troublants serait-elle donc si anodine qu’elle ne suscite aucune question chez quiconque, notamment chez celui qui, pourtant, a la charge d’éclairer les aspirations des âmes chrétiennes ?
Enfin, pourquoi la problématique de la présence notoire de “locataires maçons” dans la cité papale, n’a-t-elle jamais été publiquement ouverte ? Effets de la honte ? Œcuménisme pervers ? Intérêts occultes ?
Question, le site Aleteia, prétendument catholique, vous évoque-t-il quelque chose ? On peut en douter. Cependant, rassurez-vous, vous n’avez rien perdu.
En effet, ce site, pour être universellement connu de sa concierge et de quelques autres “vertueux” parangons d’une orthodoxie évangélique à géométrie variable, est pourtant aussi éloigné du message christique qu’un ostensoir peut l’être d’un vieil éteignoir de bougies, ce qui ne l’empêche nullement de se revendiquer, pour ce qui savent lire, comme un fervent “porteur de lumières” mondialistes.
Il est vrai que, vaticaniste en diable, sa prose favorite reste, quoi qu’il arrive et par tous les temps : Bergoglio. Vous savez, ce Bergoglio, alias François, que même les “médias mensonges” d’aujourd’hui en raffolent. Ce qui évidemment nous donne un très très gentil Bergoglio par-ci, et un très très avenant Bergoglio par-là. Mais, surtout, qui nous en dit long sur ce sacro-saint usurpateur des consciences fragiles qui, en plus d’être le fidèle gardien des accommodements œcuménistes : orchestrés par les petits frères trois points, tient à garder son “tabernacle” papal personnel à l’abri des oreilles et des yeux indiscrets. Sauf que ce “tabernacle”, pour l’instant invisible, est encore plus chargé d’arrière-pensées que des flottilles entières de migrants.
Cependant, à la décharge de ce site, l’honnêteté commande de dire que son Censeur mérite les palmes de l’excellence. En effet, on peut dire que cet éminent coupe-jarrets des questions dérangeantes, possède la sensibilité inquisitoriale dans le sang et le reflexe d’un authentique chien de garde. C’est pourquoi, manipulation pubarde du chrétien naïf oblige, tout ce qui déborde un tant soit peu de son enclos maçonnico-mondialiste lui est définitivement odieux et n’a pas lieu d’être pris en compte. C’est ce qui explique sans doute pourquoi, mon commentaire, aujourd’hui posté sur cette page, a fini sa course au fond des poubelles censuraires d’Aleteia. Amen.
MERCI POUR CETTE INFORMATION.
Enfin le désir de reconquête de notre dignité, sans cesse bafouée par “la bienpensance” pendant tant d’années.
Merci de nous prévenir aussi tôt. On aura le temps de planifier notre voyage et notre présence. En espérant pouvoir y assister. Nous allons passé le message à tous ceux qui nous entourent.
@ ALDO
Bien sûr vous n’avez pas tort. Mais il est bon d’espérer, car nous avons heureusement une conscience politique que seul, un minimum de nos aïeux possédaient. Aujourd’hui grâce aux médias contestataires, nous pouvons mieux être informés et en grand nombre. C’est toute la différence. Nous sommes beaucoup moins malléables que nos ancêtres. Ce nombre important de gens conscientisés permettra aux systèmes politiques d’évoluer. Car les systèmes actuels ne peuvent plus durer. Ils portent en germe leur autodestruction. Il suffit de les y aider.
“Cinquante ans après Mai 68, le « macronisme » achève la victoire du libéral-libéralisme le plus débridé.” Là il faut vouloir croire que les choses changent, mais ce n’est JAMAIS le cas. Mitterrand a passé de la cagoule et des collabos allemands, en participant à la fabrication du costard de traître habillant Pétain, juste pour se blanchir et finir au P.S. . On a là l’exemple parfait d’une transition de gouvernants, sans modifications notables.
Les acteurs changent, le fond idéologique reste. Et c’est toujours la même idéologie mafieuse qui règne. Le macronisme n’est qu’un répétition de ces impostures où gauche et droite ne sont que des illusions cultivées. Ceux qui détiennent le pouvoir par l’argent, les rackets, le grand et le petit banditisme etc. sont toujours en embuscade, parfois cachés aux yeux du public. Macron est un guignol de plus qui entretien des antagonismes pour mieux démontrer qu’il est un facteur de stabilité au milieux d’un océan de magouilles dont il est lui-même l’instigateur et l’arbitre. Son “paraître intelligent” autoproclamé est là pour nous le rappeler.