Climatocratie
L'arnaque du climat tramée à Paris percée à jour – une bonne chose.
De Roger Köppel, Editorial, 8 juin 2017
Les Mayas, un peuple indien d'Amérique centrale, disparu au début des temps modernes à cause de la sécheresse persistante due à l'élévation de la température, ont vénéré le dieu Soleil avec assiduité et une grande rigueur. Je ne sais pas comment les Mayas appelaient leur divinité, mais ils lui sacrifièrent des animaux et des humains vivants parce que leurs sorciers leur racontaient que c'était le seul moyen d'apaiser la colère du soleil.
Les pauvres Maya ne savaient pas si leurs sacrifices plairaient à leur dieu, mais ils les pratiquèrent et l'honorèrent jusqu'à leur disparition. Il aurait probablement été plus intelligent d'investir leurs ressources dans une réforme de leurs méthodes de cultures.
Nous voici de retour aujourd'hui à une situation similaire. Le soleil est devenu mauvais et réchauffe l'atmosphère.
Les hommes interrogent leurs sorciers qui leur recommandent, menaçants, de nouveaux sacrifices. Cette fois-ci, pas de sacrifices humains ou d'animaux, mais de l'argent et de la prospérité. Mortification et renoncement s'imposent. Les contemporains ne savent pas non plus si leurs offrandes plairont aux dieux du soleil, mais confiants en leurs sorciers, ils espèrent qu'elles finiront tôt ou tard par porter leurs fruits, dans cent ans peut-être.
La politique climatique, c'est du vaudou, de la religion solaire, de la pensée magique, une sorte de commerce des indulgences qui permet à plus d'un d'en tirer profit. Croire que l'humanité puisse contrôler la température moyenne de la planète par une action concertée au cours de congrès et de conférences est si fou que cela en devient presque fascinant. Ces mêmes personnes, qui tentent en vain depuis des décennies de juguler la dette publique, sont légion devant les micros quand ils ont la possibilité de raconter aux gens à l'extérieur comment limiter la présumée hausse mondiale de la température avec leurs concepts. Ils ont enfin une frontière qu'ils sont capables de contrôler.
L'accord sur le climat de Paris, pour autant que je puisse en saisir la portée, est une arnaque. Il a été «vendu» par ses initiateurs comme l'ultime tentative pour sauver la planète. Ce qui serait décidé à Paris aurait une importance capitale pour l'humanité, exultaient les journaux. Ce serait un acte politique majeur: l'ébauche de la solution d'un problème central, auquel chaque citoyen de cette planète aurait un intérêt tout particulier. Et où est l'arnaque? Elle réside dans le fait que les promoteurs de «Paris» ont bricolé leur accord de manière à interdire à tout jamais tout vote à son propos dans un pays. Le salut de l'humanité serait décidé en se passant de son avis.
Bien entendu, il y avait des excuses. On disait que l'accord ne serait pas passé s'il avait été libellé comme un traité officiel accompagné de sanctions. Toutes les mesures seraient volontaires, faute de quoi il aurait fallu présenter l'accord aux parlements. Il valait mieux l'éviter. Les sauveurs du climat autour du président américain Barack Obama ont trouvé le climat trop important pour le laisser entre les mains de la démocratie.
Pourquoi donc? Si le contrôle du climat était si important, il magnétiserait politiquement les foules. Pourquoi soustraire à l'opinion ce qui doit de toute urgence intéresser les gens et, si c'est exact, qui les intéressera? Ce comportement étrange n'autorise que deux interprétations. Soit ces personnalités politiques ne croient pas à leur politique climatique, soit ce ne sont pas des démocrates, mais des dictateurs, plus précisément des climatocrates qui veulent imposer d'en haut aux citoyens, sans les consulter démocratiquement, leurs vues comme jadis les communistes ou d'autres tenants de systèmes totalitaires. Les deux théories sont probablement justes.
On entend maintenant souvent dire que l'accord sur le climat de Paris était anodin puisqu'il ne liait pas ses signataires, qu'il avait plutôt un caractère symbolique et qu'il fallait plus voir en lui un signal qu'une politique concrète. Ajouter foi à ces arguments, c’est se faire piéger par les climatocrates. Cet accord est dangereux parce qu'il est quelque part en suspens dans un vide démocratique entre responsabilité morale et juridique, au-dessus de l'État de droit. C'est un non-traité, qui veut faire passer en force des changements de comportement et des mesures politiques, mais, bien sûr, sans que les citoyens aient leur mot à dire.
Et pas si anodin que cela. En Suisse, par exemple, l'accord «non contraignant» sur le climat de Paris sert déjà fort bien à justifier de façon très contraignante une stratégie énergétique qui coûtera jusqu'en 2050 quelque 200 milliards de francs suisses et bouleversera l'approvisionnement énergétique – en intervenant massivement sur la vie privée. Les sauveurs du climat contournent ainsi la démocratie: ils créent durant leurs conférences internationales un pseudo-droit qu'ils utilisent à la maison comme moyen de pression pour faire passer les lois souhaitées.
Le retrait de Trump de ce non-traité, qui de fait en est un, est un acte d'honnêteté. La montée de la haine mondiale à laquelle il est depuis lors confronté ne fait que prouver à quel point la religion climatique anti-démocratique s'est répandue dans les rédactions et les partis. De puissants groupes d'intérêt craignent déjà pour leur argent et leur influence que leur apportera l'accord sur le climat, il est vrai, tellement non contraignant.
Le comble de l'hypocrisie consiste maintenant à reprocher à Trump d'en être sorti, alors qu'un non-respect tacite de l'accord eût été possible et aurait suffi. Toute la malhonnêteté de cette arnaque du climat tramée à Paris est percée à jour avec de tels conseils: l'enjeu n'est pas le climat, mais le maintien de la façade d'une communauté mondiale d'idées qui remplit ses propres poches et celles de ses bénéficiaires dans le monde des affaires, de la recherche et de la société. Les masques tombent. L'arnaque est dévoilée. En Suisse, la présidente de la Confédération, Doris Leuthard, constitue la figure de proue rayonnante de cette douteuse climatocratie, ennemie de la démocratie et de la prospérité, sous les applaudissements intarissables des médias.
Je ne suis certainement pas contre la protection de l'environnement et les énergies propres, mais je suis contre le fait d'organiser une sorte d'environnementalisme dans notre dos avec des accords mensongers «non contraignants» qui finissent par établir un système de prébendes, de réglementations et de privilèges que les gens doivent payer sans jamais avoir été amenés à donner leur avis. Grâce à Trump, tout le monde finit par en parler. Une bonne chose.
Lien vers l'article et la Weltwoche, ici
Jean Marie PELT l’avait annoncé : nous aurions d’abord des étés très chauds, trop chauds.
Alors que fait-on quand ce réchauffement climatique se passe à un rythme bien plus rapide que ceux connus dans un très lointain passé?
Dans ce cas, des gens doués d’intelligence et de simplicité observent ce que leur indique la nature :
– un riziculteur japonais a observé ses rizières et a vu que quelques grains de riz résistaient aux effets de la sécheresse. En préservant ces grains, il a sauvé une variété de riz qui sera utile pour l’humanité.
Dans d’autres régions d’Europe, la sécheresse anéantissait les cultures. Des agriculteurs se sont mis à l’AGRO-FORESTERIE. Ainsi ils cultivent “à l’ombre entre des rangées d’ arbres” toutes sortes de céréales. L’arbre puise son eau en grande profondeur, alors que la céréale la puise en moyenne profondeur et pour certaines légèrement en dessous de la surface.
Les néerlandais dont la majorité des territoires qu’ils occupent sont sous le niveau de la mer, construisent des maisons qui par un système hydraulique ingénieux s’adapteront à la montée des eaux.
Au sénégal, le désert devenait de plus en plus dévoreur de territoire. Grâce à la méthode de Mr GASC et sa méthode IRRIGASC ce sont des milliers d’hectares qui ont été reconquis sur le désert.
LA VOITURE POUR TOUS a été un désastre aussi. En voulant privilégier la production de voitures, on a aussi appauvri les classes les plus fragiles (qui n’auront jamais de maison) et on a accentué la pollution, qui augmente le risque de réchauffement intense.Les pays du sud n’étant pas assez riches USENT des TAXIS BROUSSES même dans les villes. Si on en faisait autant, il y aurait 10 personnes dans ces taxis- minibus B en occident, donc 10 personnes n’utilisant pas de voiture, individuellement. Ces mini-bus permettraient les connexions qui n’existent pas de banlieue à banlieue ou de village à village, en France. Ce qui oblige les gens à prendre leur voiture.
CE SONT AUSSI CES GENS QUI NOUS MONTRERONT LE CHEMIN POUR LUTTER CONTRE LES EVENTUELS CHANGEMENTS CLIMATIQUES. Ignorer de s’intéresser à
ces gens là qui sont des acteurs de terrains, aux voies qu’ils nous indiquent, nuirait gravement à l’humanité.
Les analyses scientifiques ne suffiront pas. Il faut aussi faire confiance aux acteurs de terrain.
Scientifique ? c’est la tarte à la crème des ignares ! Pourquoi l’escroquerie serait-elle absente de la science ? Bien au contraire, le jus coule à flot et les publications médicales et scientifiques sont souvent dans la main des mêmes journalistes dénoncés couramment pour leurs partis pris idéologiques dans les médias: mêmes symptômes, mêmes écoles. Alors le mieux est de s’interroger en permanence. Déjà on recommence avec la géothermie dans le Chablais et significativement le pouvoir veut à nouveau imposer à tous une assurance contre les tremblements de terre dû justement à ces techniques. Les risques pour tous et les profits pour les concessionnaires… http://www.rts.ch/info/suisse/1127602-geothermie-a-bale-4e-seisme-en-5-semaines.html
Vous devez savoir qu’en Italie centrale la géothermie y est implantée depuis très longtemps et qu’il y a un rapport avec toutes les catastrophes .https://www.google.fr/#q=italie+tremblement+de+terre Ci-dessous je lis qu’on s’exprime sur la vapeur d’eau et naturellement les “scientifiques” n’ont généralement pas cette interrogation. Toutes ces génératrices et pas que nucléaires évacuent la vapeur d’eau dans le ciel. Avant avec les locomotives à vapeur, le problème avait été résolu grâce à la flemme de refaire le plein. Aujourd ‘hui on vide les fleuves dans le ciel et personne ne s’interroge.
De tout manière la cohérence voudrait qu’on arrête immédiatement la natalité et particulièrement celle des terroristes envahisseurs, qui elle, met en péril bien réel toute la planète. De quels droits ces sauvages revendiquent les bienfaits de ce que nous avons inventé ?
Une science qui se dit être un fait, et que toute personne qui contredit est dans le déni n’est pas une science, c’est une religion. Il n’y a qu’une faction dans le déni total, incapables de valider un seul argument contraire: les climatoturbos. Pour ceux qui doutent encore de la farce qu’est cette psychose du réchauffement climatique, ils n’ont qu’à chercher par eux-mêmes qui est Roger Revelle, et pourquoi il a fini sa vie en regrettant la tournure qu’avait pris ce qu’il avait lui-même théorisé. Tout ça à cause de l’égo démesuré de son ancien élève Al Gore – apparemment aussi inventeur d’Internet -, et ses ambitions à 5 milliards de dollars. Oui, le réchauffement climatique est une authentique farce politisé, souillé par des milliards d’intérêts financiers. C’est une pseudo-science allègrement contredite par déjà plus de 10’000 scientifiques.
@Burnand:
Vous m’avez sans doute mal compris. Vous n’avez pas remarqué que ma réponse s’adressait à une personne qui parait être de manière irréductible dans le déni. Toute argumentation devient impossible – et la seule réponse est “wait and see for yourself”. Pas la peine de perdre son temps dans de pareils cas – mais seulement tant que cette faction pseudo-scientifique reste fortement minoritaire. Sinon, il faut être plus vigilant et actif…
Pour votre information, je suis un scientifique et convaincu par les observations et les prédictions obtenues par l’application des lois de la nature – des lois qui ne connaissent pas la notion d'”idéologie”…
Pour information: Le chimiste suédois Svante Arrhenius a fait en 1896 la première estimation théorique d’un réchauffement atmosphérique dû à l’effet de serre par le CO2 et la vapeur d’eau. Son intention était d’expliquer les périodes glaciaires – fausse piste à l’époque, mais ordre de grandeur de l’effet correct. Les glaciations seront expliquées en 1941 de manière satisfaisante par le géophysicien Milotin Milancovitch sur la base de considérations astronomiques (influence des variations périodiques de l’excentricité de l’orbite terrestre, obliquité de l’écliptique, précession des équinoxes, et précession des absides sur l’insolation).
Mais la vision d’Arrhenius était correct, et nous commençons à y voir les conséquences – même la publication de livres par des opportunistes tel Claude Allègre…
@Burnand:
Que voulez vous dire ??
Avez vous lu mon premier commentaire ?
@Noel Cramer : vous verrez dans quelques années ! Vous faites la politique de l’autruche mais la vérité sera destructrice pour vous aussi.
Claude Allègre qui est cité ici par quelqu’un n’est en aucun cas habilité à s’exprimer sur le climat en à en écrire un livre. Il n’est pas un scientifique et ce n’est pas la première fois qu’il s’exprime sur des sujets qu’il ne maîtrise pas. Donc cessez de le lire sur des sujets importants.
Le boson de Higgs : le terrible secret de la particule de Dieu … créateur du ciel et de la terre. Non ce n’est pas un doublon.
Le boson de Higgs : le terrible secret de la particule de Dieu … créateur du ciel et de la terre.
Tout cela n’est que de l’arnaque et de la foutaise. Pour s’en convaincre il suffit de lire Claude Allègre L’imposture climatique !!
Après cette lecture vous savez quels sont les mensonges !!
@Hervé:
On verra…..
@Noel Cramer
Faux. L’augmentation de la température s’accompagnerait de précipitations dans ces régions prétendument inhabitables, et par conséquent elles en bénéficieront elles aussi. On peut y aller longtemps… Et un seul argument suffit pour démonter cette prétention de réduire les émissions de CO2: L’Afrique n’est pas encore suffisant industrialisée pour faire face à leurs besoins indigènes, il faudrait empêcher le continent africain de se développer pour ne pas contrebalancer les objectifs prétendus. L’hypocrisie serait complète de ceux dont le système est basé sur la croissance.
@Hervé:
Un degré de plus rendra d’autres régions inhabitables… et poussera à la migration…
Le problème central à toutes ces discussions est la surpopulation mondiale. Un sujet évité par tout le monde…
@Noel Cramer
On peut discuter beaucoup de choses. On peut avancer beaucoup de vérités… si personne ne les dispute. C’est abondamment documenté que la contribution de l’homme dans les émissions de CO2 sont insignifiantes. C’est abondamment documenté que la montée du niveau des eaux est un délire inventé de plus, à certains endroits le niveau descend. C’est abondamment documenté que la fonte des glaces est un autre délire, si à certains endroits elle a fondu de l’autre elle s’accroît en plus grand volume. C’est plutôt facile d’avancer des “vérités”. Mais si votre soucis c’est les générations futures, et bien parfait… ne laissons surtout pas aux générations qui ont foutu la merde le pouvoir d’inventer des pseudo-solutions. Et pendant ce temps, un degré de plus, cela permettrait au contraire de rendre certaines régions plus habitables et donc de consommer moins d’énergie pour les chauffer l’hiver! Que du bon.
On peut discuter autant que l’on veut. Le rayonnement solaire est une constante – à l’échelle humaine et même sur des dizaines de millénaires. Le CO2 libéré par l’activité humaine contribue à l’effet de serre atmosphérique – c’est scientifiquement incontestable et mesurable depuis quelques décennies. 2 ou 3 degrés de plus pour la température moyenne de l’ensemble de l’atmosphère terrestre semble bien peu à prime abord. Mais cela représente une quantité gigantesque d’énergie supplémentaire dans notre atmosphère. L’énergie contenue dans un système définit son potentiel dynamique. Dans notre cas l’amplitude des extrêmes de chaleur – mais aussi de froid: Violence des tempêtes, des vagues de sècheresse, etc.. Sans parler de la fonte des calottes glaciaires – que l’on observe déjà, de la montée des niveaux marins, et autres effets abondamment documentés. Le réchauffement atmosphérique et ses effets progressent malheureusement lentement à l’échelle “politique” et permettent à ces milieux de pratiquer le déni.
De telles fluctuations climatiques naturelles ont eu lieu dans le passé – dans un lointain passé – et se déroulant sur des milliers et dizaines de milliers d’années – pas sur quelques décennies comme on l’observe actuellement.
On peut aussi beaucoup discuter sur les moyens à mettre en œuvre. Des “taxes” rempliront les caisses publiques – mais il est prévisible que l’effet s’arrêterait là. D’autres actions beaucoup plus efficaces devront être prises. Le problème est complexe – et ce n’est pas par des considérations idéologiques qu’on résoudra les problèmes auxquels seront confrontées les générations futures.
Bonne vulgarisation de la pseudo-science du climat.
On y trouve les deux points emblématiques de la pseudo-théorie et de la pseudo-observation.
Pour ce qui est de la théorie, à 9 min 10 s par exemple. Le schéma est incompatible avec la thermodynamique (les flèches rouges montantes et descendantes ne sont pas des phénomènes indépendants, seul le flux net montant a un sens physique). Des représentations parentes hantent la littérature sur l’effet de serre. Pourquoi vulgariser la théorie avec une image maladroite et trompeuse ? Parce qu’il y a bien dans le prétendu calcul de l’effet de serre une astuce simplificatrice étrange et non justifiée (indépendance entre phénomènes radiatifs et convection) qui autorise ce raccourci. En réalité, il n’y a pas de calcul validé de l’effet de serre, juste des valeurs arbitraires.
A 0 min 30 s, le graphique de l’évolution des températures globales depuis la fin du XIXème siècle. Il est construit sur la base de données instrumentales inadaptées et lacunaires, les mesures sont lourdement ajustées avec des méthodes ne respectant pas les bases de la métrologie; la courbe représentée est en réalité une intégration des tendances à courts termes. Il n’est dès lors pas surprenant que ces courbes de températures instrumentales soient infirmées par les paramètres physiques, climatiques et biologiques disponibles (glaciers, dendroclimatologie, enneigement, niveaux des mers etc.) qui captent bien le refroidissement des années 1970 à 1980 mais ne détectent pas de réchauffement significatif entre la fin de XIXème siècle et le début du XXIème.
@mongoloide
Ce n’est pas un début de réponse. C’est du 100% théorie de laboratoire. En conclusions, quelle sont les conséquences pour l’homme de ce degré de plus? Quelles sont ses conséquences sur la planète? Et qu’est-ce qui changerait pour la planète un poil moins d’émissions de CO2?
@Mongoloides
En admettant qu’il y ai vraiment trop de Co2 (ça reste à prouver et surtout que ce ne serait pas “normal”), la vrai question c’est qu’est-ce qu’ils vont faire de l’argent des taxes ?
Diminuer le CO2 en brûlant les billets ? En quoi l’argent pourrait résoudre quoi que ce soit alors qu’on voit clairement que la volonté politique ne suit pas (croissance oblige). Et si il y a un trop plein de Co2 ne serait-ce pas aussi parce-qu’il manque de végétaux ? Va-t-on arrêter le déboisement de la planète ?
Je suis certain que rien ne sera entrepris et donc pour moi tout ça s’est une fumisterie. Qui verra ou et comment sera utilisé l’argent. Pas nous en tout cas. C’est comme avec l’humanitaire, des millions sont récolté et en 10 ans il n’y a pas de résultats sur place.
Tout ça c’est du cinéma pour moi. Rien ne sera entrepris, on va simplement rediriger l’argent pour créer plus d’ONG inutile qui permettrons de canaliser l’argent pour faire croître l’économie. C’est ce que font les politiques depuis des décennies, il ne pense qu’en terme de “croissance” et en tout cas pas écologie (la vraie). Mascarade que tout ça.
Bonjour @Hervé voici un début de piste. C’est une vidéo assez intéressante.
https://www.youtube.com/watch?v=R6eywXdssMw
Si ensuite vous avez encore des questions je pourrai volontier tenter d’y répondre.
Il serait intéressant de se pencher sur le business des certificats CO2. Cette hypocrisie qui consiste à acheter le droit de polluer à un pays qui ne pollue pas. Ce système peut se comparer aux indulgences vendues par le Pape pour financer Saint-Pierre de Rome, en échange de la rémission des péchés de l’acheteur. Il nous manque des chiffes et des détails, sur ce marché financier. Y a-t-il un journaliste de la Weltwoche qui serait intéressé par cette investigation ?
@Mongoloides
Vous pouvez développer sur ces effets bénéfiques de la baisse d’émissions de CO2 au niveau planétaire?
Ce n’est pas seulement le Soleil, il y a aussi la précession des équinoxes (cycle de 22 000 ans). C’est un péché d’orgueil de croire que les humains pourraient contrôler le climat, voire le dégrader. La vieille Gaïa en a vu d’autres et de bien cruelles, et elle s’est tirée d’affaire.
Cet article est excellent, à diffuser !
Vous êtes sérieux dans ce que vous dites là? Vous comparez la fin de la civilisation maya avec le rechauffement climatique actuel? Vous êtes vraiment en train de tout mélanger à ce point? Soyez un peu lucide dans vos propos. La civilisation maya n’a pas disparue, il s’agit d’une évolution d’une migration,etc. Tout le monde n’est pas mort du jour au lendemain.
Le réchauffement climatique est un effet prouvé par A+B cela ne peut pas être remis en question, c’est de la physique élémentaire.. On apprend cela à l’école vers 15-16 ans.. Le doute qui existe l’est sur l’origine de ce rechauffement mais l’effet on le connait. La baisse d’émission de CO2 aura un effet bénéfique et cela aussi est prouvé, il est temps d’agir.
Quand je vois le commentaire de coocool, je tombe de ma chaise.. C’est le soleil qui commande.. mon dieu ce qu’il ne faut pas lire.. le problème est l’effet de serre.. Le soleil lui a toujours le même effet, cela ne va pas changer en 200 ans, c’est bien les solutions que dispose la terre pour se réguler qui est en péril..
Bref, documentez-vous un minimum et sur des sites internet scientifique et non politique ou politico-scientifique..
D’après mes calculs d’expert de sciences en fumisterie, le total de l’énergie utilisée pour organiser logistiquement ces grandes conférences équivaut aux efforts énergétiques qu’un pays comme la France doit effectuer grâce aux accords obtenus après ladite conférence.
Mise à part la question de la responsabilité des humains ou pas, cette histoire illustre surtout l’arrogance de l’être humain. La planète existe depuis des milliards d’années, nous sommes ici depuis 10 minutes, mais on va la sauver. Quel orgueil. De la même manière que des organismes ont produit un gaz toxique et oxydant il y a des milliards d’année, ce gaz a permis la création de l’atmosphère et nous ne pouvons vivre sans puisqu’il s’agit de l’oxygène. Peut-être que les tonnes et les tonnes de plastique que nous produisons en transformant du pétrole serviront aux robots auto-répliquant comme matériel de base lorsque nous aurons disparu. Quand on voit ce que ce qui se fait aujourd’hui comme robot et est publiquement partagé ( https://www.youtube.com/watch?v=-7xvqQeoA8c ), on préfère peut-être ne pas savoir ce qu’ils ont “sous le coude”. Et le transhumanisme, une abomination à surveiller de près.
Faux ! Il y a certes eu des modificateurs importantes de la température au cours des millénaires mais cette fois-ci c’est dû à l’industrie, depuis qu’elle a débuté, les degrés augmentent. Mais cela ne sert à rien de tergiverser : il y a suffisamment d’ouvrages scientifiques sérieux sur le thème. N’écoutez QUE les scientifiques, spécialistes en la matière, et les spécialistes des océans. On va droit dans le mur car il est trop tard pour retenir les changements maintenant.
Le climat a toujours été cyclique, l’homme n’y est pour rien, c’est le soleil qui commande.
L’accord de Paris n’engage à rien en ce qui concerne le climat (alors qu’en réalité c’est la température qu’on vise) car personne ne sait de combien il faut réduire les émissions de CO2 pour avoir un impacte mesurable sur la température. Chaque nation peut proposer ce qui bon lui semble et il n’y a aucune sanction en cas de non-respect des promesses.
La seule chose qui est chiffrée, ce sont les “contributions” en dollar. Les nations développées se sont engagées à faire des dons de 100 milliards de dollars chaque année à partir de 2020. A ce jour, seulement 10% sont annoncés.
La plus grande contribution vient des USA, 3 mia USD (promis par Obama). France, UK et Allemagne se sont engagés sur 1 mia chacun.
http://www.greenclimate.fund/partners/contributors/resources-mobilized
Je connais un spécialiste du plus haut niveau avec 40 ans d’expérience qui a assisté au travail du GIEC lors de l’analyse des carottes glaciaires au Groenland qui a fait état d’erreurs grossières, de méthodologie biaisée et de “conclusions unilatérales”. Selon lui le plus grave est la négation de l’épistémologie elle-même dans la conception de leurs modèles informatiques qui ne prennent pas en compte correctement les données géologiques sur des centaines de millions d’années mais se bornent aux deniers 150 ans. Mais bon le GIEC est un organisme politique dépendant de l’ONU dépendant des financements étatiques et ayant boosté tant de carrières. Ah, si le GIEC était aussi “pur” que notre CERN. Il sera tout aussi “pourri” quand ils trouveront moyen de faire une taxe sur le boson de Higgs.