«C'est notre tour». Le succès électoral de Donald Trump aux Etats-Unis arrive à point nommé pour les partis populistes italiens qui trépignent aux portes du pouvoir et voient leur discours conforté à trois semaines d'un référendum constitutionnel crucial.
«Trump nous a montré que l'on pouvait gagner contre tout et contre tous. C'est notre moment», ne cesse de répéter depuis mercredi Matteo Salvini, le jeune chef de la Ligue du Nord, parti anti-euro et anti-immigré proche du Front national français.
20 min: “Référendum apportant de la stabilité politiqe”.
Encore un travail de journaliste, un vrai.
Sans voiloir rentrer dans les détails du texte de loi, imaginons si un jour on supprimait le droit d’initiative ou de rérérendum en Suisse, il nous le résuméraient dans les mêmes termes.
Le chômage, ces journaleux, c’est e moins qu’il mêritent!
J’espère qu’ils diront non à Renzi lors du prochain référendum…
Les italiens sont de plus en plus eurosceptiques et n’ont pas attendu l’élection de Donald Trump pour manifester leurs mécontentements face à l’UE et la montée des partis de la Ligue du Nord (Equivalence de la Lega au Tessin, qui remporte un vif succès) et du mouvement 5 étoiles dirigé par le très sulfureux Beppe Grillo n’est guère surprenante.
Chaque fois que Matteo Renzi, très peu écouté au niveau européen, lance de nouvelles réformes, imposées par l’UE, les italiens manifestent dans la rue et ne craignent pas de critiquer ouvertement l’UE, notamment contre les nouvelles réformes sur la loi du travail, des Universités, des programmes scolaires, des retraites et contre les plans d’austérité. Donc rien d’étonnant de voir un jour, un de ces partis prendre le pouvoir, faisant disparaître les partis classiques
Forza italia, forza la lega nord