Respect aussi à nos Suisses de Suisse

Stefan Racovitza
Chercheur en sciences humaines, journaliste indép.
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 Ce texte est une réponse tardive à un article intitulé Respect à nos Musulmans de Suisse, écrit par M. Pascal Décaillet et publié par Les Observateurs, le 17 septembre 2014. Je lisais depuis longtemps ses articles et je les appréciais. Il me paraissait un journaliste de qualité, lucide, bien informé et bien inséré dans l’actualité, jusqu’à l’apparition de cet article, qui m’a poussé à me demander si j’avais vraiment raison.

Il a commencé avec le paragraphe suivant : « Je rumine ce papier depuis des mois. Depuis des années même, sans doute depuis le dimanche de la votation sur les minarets. Résultat que je respecte, car je suis démocrate, mais qui continue de m’apparaître comme une aberration. J’avais profondément combattu cette initiative, j’ai été dans le camp des perdants, c’est la vie. Mais le problème demeure : la manière, dans notre pays, dont certains, hélas de plus en plus nombreux, parlent de l’Islam, est aussi ahurissante qu’inquiétante. Ce qui me frappe, et c’est mon objet ici, n’est pas leur opinion (nous sommes en démocratie, chacun s’exprime), mais le niveau d’inculture que souvent, elle dévoile ».
    En ce qui me concerne, je « rumine » cette réponse depuis la publication de cet article, donc depuis plus d’un an et neuf mois. Déçu par la naïveté et le manque d’information de cet article, je me rends compte que j’aurais dû lui répondre plus tôt, mais ce qui m’a obligé à le faire maintenant, c’est l’aggravation galopante de l’islamisation de l’Europe et du terrorisme islamique, ce qui n’est que le début d’une vraie guerre contre l’Union Européenne, contre les Juifs, contre la chrétienté, en réalité contre l’identité et la civilisation de l'Occident.
La votation contre la construction des minarets, n’avait pas l’intention d’interdire la liberté des musulmans de pratiquer leur religion. Il y en a des mosquées en Suisse et quelques minarets, en réalité pas plus de quatre et d’autres lieux de pratique religieuse musulmane. Le vote contre la construction des minarets n’a pas empêché les musulmans de pratiquer leur religion, mais a aidé la Suisse à garder son paysage chrétien et traditionnel. S’agit-il d’inculture, de racisme, d’islamophobie, de la discrimination des musulmans ou simplement du patriotisme des Suisses, de leur attachement aux traditions nationales et de leur opposition à l’islamisation de leur pays ?
Voici un autre passage de l’article de M. Décaillet : « Méconnaissance totale de l’Histoire des religions. Ignorance crasse sur ce qu’est l’Islam. Ou d’ailleurs, le judaïsme, le christianisme. On a le droit, parfaitement, de s’opposer à une religion, il ne saurait en République exister de dogmes ni de délit de blasphème. Mais par pitié, qu’on le fasse en connaissance de cause. Cela signifie, avant de stigmatiser, connaître. Et pour connaître, il faut s’informer. Apprendre. Lire, et lire encore. Le domaine religieux, qui m’intéresse comme on sait de très près, est l’un de ceux qui supportent le moins l’amalgame ou l’approximation, l’étiquette lestement collée. Je ne parle pas ici de la foi (je ne m’exprime jamais sur ce sujet), mais de l’aspect historique, culturel, textuel qui doit être maîtrisé lorsqu’on s’exprime sur une religion. Notamment sur l’une des trois religions du Livre (judaïsme, christianisme, Islam), qui précisément, au fil des siècles, a exprimé leurs sensibilités par la voie de textes. Il conviendrait, un minimum, de se frotter à ces derniers ».
Les « aspects historiques » des Maures et de l’Empire Ottoman semblent être ignorés par M. Décaillet. Les Maures, des Musulmans qui ont conquis une bonne partie de la péninsule Ibérique, ont occupé une bonne partie de l’Espagne et du Portugal pendant huit siècles.  Les guerres des Ottomans dans le Nord de l’Afrique, dans le sud-est de l’Europe et en Asie, on fait qu’à la fin du XIXème siècle, l'Empire Ottoman contenait une partie de la péninsule balkanique, la Syrie, l'Anatolie, la Palestine, le Kurdistan, une partie de l'Arménie, l'Arabie et le Nord-Est de l'Afrique. Il y avait aussi des pays plus ou moins indépendants, qui en tant que vassaux de la Sublime Porte, étaient obligés de payer aux Turcs d‘énormes impôts de toutes sortes. Ce dernier groupe, contenait la Bosnie, l'Herzégovine, l'île de Chypre et les Principautés Roumaines, qui étaient sous la suzeraineté des Ottomans depuis quatre siècles. L’impérialisme islamique est loin d’être une nouveauté.
Les déclarations de l’Iran, de la Palestine et du DAESH, entre autres, de vouloir détruire l’Etat d’Israël et de faire disparaître le peuple juif et d’autres peuples « infidèles », les intentions islamistes de transformer l’Europe et le reste du monde en califat, existent et son bien connues, y compris les barbaries du DAESH, les massacres des chrétiens par les nombreuses organisations terroristes islamiques d’Afrique et pas seulement, parmi lesquels le Shebab somalien, Aqmi, Boko Haram, Ansar Dine, Ansar al-Charia ou encore Mujao - le Mouvement pour l'unicité du Djihad en Afrique occidentale, Al Mourabitoun, Al Mouletamoun, il y en a beaucoup d’autres.
Rappelons aussi la discrimination des dhimmis dans les Etats islamiques et les nombreuses tueries par décapitation et lapidation et les punitions par des coups de fouet, toutes commises publiquement, en Arabie Saoudite et pas seulement.
Que dire de la défense par Hani Ramadan, à la télévision suisse en 2010, de la lapidation des femmes pour adultère ? Dans une vidéo tournée en 2011 à Dallas aux Etats-Unis, le frère de Hani Ramadan, Tariq Ramadan, (les deux sont citoyens suisses), qui déclare être un modéré, en tant que participant à une assemblée d’ICNA (Islamic Circle of North America), une organisation islamique américaine qui avait invité plusieurs imams radicaux, lance aux musulmans un appel à coloniser les États-Unis. Dans une autre vidéo, on a vu Tariq Ramadan qui dirigeait une prière en arabe, demander à Allah de frapper les ennemis de l’Islam.
Le site gouvernemental canadien l’a décrit, en 2010, comme un « visionnaire » qui « occupe  une place unique parmi les principaux maîtres à penser de l’Islam ». Le ministère des Affaires étrangères du Canada a publié sur son site web une entrevue faisant l’éloge de Tariq Ramadan, penseur de l’Islam qui aime se décrire comme un modéré, mais dont les propos souvent controversés soulèvent des questions. Finalement le, ministère canadien a supprimé l’article de son site internet. Petit-fils du fondateur des Frères Musulman, lors d’une conférence donnée à l’université McGill en Novembre, à Montréal, Tariq Ramadan, qui n’était pas contre la lapidation des femmes adultères, avait accusé l’Occident d’alimenter les divisions qui incitent les terroristes à commettre leurs crimes : « L’Ouest veut diviser pour régner alors qu’il faut s’unir ». Tariq Ramadan, qui enseigne à la prestigieuse université d’Oxford en Angleterre, dirige aussi une chaire de recherche sur la Charia au Qatar, financée par la reine de l’Émirat du Golfe persique et soutenue par Youssef Qaradawi, un des imams les plus radicaux du monde musulman, qui prône entre autres le meurtre des homosexuels.
N’oublions non plus ce qu’a déclaré, il n’y a pas longtemps, l’imam Marwan Muhammad dans la mosquée d’Orly, en France : « Qui a le droit de dire que la France dans trente ou quarante ans ne sera pas un pays musulman ? Qui a le droit ? Personne dans ce pays n’a le droit de nous nier cet espoir-là. De nous nier le droit d’espérer dans une société globale fidèle à l’islam. Personne n’a le droit dans ce pays de définir pour nous ce que c’est l’identité française ». Ces déclarations, révoltantes et anti-françaises, se trouvant dans le livre d’Elisabeth Schemla, intitulé Islam, l’épreuve française, Plon 2013, illustre l’impérialisme islamique, dont l’Occident est aujourd’hui la cible principale.
Ne pas laisser non plus de côté le barbarisme, la violence, le manque d’éducation et de bon sens de pas mal d’immigrants venus en Europe, dont la grande majorité est musulmane, leurs viols, leurs agressions sexuelles, leurs incendies, leurs refus de s’installer dans des localités et des logements qui ne leur conviennent pas, les impolitesses des hommes musulmans envers les femmes fonctionnaires de l’Etat allemand, le refus des deux élèves musulmans de Suisse allemande à serrer la main de leur institutrice, le toupet des immigrés qui ont manifesté à Lausanne en 2014 pour protester contre le fait d’être installés dans des bunkers, où, par manque d’autres moyens, ils étaient logés temporairement. Faut-il vraiment les respecter ? Tout ceci est en train de changer la vie des pays qui reçoivent ces vagues d’immigrés. Ces réalités font vraiment partie de « l’ignorance crasse » concernant l’islam ?
La plupart des gauchistes, des naïfs, des mal-informés, des pro-Arabes, des islamophiles, pas mal de politiciens de droite et de centre et toute la presse politiquement correcte de l’Europe, y compris celle de la Suisse, ne voient pas, ou ne veulent pas voir, les effets et les conséquences des énormes vagues d’immigrants qui ont envahi l’Europe en 2015 et qui ne font que continuer de l’envahir. Rappelons qu’avant le tsunami d’immigrants de 2015, la grande majorité des malfaiteurs condamnés, en Suisse et en Europe, étaient déjà des étrangers, la plupart arrivés du Moyen-Orient et d’Afrique. Après le grand million arrivé en 2015, rien qu’en janvier 2016, plus de deux cents milles immigrés sont entrés en Europe, dont la plupart en Allemagne. Au total, il y en aura beaucoup plus cette année que l’année passée. L’évolution dramatique et accélérée de la situation européenne place les arguments de M. Décaillet de l’autre côté de ce qu’il aimerait démontrer.
La méconnaissance, pas vraiment « totale », de l’Histoire de la religion chrétienne, existe quand-même, surtout depuis que, dans les pays où l’Etat s’est séparé de l’Eglise, la religion chrétienne ne fait plus partie des programmes scolaires. Depuis, l’athéisme a beaucoup évolué, prenant aussi la direction de la haine et de la violence. En France, la laïcité est utilisée contre le christianisme, pas contre l’islam. En France, des mairies interdisent l’installation des crèches de Noël dans des locaux publics, des statues religieuses chrétiennes sont évacuées des lieux publics, le port de la niqab, voile islamique qui, sauf les yeux, couvre entièrement le visage des femmes, quoique interdit par la loi, est de plus en plus accepté et de moins en moins puni, alors que la viande « halal » gagne les assiettes françaises et la mixité tend à disparaître de certaines activités scolaires et sportives. Toutes ces nouveautés, disons sociales, sont inspirées et dictées par le Coran. La prise en compte de toutes ces réalités sont-elles vraiment la conséquence de « l'ignorance crasse sur ce qu’est l’Islam » ?
Un grand spécialiste de l’Islam, excellent journaliste, collaborateur du site LesObservateurs.ch, Mr Sami Aldeeb, juriste chrétien de nationalité suisse d’origine palestinienne, professeur universitaire en Suisse, France et Italie, nous apprend l’essentiel sur le Coran : "Il est divisé en deux parties : un Coran mecquois plus ou moins acceptable, et un Coran médinois, violent et contraire aux droits de l’homme qui discrimine les femmes et les non-musulmans. Les musulmans doivent abandonner le Coran médinois, et revenir uniquement au Coran mecquois. Les musulmans doivent reconnaître qu’à travers les siècles ils, ont commis et continuent de commettre, en application de l’enseignement du Coran médinois et des récits de Mahomet, des crimes contre les non-musulmans et les ont discriminés (dont le massacre d’environ 80 millions d’hindouistes parce qu’ils n’étaient pas des gens du livre), ont discriminé et continuent à discriminer les femmes, et ont recouru et continuent à recourir à des châtiments cruels et inhumains. Les autorités suisses doivent interdire la distribution et l’usage du Coran dans sa forme confuse actuelle et exiger que seul le Coran par ordre chronologique circule en Suisse et dans le monde, avec lieu de jouer à la victime, les musulmans doivent reconnaître leurs crimes, et affirmer leur volonté de faire un acte de pénitence, et de remettre en question, et en profondeur, les normes de leur religion pour les rendre conformes aux normes prévues dans la Déclaration universelle des droits de l’homme et dans la Constitution suisse ». (Ce passage fait partie d’un article de Mr Aldeeb publié dans LesObservateurs.ch  le 21 avril 2016).
M. Décaillet partage-t-il les opinions de nombreux leaders occidentaux. David Cameron, Angela Merkel, Robert Cazeneuve, et beaucoup d’autres, y compris Barack Obama, affirmant que le terrorisme n’a rien avoir avec l’islam et que les musulmans sont la chance de l’Europe et de l’Occident. ? Un ministre allemand affirmait, il y a quelques jours, que l’immigration sauvera l’Europe de la consanguinisation.
Tous les musulmans ne sont pas des terroristes, mais tous les terroristes sont des musulmans, de souche ou des nouveaux convertis. Adeptes du Coran, de celui médinois, lors de leurs attaques terroristes et avant de se faire exploser, ils hurlent "Allahou Akbar". L’islamisme est d’abord un courant de pensée musulmane, essentiellement politique, autrement dit un régime politique totalitaire. Ses lois et ses politiques sont inspirées par le Coran. Peut-on ne pas rapprocher l’islamisme de l’islam ? Où est l’amalgame ?
Je suis, comme M. Décaillet, pour le respect de toutes les minorités ethniques et religieuses, y compris les musulmans. Il y en a qui sont intégrés et qui vivent comme les Suisses. J’en connais quelques-uns qui sont polis et bien éduqués. Je suis pour le respect de notre minorité musulmane, à une seule condition, celle qui ne mettra pas en danger notre identité, nos traditions, et notre civilisation. Etant moi-même un ex-réfugié politique, je suis pour une politique qui peut recevoir des réfugiés et des immigrés économiques, y compris musulmans, mais elle devra garder leur nombre bien en dessous du celui qui remplacera les ethnies locales, ce qui se passe actuellement en France, Allemagne, Angleterre et dans d’autres pays d’Europe.
Nous garderons notre identité et notre civilisation, uniquement si les musulmans ne dépasseront pas le nombre qui fera changer notre identité. En France, en Allemagne, et pas seulement, l’arrivée massive de migrants sont en train de remplacer les ethnies actuelles, c’est vrai, en forte dégringolade démographique. Depuis longtemps ces pays auraient dû trouver les solutions à cet immense drame, par exemple en aidant financièrement les familles d’avoir plus d’enfants et d’intégrer les minorités dans notre civilisation. Oui pour le respect de nos minorités, mais aussi pour notre majorité, ce qui est encore plus important.
Vu l’évolution de la situation actuelle de l’immigration musulmane majoritaire, de leur croissance démographique et de la correctitude politique des gouvernements, les pays de l’Europe deviendront des Califats, ce qui est très possible.
La plupart des musulmans depuis longtemps installés en Europe, ne s’opposeront pas, par peur surtout, aux actions de la Charia, activées par les dirigeants des futurs Califats. Français de souche est une notion devenue honteuse et insultante, comme celle de race blanche. Ceux-ci, comme les français d’origine étrangère, intégrés et assimilés, mais non musulmans, deviendront des dhimmis. Ce sera, très probablement, le moment où tous les musulmans entreront, pas tous par conviction, dans le même panier.
C’est un avenir que la Suisse, vu sa diminution démographique, ses dimensions, sa position géographique, mais surtout les fausses orientations de la majorité de ses politiciens, aura de la peine à éviter. Que deviendra-t-elle entourée par plusieurs états islamiques ?

Stefan Racovitza, 29 juillet 2016

 

 

 

4 commentaires

  1. Posté par Pierre H. le

    Monsieur Décaillet tombe dans le même panneau que beaucoup de monde, à savoir, penser que tout a la même valeur. Toutes les religions se valent, toutes les idéologies politique se valent, etc.
    Parce que moi je suis gentil et je veux le bien des gens, donc tout le monde est gentil comme moi et veut mon bien aussi. Ce n’est qu’une question de débat ou de “casser le morceau” avec l’autre avec qui on aurait des différents. Hélas, ce n’est pas comme ça que ça marche et hélas, il n’y a pas que des gens de bonne volonté.
    Porter cette équation revient à dire, pour les religions, qu’elles sont toutes bonnes à la base mais certaines ont été dévoyées ou mal comprises ou encore perverties. Or rien n’est plus faux que ça. Les religions ne se valent pas et toutes n’étaient pas nécessairement bonne dès le départ. Toutes n’ont pas la même histoire, toute n’ont pas le même but, toutes ne sont pas créées dans le but d’aider l’Homme ou de l’assister dans la souffrance. Ce n’est pas parce qu’elles ont le label de “religion” qu’elles sont toutes identiques avec des interprétations différentes.
    Alors qu’un homme en attaque un autre, l’un fera tout pour tuer l’autre alors que l’autre retiendra ses coups pour ne pas faire trop de mal à l’attaquant, voulant seulement le mettre hors d’état de nuire. Donc leurs motivations sont diamétralement opposées ainsi que leurs intentions.

    Il en est de même pour les religions et il faut admettre que certaines peuvent être mauvaises dès le départ. Quand bien même certains parlent de les réformer et d’enlever le néfaste, comment cela peut-il être possible avec une idée et philosophie de base mauvaises ? C’est comme vouloir réformer “Mein Kampf” de Hitler pour le rendre bon. Il n’y a rien à réformer, là. C’est à jeter. Ou à garder pour information de ce qu’il ne faut pas faire.

  2. Posté par Bussy le

    M. Décaillet parle d’inculture….
    Sait-il que l”islam, c’est le coran, le coran c’est la charia et que la charia a été déclarée incompatible avec la convention européenne des droits de l’homme ?
    Le respect des lois et conventions est primordial dans une démocratie, n’est-ce pas M. Décaillet ?

  3. Posté par Alain le

    Excellent article !
    Merci M. Racovitza

  4. Posté par G. Vuilliomenet le

    Sur l’islam, j’ai toujours trouvé Décaillet très limité.

    On ne peut que remercier Stefan Racovitza de nous le rappeler.

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