Unique au milieu des pays de la Terre, le régime étasunien insiste pour que ses lois et diktats priment sur la souveraineté des nations. Washington impose aux ressortissants étrangers l’autorité de ses tribunaux et affirme leur compétence extraterritoriale sur les activités étrangères que Washington ou des groupes d’intérêts étasuniens désapprouvent. Le pire résultat du mépris de Washington à l’égard de la souveraineté des pays, est peut-être l’oppression exercée par Washington sur des ressortissants étrangers uniquement sur la base d’accusations de terrorisme sans aucun élément de preuve.
Considérons quelques exemples. Washington a d’abord forcé le gouvernement suisse à trahir ses propres lois bancaires. Il a contraint la Suisse à abroger ses lois sur le secret bancaire. La Suisse est prétendument une démocratie, mais les lois du pays sont décidées à Washington par des gens non élus par les Suisses pour les représenter.
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Les USA ont réussi à renvoyer au monde entier une image extrêmement attrayante de leur pays. Cela leur a ainsi permis notamment d’y attirer les plus grands cerveaux (Einstein, Werner von Braun,…), plus grands businessmen et financiers, les meilleurs artistes, les plus grands stratèges, etc. Ils profitent abusément de cette situation de suprématie, dans tous les domaines. Lorsque leur dette leur explosera à la figure, c’est-à-dire une fois qu’il n’y aura plus d’or à voler auprès des autres pays, qu’ils auront encaisser des milliers de milliards d’amendes factices au auprès des multinationales/banques/gouvernements du monde entiers, qu’ils auront réussi à réduire le reste de la planète en esclavage, après avoir imprimé des trillons et des trillons de USD et manipulé puis tués des milliards de gens, ils feront quoi ? Une petite élite de richissimes banksters et de décideurs US va se retirer sur Mars pour contempler de loin le chaos qu’ils auront installé sur Terre ? Ils auront réussi à retourner tous les peuples les uns contre les autres, pour qu’ils s’entretuent.
Au moins les U.S.A. ont le mérite de d’abord penser à leur autochtones et de défendre leurs intérêts avec détermination. Pas comme chez nous, où nos “dirigeants” baissent leur culottes à chaque nouvelle demande venant de l’europe (la seule et unique organisation criminelle achevée). Qu’est-ce qui est mieux : être trop méfiant vis à vis de potentiels terroristes ou d’être en mode bisounours “tout le monde il est gentil tout le monde il est beau” ? De plus, bien souvent ces islamistes ont déjà passé à l’acte avant qu’une seule preuve n’aie été trouvée…
Le pays qui a inventé le concept de marketing en use et en abuse.
Selon photoshop et ses calques, le premier d’entre eux est évidemment celui du marketing. Vendre, l’Amérique démocratique et généreuse, au monde. Pour cet exercice, elle possède un excellent représentant, toujours souriant de toutes ses dents bien blanches, à moins qu’il ne verse quelques larmes, ou qu’il nous conte quelques anecdotes des plus hilarantes, very charming!!!
Et pendant ce temps, les autres calques s’occupent à mettre le monde à feu et à sang et à ruiner la planète et l’humanité.
C’est pas beau ça, on s’en tord de rire!
Mais ça marche, pour combien de temps encore, that is the question?
Il y a longtemps que je lis Paul Craig Roberts, cet ancien membre de l’administration du président Reagan et ex-reporter du Wall Street Journal. Il a fait bien du chemin depuis. Il connaît fort bien son pays et son histoire.
Il convient de voir que les Américains sont les critiques les plus fins et les plus durs des Etats-Unis (à cet égard, on citera William Blum, Morris Berman et Chalmers Johnson). La raison en est simple: les Etats-Unis sont la dissimulation même, et le vacarme idéologique et culturel de ce pays qui nous inonde jour et nuit depuis 1945 sert naturellement cette dissimulation. Les critiques américains sont plus à même de pénétrer cet écran de fumée. (Il y aussi la question de la langue, car l’anglais, contrairement au sentiment initial qu’on peut avoir, n’est pas une langue facile à maîtriser. Le globish (global English) ânonné par les hypermondialisés n’est pas à confondre avec l’anglais. C’est une des langues les plus dévoyées de la planète.)
Naturellement, Roberts a parfaitement raison.
Bon, c’est aussi parce que nos dirigeants se comportent aussi dignement que des serpillères mouillées. Si on est un chouia malin et qu’on ne part pas dans une crise de Parkinson à la moindre de leurs paroles, pour eux, se serait déjà un peu plus difficile…
@conrad.hausmann
Nous savons aussi que les USA sont de grands bluffeurs… Nous savons qu’ils savent faire croire à leur population que c’est un honneur de servir dans leur armée car ils sont le camp du bien qui va démocratiser les sauvages du reste du monde et donc, ils arrivent à trouver de la chair à canon assez facilement dans leurs rangs… Nous savons aussi que depuis la 2ème guerre mondiale, les seuls opposants contre lesquels ils se sont battus étaient des chameliers armés de kalashnikov… Qu’est-ce que nous pouvons constater ? Ils ont une opinion publique extrêmement frileuse quand il y a des morts dans leur propre camp, c’est pourquoi jusqu’à présent, ils ont réussi à faire des guerres presque 0 mort dans leur propre camps, mais en étant super armés contre des chameliers, comme mentionné plus haut. Nous savons que quand ils ont fait la guerre au Vietnam et que les “bodybags” arrivaient par milliers au pays, l’opinion était catastrophée et les pacifistes ont fait un foin d’enfer, ce qui a en quelque sorte mis fin à la guerre. Donc aujourd’hui, face à une armée moderne, ils ne feraient pas autant les malins que contre des chameliers et il faudrait commencer à s’attaquer à leurs bases extérieures à leur pays…
On est d’accord.Mais qui ose encore émettre la moindre critique? L’impérialisme américain est un concept tout-à-fait juste…malgré la fin du communisme.Pire depuis la fin du contre-poids russe l’arrogance des coybows a doublé…