Par Caroline Alamachère
Avec mon acolyte Guy Sauvage, qui proposera une vidéo dans les prochains jours, nous nous sommes rendus dans ce qu’on appelle « la jungle » de Calais.
Ce qui frappe d’emblée lorsqu’on arrive à Calais ce sont ces doubles barbelés qui entourent la ville sur des kilomètres. Manifestement ils sont neufs, le métal brille encore. Calais est donc une sorte de vaste prison à ciel ouvert dont il semble qu’il soit plus facile d’y entrer que d’en sortir.
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Je suis tellement écœuré que je n’ai même plus le goût de hurler ma haine à l’encontre des salopards qui ont laissé s’établir une situation pourrie de cette espèce. L’heure n’est plus aux votes, plus aux manifestations : elle est à l’action directe, brutale, radicale.