En moins de 2.000 ans l'Occident a connu une évolution spectaculaire. Là où un empereur romain se faisait assassiner s'il ne plaisait pas à ses troupes, nous nous contentons de commentaires, de caricatures... du vote démocratique. Les colonisations destructives ont fait place à des systèmes permettant éducation, santé, travail dignes des colonisés. Le servage a été remplacé par le travail librement choisi et des allocations sont offertes à ceux qui le perdent ou n'en ont pas (encore). Les malades sont soignés, ceux qui ne savent pas se prendre en charge sont nourris, hébergés...ceux qui seront toujours une charge pour la société ont le droit d'avoir de nombreux enfants que la société entretient. Tout le monde a le droit de voter. Sans l'holocauste, nous serions convaincus de la supériorité de l'Occident !
Nous ne pouvons oublier l'holocauste mais voulons pourtant croire à notre supériorité. Pour nous en convaincre, nous encourageons l'arrivée sur notre sol de peuples que nous aurions autrefois maltraités mais qui auront – par notre bonté, notre accueil, nos soins... nos aveux de culpabilité à leur égard – droit à une vie « bonne ».
Oui, l'homme est bon ! Il est même tellement bon qu'il envisage une planète surpeuplée avec la conviction que manger moins de viande, poluer moins, consommer moins, se montrer plus gentil, plus altruiste, plus tolérant... résoudra tous les problèmes. Chacun veut croire que les autres se conduiront ainsi.
La surpopulation est liée à l'hygiène, la médecine, les progrès en agriculture que l'Occident dans sa bonté a offerts à toute la planète. Et là où, sur 12 enfants, 9 mouraient en bas âge, quasi tous survivent. Ma mère estimait que l'Occident se devait de les nourrir « pour plaire à Dieu ». Elle donnait de l'argent à 36 organisations charitables et je n'aurais pas osé lui dire de donner plutôt en faveur du planning familial pour éviter les horribles massacres qui se font avec « la pilule de 20 ans après ». Ces massacres sont perpétrés par des êtres humains qui ne trouvent pas de place dans un monde surpeuplé, des êtres frustrés de ne pouvoir vivre dans la société idéale présentée par les médias, des humains furieux de n'être qu'un numéro dans un environnement dégénéré. Pour énormément de gens, partout au monde, la vie n'a aucun sens (1), ils se sentent ridicules, la bonté à la mode les exaspère. La bonté est vue comme une faiblesse. Une preuve de cette faiblesse : la possession d'une arme à feu défensive est interdite aux particuliers qui ne peuvent se défendre contre un banditisme grandissant de plus en plus souvent impuni. Les armes de guerre s'accumulent chez des frustrés bien décidés à montrer qu'ils ne sont pas un numéro et à prendre entièrement le pouvoir tandis que l'armée disparaît...
Toute la bonté du monde, toutes les méditations style Matthieu Ricard ne donneront pas de « poids » à ceux qui ne supportent pas d'être en surnombre, de ne pas exister vraiment, et nous voyons les horreurs commises près de chez nous. Ces horreurs sont rendues possibles par la fanatisation que nous présentait déjà Homère dans l'Iliade (2). Aucun grand homme politique ne pourra arrêter la boule de neige qui se forme et j'ai bien peur d'entendre : « Une bonne guerre va nettoyer tout ça et on pourra recommencer à zéro ». Quelle qu'elle soit – qu'elle vienne de l'intérieur ou de l'extérieur – la guerre mondiale qui débute mettra fin à la bonté occidentale !
Est-il encore possible d'arrêter la boule de neige ? Je ne vois que la démocratie directe sur le modèle suisse, le modèle athénien rendu possible par internet. Et ce système doit tenir compte de ce que savait déjà Homère il y a près de 3.000 ans : l'homme n'est ni bon ni mauvais, il est par nature un prédateur et ce prédateur a besoin d'exister, d'être connu et reconnu.
Claude Brasseur, Belgique, 6 avril 2015
1)Pendant des millénaires, elle en a eu un, bien évident : survivre
2)Lisez le livre d'Alessandro BARICCO... au moins le commentaire de Mia Vossen.
Les Grecs anciens ont disparu, les Romains aussi. Les Aztèques, les Mayas, les Égyptiens “pharaoniques” eux aussi sont devenus de lointains souvenirs historiques. Il existe pourtant un peuple presque aussi ancien que les Sumériens, et il est toujours là. Pourquoi? Probablement parce qu’il prend sa source dans un livre , une tradition immuable, et la volonté de survivre. C’est le peuple juif.
Dans l’homme, tout est bon… comme dans le cochon de payant, ou dans le Peillon de cochant, aux jetons de présence à la “Neuchâtel Université très socialiste”. Matthieu Ricard est assurément un philosophe éclairé, si bien qu’il a complètement éteint le très scolaire Raphaël Enthoven “aux petits pieds” et à l’esprit médiocre, en conformité avec la caste minable des animateurs bavards des télés superficielles. Mais Matthieu Ricard n’est assurément pas un conseiller politique éclairé. La spiritualité devrait lui suffire pour nous aider à comprendre un “monde autre” que la tyrannie socialiste.
Le christianisme cause de notre “bonté”? Il faut lire comment les “Chrestiens” se conduisaient envers les autres dans l’Empire romain finissant!! Je crois à de l’opportunisme: tant que nous sommes “bons”, nous ne sommes pas dangereux pour des gens aussi nocifs que nos politiciens, les grands lobbies, les producteurs de pétrole etc…
Toute cette bonté dégoulinante possède une seule origine: le christianisme. Il faut que l’homme européen comprenne que les valeurs du christianisme sont consubstantielles à note propre destruction. Cette religion sémite importée du désert est étrangère à l’Europe et sa nature universelle et humaniste est en train de nous mettre à mort.
Quant au chantage à l’holocauste: stop! Voilà qui est typiquement judéo-chrétien de faire de la pleurniche une religion. Voilà qui est typiquement judéo-chrétien de préférer les martyrs aux héros! Ce culte de la faiblesse me dégoute. Notre civilisation millénaire se meurt sous nos yeux, mais on préfère pleurer sur l’holocauste. Et pour ceux qui refusent de pleurer ou qui émettent des doutes devant le vide documentaire abyssale sur la question des preuves, on créer des lois pour les envoyer directement en prison. Heureusement, avec cet espace de liberté qu’est internet, les gens ont désormais accès à l’information et peuvent se faire leur propre avis sur la question.
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Serge Klarsfeld: “La stratégie des faurissonniens, c’est de brandir la moindre imprécision pour réduire à néant les témoignages. C’est pourquoi nous nous apprêtons à éditer un ouvrage monumental de J.-C. Pressac sur Auschwitz-Birkenau, ce camp qui a été le plus grand abattoir jamais inventé et où ont été gazés quelque 1.3 millions de juifs. Le livre représente sept ans de recherches et constituera enfin la preuve des preuves.”
VSD: “Parce qu’il n’y avait pas encore de vraies preuves?”
Serge Klarsfeld: “Il y avait des débuts de preuves qui embarrassaient les faurissonniens, mais ne les avaient pas encore réduits au silence. Notamment deux lettres analysées par Georges Wellers, et datant de 1943, qui parlaient l’une d’une cave à gazage, l’autre de trois portes étanches au gaz à poser dans les crématoires. Seulement, face à des gens aussi pointilleux que les révisionnistes, il faut des documents imparables.”
VSD du 29 mai 1986, 40 ans après le procès de Nuremberg, 4 ans avant la loi Gayssot.
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Les Grecs ont fait mieux que de mettre leurs envahisseurs romains à la porte : il les ont “colonisés” intellectuellement. N’oublions pas que l’élite romaine faisait ses “humanités” en Grèce. Combien de philosophes Romains faisaient précéder leur non de “Atticus” ? C’est d’ailleurs pour cela qu’il n’y a pas eu de traduction en latin classique des œuvres et écrits scientifiques et philosophiques grecs : à Rome, on savait lire la langue d’Aristote. Cela parce que Rome était perméable à la civilisation qu’elle avait conquise.
Il n’en va pas de même avec l’envahisseur barbare auquel nous sommes affrontés. Lui, comme tout crétin de barbare, veut nous imposer sa langue, sa religion et ses mœurs antédiluviennes. C’est pourquoi le seul moyen de lui résister est de le mettre à la porte, en déployant contre lui une violence supérieure à la sienne. Oui, il est temps d’en finir avec cette “bonté” imbécile qui nous tue. Puisque la guerre est inévitable, car elle est commencée, faisons-la sans esprit de recul.
N’oublions pas que les Grecs anciens n’ont pas “foutu à la porte” leurs envahisseurs… le peuple grec a disparu!
“La guerre mondiale qui débute mettra fin à la bonté occidentale”
Le nombre de personnes qui expriment leur raz l’ bol démontre que la “bonté” est bel et bien terminée.
Cela me rappelle la dame qui, il y a déjà quelques années me dit ” On a bien foutu les Allemands à la porte, on finira bien par foutre aussi “ceux-là” à la porte”…