ND Ch. H. La Suisse est désormais responsable de toutes les exactions à travers le monde: Si elle refuse l'asile, elle peut être condamnée. Bien entendu, ce Tamoul ne portera pas plainte contre son pays mais contre... la Suisse. Notre tradition humanitaire se retourne contre nous! Notre peuple est désormais forcé de financer, héberger, nourrir toutes les personnes qui rencontrent des problèmes dans leur propre pays.
Pendant ce temps, la Confédération appelle à faire des économies. Mais évidemment pas dans le cadre de l'asile ou de l'aide au développement pour les autres pays.
Marcel Bosonnet, avocat du Tamoul de 35 ans qui avait été arrêté à son arrivée au Sri Lanka, veut obtenir le retour de son client immédiatement après sa libération prochaine.
Les autorités suisses ont admis par la suite que les risques avaient été mal évalués et ont suspendu les renvois au Sri Lanka. L'épouse et les enfants sont revenus en Suisse après deux mois et y ont obtenu l'asile.
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Si l’on est un”vrai” réfugié c’est qu’on est poursuivi en général pour des activités politiques contre le régime en place ou pour des motifs religieux et l’on cherche refuge dans un pays voisin dans l’espoir de retourner au plus vite dans son pays pour y continuer sa lutte. Il est extrêmement suspect de parcourir des milliers des km pour demander l’asile dans un pays à l’autre bout du monde comme la Suisse dont ces gens ne connaissent ni la langue, ni les habitudes, et dont le climat est à l’opposé du leur. Quels conclusions en tirer ? Nous sommes devenus les idiots utiles de toutes ces personnes qui ont l’air de croire que tout leur est permis car nous leurs accordons ce dont ils n’auront jamais pensé avoir droit dans leurs pays et ils L’EXIGENT MAINTENANT!
Tolérance zero avec ces envahisseurs.
La Suisse n’a aucunement vocation à recevoir des tamoul venant du Sri Lanka, c.-à-d. Venant de l’autre côté de la planète. Ces gens foncièrement ingrats doivent être hébergés dans leurs proximité en cas de nécessité.
Le moins que l’on puisse dire c’est que l’on marche sur la tête, nos dirigeants et d’autres se moquent de nous, il est urgent et vital d’arrêter une part importante des démarche d’accueil des réfugiés et de recycler dans d’autres secteurs de l’économie un grand nombre de gens qui s’occupent du social et dont c’est le gagne pain.