6 commentaires

  1. Posté par Francilien le

    La solution est que les pays de l’EURO appliquent …..les lois de l’émigration que tout le monde a connu, dans les années 1965 à 1980 …..j’ai vécu ces expériences, lorsque ces années-là pour pouvoir “immigrer” en Australie, Nouvelle-Zelande et au Canada, c’est trois pays où j’ai pu immigré et travailler dans mon métier (imprimerie)….. d’abord il fallait procéder en remplissant un formulaire pour une demande d’immigration. Ensuite, il était obligatoire d’obtenir un contrat de travail, lequel était confirmé par un employeur. C’est seulement lorsqu’on pouvait prouver qu’un émigrant avait obtenu un contrat de travail AVEC L’AUTORISATION des autorités du pays accueillant, le visa d’entrée était accordé.

    …….pas de contrat de travail préalable = aucune autorisation d’entrée au pays (Australie, Nouvelle-Zelande, Canada)

    Schenguen = depuis 1985 c’est une passoire !

    A. B. Francilien

  2. Posté par Vautrin le

    Il est vrai que l’article passe du coq à l’âne.
    Néanmoins, il offre la possibilité de réfléchir à propos des accords de Schengen, et sur ce point il y a beaucoup à dire. La disparition des frontières à l’intérieur de cet espace intra-européen aurait dû avoir pour conséquence un durcissement des conditions pour franchir les frontières extérieurs de l’union européenne. Or c’est tout le contraire qui s’est passé, il y a perméabilité dangereuse de ces frontières. Le résultat est difficilement contestable : des vagues d’émigrés (et parmi eux, il n’y a pas à en douter, des djihadistes) se déversent sur les plages du sud de l’Europe. Ces personnages parviennent à franchir légalement ou clandestinement les espaces de contention, et ils traversent l’Europe, campent sous le métro parisien, s’entassent à Sangate etc… Si tous ne présentent pas un danger immédiat, tous grèvent le budget des pays forcés de les accueillir, avec un rendement en retour de la dépense voisin de zéro.
    Il est donc urgent de dénoncer l’accord de Schengen et de redonner aux pays le contrôle de leurs frontières.

  3. Posté par Pierre H. le

    @JeanDa : “@Pierre H: Je pense que l’auteur voulait parler du crash des accords de Schengen, voire de l’ue ”
    —-
    Titre de l’article “Crash de Germanwings : l’Allemagne veut changer les règles de Schengen”

  4. Posté par JeanDa le

    Bonjour,
    Mieux vaut tard que jamais ! Certains commencent à peine à se rendre compte que la passoire Schengen ne sert à rien et que son inutilité pose problème … vingt-cinq ans après la signature …
    Le fait de ne pas appliquer le filtre prévu à la frontière de l’ue fait de l’europe un fruit sans sa pelure protectrice et elle pourrit.

    @Pierre H: Je pense que l’auteur voulait parler du crash des accords de Schengen, voire de l’ue …

  5. Posté par G. Vuilliomenet le

    Je me suis posé la même question. Ne voulait-on pas dire changer certaines règles (lois) de l’UE en ce qui concerne le secret médical? Mais à lire l’article du Point, il ne s’agit pas de cela. Article stupide au demeurant, à moins que ce ne soit le ministre allemand de l’Intérieur Thomas de Maizière qui déblatère en mélangeant serviettes et torchons. Je pouffe quand je lis ce genre de conclusion stupide:

    “Une réforme de l’espace Schengen n’aurait en rien évité la catastrophe du vol 4U9525. Mais elle pourrait à l’avenir empêcher de possibles attentats.”

    A moins que cet accident ne soit l’occasion rêvée de remettre les contrôles aux frontières quasimment interdites par les règles de l’UE. Par contre, ce genre de propos remet en avant les doutes de ceux qui pensent à un attentat que l’on aurait voulu nous cacher.

  6. Posté par Pierre H. le

    Qu’est-ce que l’espace Schengen a à voir avec un crash dû au suicide d’un pilote dépressif ? Je vous le demande ?

Et vous, qu'en pensez vous ?

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