Comme tous les Français, j’ai été atteint dans ma chair par cette semaine sanglante.
Comme eux, je suis blessé par cette guerre portée sur notre sol par des bêtes sauvages surgies d’un autre âge, excitées par une idéologie totalitaire.
Comme eux je tiens à manifester mon indignation et ma colère.
Indignation accrue par la récupération de cette colère populaire par Hollande et toute sa clique.
Je n’irai donc pas à cette grand-messe, qui me rappelle jusqu’à en vomir ces moments de guimauve nationale (la coupe du monde de football par exemple) où ceux qui nous précipitent vers l’abime croient utile et nécessaire d’en rajouter une couche, pour célébrer les joies du « vivre ensemble » et l’artifice d’une « unité nationale » qui n’existe plus.
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La messe est dite. Effroyable mais d’une éclatante lucidité.