La facture «à plusieurs dizaines de milliers de francs» promise à l'organisateur de la manif pro-palestinienne du 1er novembre à Sion, est loin de faire l'unanimité. La liberté de manifester pourrait être entravée, estime un éminent juriste. En Valais, les positions varient, pendant qu'à Genève, on réfléchit toujours aux suites à donner aux violences de début octobre.
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La facture «à plusieurs dizaines de milliers de francs» promise à l'organisateur de la manif pro-palestinienne du 1er novembre à Sion, est loin de faire l'unanimité. La liberté de manifester pourrait être entravée, estime un éminent juriste. En Valais, les positions varient, pendant qu'à Genève, on réfléchit toujours aux suites à donner aux violences de début octobre.
La police cantonale avait, la première, indiqué vouloir faire payer à ce dernier, une certain Gaël Ribordy, les heures travaillées ce samedi-là par ses dizaines d’agents déployés pour maintenir l’ordre.
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