
🇨🇠La souveraineté bradée à Bruxelles – La Suisse doit sortir de l’illusion bilatérale
Depuis 25 ans, on nous vend les accords bilatéraux comme un compromis pragmatique : ni adhésion à l’Union européenne, ni isolement. Une « voie médiane », censée garantir l’accès aux marchés européens tout en préservant notre souveraineté. Mais l’exemple du transport aérien, mis en lumière récemment par Die Weltwoche, montre que cette voie est en réalité une lente mais sûre dissolution de notre autonomie dans un carcan juridique et technocratique européen.
L’intégration sectorielle que le Conseil fédéral s’apprête à étendre à de nouveaux domaines comme l’électricité, l’alimentaire ou la libre circulation des personnes, suit exactement le modèle déjà appliqué dans l’aviation civile. C’est-à -dire : une adoption automatique du droit européen, sans codécision réelle, sans vote populaire, sans débat démocratique.
Prenons un cas concret : celui des pilotes d’hélicoptères suisses. Jusqu’en 2023, une tolérance permettait de voler jusqu’à 65 ans. Puis Bruxelles a fermé la porte, sans discussion, fixant une limite à 60 ans. Résultat ? Une hémorragie de compétences, un gaspillage de talents et d’argent, et un désastre pour les petits opérateurs alpins. Le Parlement suisse a bien tenté de proposer une licence nationale. Mais le Conseil fédéral a obéi : interdiction de bouger. L’article 23 de l’accord ne permet aucune flexibilité unilatérale. Fin de l’histoire. La loi européenne prime. Point final.
Et que dire de cette prétendue “influence suisse” via les comités mixtes ? Un mythe. Les 1’700 pages de règlement de l’Agence européenne de sécurité aérienne (AESA), envoyées en anglais, sans négociation, imposent leur diktat à nos PME locales. Nous ne décidons rien. Nous subissons.
Faut-il attendre que les mêmes aberrations tombent sur notre marché de l’électricité ? Que nos paysans se retrouvent pris dans les rets de la bureaucratie alimentaire bruxelloise ? Que notre droit du travail soit modelé par la logique de libre circulation sans limite ? L’intégration sectorielle n’est pas un outil de partenariat. C’est un cheval de Troie.
La Suisse n’est pas un canton européen. Elle est un État souverain, avec une tradition unique de démocratie directe, de neutralité active, et de subsidiarité concrète. En continuant à céder notre capacité d’agir à des organes étrangers, nous trahissons cet héritage.
La véritable leçon du transport aérien n’est pas technique. Elle est politique : chaque “bilatérale” est une soustraction de souveraineté. L’Europe n’intègre pas la Suisse. Elle l’annexe juridiquement, morceau par morceau.
Il est temps d’avoir le courage de dire non à cette dynamique d’assujettissement. Pas pour se fermer, mais pour rouvrir le débat démocratique. Retrouvons la maîtrise de nos lois, de nos institutions, de notre avenir.
Parce que la liberté ne se délègue pas.
Au fait, avez-vous pensé cette année à soutenir la Garde aérienne suisse de sauvetage (Rega) ?
Un petit rappel amical : votre don peut faire une grande différence.
Soutenez-les dès maintenant ici : https://www.rega.ch/fr/danscecasrega-coeur
Ludovic Malot, 26.07.2025

2. suite de 1.
Avec nos salauds, on a l’inflation qui est une ponction sur les retraites et sans correctifs. On doit absorber toute l’immigration de masse qui afflue de toutes les colonies ou ex colonies europĂ©ennes et mondiales. Cette invasion correspond exactement au fiasco expĂ©rimentĂ© en rĂ©el ,avec des millions de morts lors de la rĂ©volution culturelle de Mao. Leur technique, Survolter un pays en dĂ©règlant, la politique, la justice, la police, les services sociaux et les finances avec une surpopulation de jeunes manipulĂ©s depuis l’enfance comme avec le wokisme afin de cassĂ© la lĂ©gimitĂ© des hiĂ©rarchies et la continuitĂ© des connaissances. La première conspiration a Ă©tĂ© le drame du covid qui a vu des vieux abandonnĂ©s dans des Éhpad, dirigĂ©s par d’anciens mafieux blanchis par la politique au Canada, mais aussi des masses de vieux condamnĂ©s Ă d’horrible souffrances par Ă©touffement en leur interdisant l’oxygène etc.etc. Et maintenant condamnons l’antisĂ©mitisme, mais mĂ©fions nous de certaines pseudo-luttes contre l’antisĂ©mitisme, qui ont trahis les juifs tombĂ©s dans l’illusion et n’ont pas condamnĂ© les mafias qui Ă©taient derrière Anne Sinclair et Dominique Strauss Kahn, puis Macron, pour arriver Ă pourrir la situation politique actuelle, alors qu’ils ne sont avant tout que des crypto-communistes pourvoyeurs de bonnes consciences au rabais et souteneurs d’immigration de masse. AssoiffĂ©s de pouvoirs, de fortunes et du sang de toutes les victimes françaises qui ont dĂ» supporter durant au moins 50 ans cette la constante colonisation sous prĂ©texte de tolĂ©rance et de vivre ensemble, dont la solution finale est le grand remplacement par des barbares et des zombis.
1.
Une preuve de plus, la Suisse doit soutenir sa neutralitĂ©. Les ennemis conspirateurs de l’intĂ©rieur qui ponctionnent nos finances puis nous endettent sans vergogne, devront subir ce qu’on propose dans tous les pays indĂ©pendants aux traĂ®tres. Von der Leyen n’ayant aucune lĂ©gitimitĂ© dĂ©mocratique Ă la tĂŞte de l’Europe, elle doit ĂŞtre d’urgence remise Ă sa place, c’est-Ă -dire sur le canapĂ© d’Erdogan, pour avoir occuper “sa” place par dĂ©faut, sans avoir prĂ©alablement dĂ©jĂ semĂ© la pagaille en Allemagne avec des achats inconsĂ©quents mais toujours très lucratifs en terme de commissions. Toute cette Europe est socialo-bolchĂ©vo-nazie. Le parlement europĂ©en avait la capacitĂ© dĂ©mocratique, avec le regroupement des droites europĂ©enne d’Ă©jecter ce furoncle anti-dĂ©mocratique. Les fausses droites, avec l’appui des centristes, ont servi la soupe Ă l’extrĂŞme-gauche parce qu’ils sont tellement engluĂ©s dans des corruptions avec les criminalitĂ©s mondialistes, qu’ils tiennent Ă Bruxelles uniquement pour bĂ©nĂ©ficier de l’immunitĂ© diplomatique, comme la Buzin l’a dĂ©jĂ fait, pour avoir soutenu tous le vices qui dĂ©goulinent de la prĂ©sidentielle de Macron: https://www.youtube.com/watch?v=X7p7aTGDeTs