Le président américain veut mettre fin au financement de nombreux programmes scientifiques jugés d'extrême gauche. Parmi eux, une recherche menée par des scientifiques américains à Genève.
Une étude qui s'appuie sur les essais du LHC, le plus grand accélérateur de particules du Cern, se retrouve compromise par la politique de Trump. Image: Keystone
Le président américain veut mettre fin au financement de nombreux programmes scientifiques jugés d'extrême gauche. Parmi eux, une recherche menée par des scientifiques américains à Genève.
Les programmes de recherche labellisés DEI («diversité, équité et inclusion») se retrouvent notamment dans le viseur du président américain. Depuis les années 1990, ces derniers sont destinés à promouvoir l’accès aux femmes et aux minorités à la recherche scientifique.
En janvier dernier, des médias américains révélaient l'existence d'une liste de mots-clés «bannis» visant à identifier les programmes jugés problématiques. On y retrouvait par exemple les termes «genre», «trans», «femme» ou encore «Covid».
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C’est ça, en gros. Pour pouvoir s’exprimer, il faut être soi-même une femme, un racisé ou une personne trans, par exemple. Il faut adhérer, venir d’un milieu autorisé (par qui ?) pour avoir le droit d’avoir son propre point de vue.