Autrefois, l'UDC accordait une grande importance à l'unité et à sa cohérence politique. Désormais, les querelles internes se multiplient. La ligne néolibérale de Blocher n'est plus incontestée.
Le chef du groupe parlementaire Thomas Aeschi (au centre sur la photo) s'est retrouvé en mauvaise posture samedi en disant non à la réforme de l'EFAS, le «financement uniforme des prestations ambulatoires et stationnaires» de l’assurance-maladie. Image: keystone
Autrefois, l'UDC accordait une grande importance à l'unité et à sa cohérence politique. Désormais, les querelles internes se multiplient. La ligne néolibérale de Blocher n'est plus incontestée.
Un conflit se dessine entre le libéralisme économique de Christoph Blocher, avec lequel l'UDC se distinguait des autres populistes de droite, et les exigences d'un parti «plus social». L'UDC ne doit pas «oublier les couches de revenus les plus basses», a par exemple averti le conseiller national valaisan Jean-Luc Addor dans la NZZ.
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