Les fonctionnaires du racisme veulent dissimuler la criminalité liée à l’asile et accusent l’UDC

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La criminalité en Suisse atteint des sommets. Environ 80% des personnes en détention préventive ou de sécurité ne sont pas suisses. La proportion d’étrangers et de demandeurs d’asile impliqués dans des viols, des agressions au couteau, des vols, des cambriolages, des vols à main armée et des délits violents est supérieure à la moyenne. Les exemples de la Suède et de l’Allemagne montrent qu’une immigration incontrôlée met en danger l’État de droit et la sécurité de sa propre population. La Suisse risque de connaître des conditions similaires.

Nous ne devons pas en arriver là en Suisse ! Si l’on veut résoudre les problèmes, il faut d’abord les appeler par leur nom. L’UDC thématise depuis longtemps les conséquences de la migration illégale des demandeurs d’asile et de la criminalité des étrangers, par exemple grâce à la campagne « Nouvelle normalité ? ». Des cas concrets de criminalité étrangère déjà publiés par la presse y sont exposés ; on parle donc de faits établis, avec des références, comme par exemple le cas d’une septuagénaire assassinée par un Egyptien de 39 qui a bouté le feu à l’appartement de cette dernière après son sinistre forfait : https://www.20min.ch/fr/story/vevey-vd-une-femme-retrouvee-morte-dans-un-incendie-d-origine-criminelle-103154172

C’était apparemment trop pour la Commission fédérale contre le racisme, qui a demandé à l’UDC de retirer les affaires criminelles du réseau pour « incitation » et « distorsion de la réalité ». D’autres groupes ont déposé une plainte pénale contre l’UDC pour « discrimination raciale » et le Ministère public de Berne a engagé une procédure. Pour cela, il souhaite maintenant faire lever l’immunité parlementaire du conseiller aux Etats Marco Chiesa et de l’ancien conseiller national Peter Keller (Rassendiskriminierende Kampagne? Staatsanwaltschaft will Immunität von zwei SVP-Grössen aufheben); Marco Chiesa était président de l’UDC Suisse au moment de la plainte pénale, Peter Keller secrétaire général.

L’actuel président de l’UDC, Marcel Dettling, a des mots très clairs : « Au lieu de lutter contre la criminalité importée, on met en accusation les représentants de l’UDC qui appellent ces abus par leur nom. C’est une attaque scandaleuse contre la démocratie et la liberté d’expression » !

Note aux médias : le conseiller aux États Marco Chiesa et l’ancien conseiller national Peter Keller ne s’exprimeront pas à ce stade sur la procédure en cours.

 

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