Un commentaire

1. Ils ne cessent de nous avertir ! Notre sort et, surtout, le sort qui attend notre descendance, féminidoïsée, dévirilisée… figée sur ses écrans comme des lapereaux sous l’œil du serpent, toute expression faciale abolie ! Et nous le leur reprocherions ?
   En toute franchise, nous ne devons guère en vouloir à nos enchérisseurs supposément culturels comme par ailleurs pour ces manifestations d’ingénues prévenance et générosité. Mais à soi, avant tout, incapable, voire carrément inepte à élever la chair de son sang… puis aux protecteurs de tel “enrichissement”, bien de chez nous comme parmi… Membres d’associations diversement avariées, églises et temples ; professionnels de politique (ose-t-on dire!) et de communication via le chaos et la confusion ; l’égarement pour unique horizon…
   Bonne année et heureuse à tous… aimerions-nous “devoir” dire.
   Assurément, non !

   P. S. : Je remarque incidemment que ceux qui ne se soulevèrent point contre la répression de quelque libre examen comme expression, se plaignent, aujourd’hui, d’une pléthore de “fakts- checkers” ; que ceux-là même qui feignent d’ignorer l’existence de dissidents véridiques, n’ayant exigé qu’un droit légitime et constitutionnel à la “diputatio”, ne se soucient guère de leur écrire en prison.
   En un mot comme en mille : On obtient que ce qu’on mérite, comme nous ne récoltons que ce que nous avons semé, gravement ou par défaut : « … la faillite de l’investigation… Formule commode ! Une classe ignorante la répète depuis bientôt quarante ans, et la jeune génération s’en est emparée, sans révision ; car c’est plus facile à affirmer qu’à vérifier… » (d’après Roger Martin du Gard, Jean Barois, «L’Âge critique», c. III).