☝🕶 Écoutez-bien jusqu'à la fin ! Après les informations précises données par le monsieur, la dame n'a pour argument que de dire que c'est issu du milieu conspirationnisme, des antivax, etc. On se demande le lien avec le FAIT que le programme prévoit d'enseigner la sexualité à… pic.twitter.com/Q06KVxromc
— ⚜ Eric Archambault ⚜ (@EricArchambaul7) September 25, 2023
lien vers l'émission complète, "Les beaux parleurs":
Carla Montet: Cette émission est l'exemple parfait de ce qu'est notre Service public orienté. Ici, comme quasiment dans chaque émission, le progressisme fait la loi. Le clou de la prestation du jour, c'est notre Sandrine Rousseau nationale, la sociologue Coline de Senarclens, sociologue et experte en questions de genres, une féministe woke pur sucre. Cette égérie de l'extrême gauche crie au complotisme et devient hystérique dès que quelqu'un la contredit, pourtant tout en douceur, elle est incapable d'entendre les arguments qui ne vont pas dans son sens. La RTS s'arrange, comme d'habitude, pour que la confrontation soit étouffée: un tel personnage n'est simplement pas censé être contesté.
La deuxième partie de l'émission est un échange très consensuel autour des licenciements de Tamedia. La majorité s'accorde à penser que l’État devrait en toutes circonstances continuer à financer les médias, car "l'information est un bien commun".
En fait, par exemple Nicolas Jutzet, fait office de la "droite" autorisée, la droite perestroïka, qui ne relèvera jamais que la RTS pratique à haute dose, et même à l'overdose, la promotion de la Gauche. Une vraie personne de droite ne serait jamais invitée, comme par exemple Zemmour, tandis que des "spécialistes de l’extrême droite" venus de Paris expliqueront aux contribuables captifs qu'il existe bien une extrême droite dangereuse et malodorante qui s'oppose au camp du bien.
Ci-dessous, le résumé d'un troisième volet de l'émission, où Coline de Senarclens débite sa chronique, ici à propos de la dénonciation de la Suisse par Human Rights Watch.
En effet, l'ONG met en cause le traitement des prisonniers en Suisse, car nos pauvres détenus souffrent durant la canicule, les prisons ne correspondent pas aux normes en m2, par conséquent elles ne respectent pas les besoins des prisonniers. Coline de Senarclens affirme que lorsque la température augmente à 35°, cela équivaut à un châtiment corporel. Et lorsque l’État ne respecte pas les normes, ou commet un délit (délit de défaut de climatisation), les prisonniers devraient être libérés.
Non, ce ne sont pas nos vieux, ou les personnes malades, qui préoccupent Coline de Senarclens durant ces jours les plus difficiles de l'année, mais ce sont les délinquants en prison.
Coline de Senarclens affirme que l'emprisonnement est néfaste pour les prisonniers, tout comme le fait qu'ils n'auraient pas accès à des cours ou à des activités physiques.
Elle déplore que ces conditions ne correspondent pas aux besoins de la réinsertion. Puis Coline de Senarclens pose la question d'une manière générale: par quelle raison politique, philosophique ou pénale l’État justifie-t-il cette mesure-là?
Le code pénal suisse dit que la prison doit améliorer le comportement social, l'aptitude à vivre sans commettre des infractions, que la récidive doit être évitée afin de protéger la société. Et si la prison fait échouer ses propres objectifs, ce n'est pas étonnant, car l'incarcération extrait une personne de sa vie, lui fait perdre son emploi, son logement et peut-être sa famille. Toutes ces choses traumatisantes empêchent d'éviter la récidive, d'améliorer le comportement social. La prison n'améliore pas notre sécurité, mais elle nous menace!
Puis notre sociologue s'interroge: La prison a-t-elle la vocation de punir? Assume-t-on qu'on emprisonne par désir de vengeance? Que pour faire justice, on fabrique de la criminalité et du trauma?
Si les personnes doivent payer leur dette à la société, pourquoi cela coûte-t-il autant à la société?
Quant aux prisonniers qui ont des problèmes psychologiques graves et représentent un réel danger pour la société, leur place n'est pas dans une prison surpeuplée, bien trop chaude, dont les conditions aggravent assurément sa santé!
En plus, en Suisse romande, poursuit Coline de Senarclens, on enferme davantage que dans d'autres régions, c'est une politique.
(Ndlr: En réalité, s'il y a plus d’incarcérations, c'est proportionnel à la surpopulation étrangère. Plus on est envahi, plus il y a de criminalité.)
Coline de Senarclens: Et si la torture et la peine de mort sont interdites, comment peut-on détenir des gens dans des conditions de souffrance physique qui mettent en danger leur santé?
L’État enferme à grands frais des personnes pour des raisons politiques et se justifie par les besoins de la population.
Et l'émission se termine ici, pas de droit de réponse...
PS pour rire: Suite à ce genre de chroniques, certains ont fini par demander à Monsieur Poutine de bombarder la RTS plutôt que Bakhmout. Mais Poutine n'a jamais daigné répondre. Faute de réponse, nous finirons par voter Oui à la "Redevance à 200 fr.".
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Dernière séquence des Beaux parleurs: Sylvie Perrinjaquet, présidente de la Commission écoute, conciliation, arbitrage, réparation (CECAR), qui recueille les témoignages de victimes d’abus sexuels dans le cadre de l’Église - 25 min
L'émission passe donc, à la fin, de la sexualisation actuelle des enfants aux abus sexuels de l'Église d'antan. C'est un exemple d'ingénierie sociale calculée, banale, illustrant le fonctionnement général de nos médias à subventions.
Coline de Senarclens, est scandalisée d'emblée par les abus sexuels de l’Église, et dénonce notre Suisse arriérée, qui ne reconnaît même pas le viol anal, ni d'autres formes de viol que la pénétration forcée d'une femme par un pénis. Intervention très prévisible, car ces néoféministes en veulent vraiment au pénis de l'homme Blanc hétéro, le symbole moribond du patriarcat qui les opprimerait!
D'une manière synchronisée, tous ces chercheurs, journalistes et commissions d'enquête dénoncent les abus sexuels de l’Église, une tempête anti-chrétienne soulevée dans un verre d'eau contre les prêtres abuseurs. La majorité des cas d'abus datent de 30-70 ans, et sont donc prescrits, mais pas tous. La CECAR affirme qu'actuellement cela ne pourrait plus arriver, car il y a les réseaux sociaux et... l'éducation sexuelle à l'école qui renseignent les enfants. Pourquoi la Gauche a-t-elle ressorti ces histoires juste maintenant, alors qu'il n'y a rien de nouveau, avant même que la justice fasse son travail? C'est là, la véritable question !
En pleine période électorale, l’enjeu primordial pour notre pays – l'immigration – est balayé sous le tapis par la Gauche et ses médias. Cela alors qu'il y a un autre État dans l’État, qui s'installe avec ses lois, qui grossit à vue d’œil sous notre nez.
Actuellement, et depuis longtemps, ce n'est plus la loi canonique qui fait concurrence aux lois de la Confédération, mais ce sont les lois de l'Oumma, la loi islamique, la charia, qui place les lois régissant la vie individuelle et collective des musulmans au-dessus de nos lois. Et là, pas de dénonciations, (hormis les rapports que Mireille Vallette a adressé au Conseil fédéral concernant le fonctionnement dangereux du Centre islam de Fribourg, rapports, par ailleurs, que le Conseil fédéral a rejeté.)
En ce qui concerne le comportement sexuel de l'oumma, pas de commissions d'enquêtes, pas de journalisme d'investigation, alors que la Suisse accueille des dizaines de milliers de musulmans annuellement, souvent mariés par "arrangement", et avant même d'atteindre la majorité. Personne ne met non plus son nez dans les madrassas, les centres culturels des mosquées, ni ne dénonce des habitudes sexuelles importées en Suisse qui pourraient se perpétrer dans ces foyers.
Il aurait été impensable qu'un invité de ce plateau relève que nos églises se vident, que leurs mosquées se remplissent, que le problème fondamentale est là, que notre civilisation se meurt.
Ce que j’en pense?
Merci pour la transcription et pour les commentaires, et merci à Slobedan d’être aussi zen face à Coline de Senarclens. Cette personne n’a de Femme que l’apparence. Elle se comporte en harpie venimeuse et participe avec diligence à l’abrutissement et à la perversion de notre société.
Déprimant.
”Coline de Senarclens affirme que lorsque la température augmente à 35°, cela équivaut à un châtiment corporel.”
Lorsque des millions de touristes partent volontairement en vacances chaque année dans les pays du Sud et qu’il fait 35°C ou plus, appelle-t-on cela un ”châtiment corporel” ?
Voilà une donneuse d’ordres qui donne dans l’expérimentation sur le dos de tous, donc de la société qui en pâtit et vraisemblablement aussi de son gamin, potentiel futur victime des pédophiles très intéressés pas ce genre de mère indignes pour avoir initié de telles inepties criminelles dans le monde politique. S’agit-il d’un manque de roues dans un cerveau étriqué comme ceux qu’on retrouve chez les autistes à la mode ? Elle est une yaka, à la manière de Maudet qui a pourtant réussi à ramasser 4 millions sur le dos des contribuables grâce à ses frasques traitresses à son profit et à ceux des islamistes, censurées bien opportunément par la Tribune de Genève pour en assurer la réussite. Comme quoi l’argent n’est qu’une illusion substitutive au manque d’intelligence, surtout quand on analyse les méthodes utilisées et le parcours du bestiau ou de la bestiole.
Et avec cette “yaka modifier l’écriture” pour suppléer aux difficultés de sa propre médiocrité, on peut constater qu’elle est totalement en osmose avec les anciennes expérimentations gauchiantes des mathématiques dites “modernes”, qui ont fabriqué des indigents des maths, privés à vie d’une partie importante des connaissances nécessaires à de très nombreuses professions réellement très intéressantes.
Donc la faillite de son pseudo “restaurant” à St-Jean n’est pas pour nous rassurer sur notre avenir avec de telles totalitaires, “dégobilleuses” d’ INJONCTIONS CONSPIRATIONNISTES “YAKA” et toujours à l’affût d’actions les plus imbéciles calquées sur le modèle de la Rousseau, pour suppléer aux angoisses de son vide sidéral. Ses injonctions woke sont issues directement des organisations sectaires ayant migré depuis les Etats-Unis pour dynamiter nos progrès qui étaient aptes à surpasser leur puissance déjà sur le déclin. Démontrant ainsi preuves en main, que les woke avaient bien réussi avec de telles capacités de nuisances à détruire les Etats-Unis, ce qui était du pain béni pour nos suicidaires théoriciens égalitaristes en toutes matières par défaut de neurones.
Les Américains sont devenus des cons et au nom de l’égalité nous devons donc suivre le même chemin…yaka ifaut ondoit ! A charges des contribuables de soutenir de tels fiasco pourtant très largement prévisibles, exactement sur le même chemin que la pseudo transition énergétique avec son fourre-tout obligatoire d’éoliennes, de voitures et de vélos électriques, de panneaux solaires etc. parce que ces sectes n’ont rien trouvé de mieux que de s’impliquer dans un nouveau capitalisme expérimental n’ayant de cesse que de nous intoxiquer médiatiquement avec l’aide de telles impostures sur deux pattes, qui revendiquent immédiatement plus de taxes et d’impôts pour ce faire.
D’authentiques bolchévo-nazies sous couverture SELISBOLFA (Socialo-écolo+lgbtx-islamo-bolchévo-fascistes) à l’origine d’une véritable dictatures de gangs de minorités criminelles, gorgées du fric de nos impôts et taxes détournées de cette manière, y compris avec les ONG non soumises aux impôts. Ce qui nous amène très logiquement aux soutiens scélérat à l’immigration de masse pour assurer pleinement ce chaos social, seul objectif final de leurs ambitions traîtresses inavouées.