Des drag queens payées 500 fr/h racontent des histoires LGBT aux enfants de 3-6 ans dans nos bibliothèques publiques

L’UDC fribourgeoise s’oppose aux lectures de drag queens dans les bibliothèques: débat entre Nicolas Kolly, député au Gand Conseil, UDC FR, père d'un enfant de cinq ans, et Alizée Rey, PS FR.

 

Résumé: Carla Montet

Esther Coquoz: Vevey, Nyon, Martigny, Fribourg: des hommes déguisés en femmes extravagantes, outrancièrement maquillés, une activité proposée par la Fondation Biblio-media. Ceci a dérangé Nicolas Kolly, qui a interpellé le Conseil d’État à ce sujet.
Esther Coquoz: Mais qu'est-ce qui vous dérange, au fond?

Nicolas Kolly ne se veut pas polémique, précise-t-il d'emblée. Il se pose des questions, et les répercute au Conseil d’État.
Il fait l'historique de cette mode lancée aux USA dans un but de militantisme LGBTQ. Cela vise les enfants dès leur plus jeune âge, pour leur inculquer une propagande politique, le wokisme. En plus c'est facturé 500 fr/h. Nicolas Kolly n'accepte pas qu'on éduque notre jeunesse à une pensée politique teintée.
En plus, si la ville de Fribourg a mis cela en place dans le cadre scolaire, c'est sans doute illégal, car ne respectant pas la neutralité politique.

Esther Coquoz demande à Alizée Rey si la mise en contact d'enfants de 6 ans avec des drag queens est appropriée.

Suit la plaidoirie de cette femme de loi, à la langue bien pendue. Elle est étonnée que cela puisse choquer. Il y a des contes plus traditionnels avec des princes qui viennent sauver des princesses, et de nouvelles histoires, mises en scène par diverses conteurs. Une conteuse drag queen (sic!)  a tout à fait sa place dans ces milieux. C'est la réalité dans laquelle on vit, avec une diversité d'identités de genre, différentes formes de familles. Sensibiliser les enfants à cette réalité, pour la tolérance et le vivre-ensemble... la gauchiste n'y voit aucune propagande.

Esther Coquoz  demande à Kolly: Une vision positive de la diversité, la tolérance, le vivre-ensemble, pourquoi vous vous y opposez?

Nicolas Kolly: Ce sont des contes volontairement choisis où l'identité du genre est confuse pour créer la confusion chez les tout-petits.

Esther Coquoz l'interrompt: Mais quel est le risque, NK?

Nicolas Kolly: Si on n'est pas certain que c'est bénéfique pour nos enfants, on doit s'abstenir de le faire. En tant que père d'un petit garçon de 5 ans et demi, je suis touché par la wokisation des enfants. A cet âge, un enfant est vite perturbé. A cet âge, les enfants ont besoin d'être rassurés, non pas d'être confrontés à ces personnages étranges, dont la place est dans les boîtes de nuit, pas dans les écoles.

Esther Coquoz demande à AR: Ce n'est pas trop tôt?

Alizée Rey: De quoi Kolly a peur? C'est la réalité! C'est important que les écoles et les bibliothèques présentent cette réalité que beaucoup de familles vivent au quotidien.

Nicolas Kolly: On veut sexualiser les enfants, les confronter aux transidentités. Nom d'un chien, laissez-les grandir!

Et ça tourne en rond, Esther Coquoz apportant mine de rien de l'eau au moulin de la woko-socialiste, pour faire croire aux auditeurs qu'après tout, au mieux, les deux points de vue se défendent, au pire, les UDC-istes n'arrivent pas à évoluer avec la réalité, à d'adapter à l'évolution de la société.

Alizée Rey: Un événement culturel qui donne le courage d'être soi, car les enfants sont attaqués sur les réseaux sociaux par rapport à leur différence, et c'est important de les sensibiliser pour qu'ils soient tolérants envers tout le monde. (Des petits de 3-6 ans sur les réseaux sociaux ! - mais Esther Coquoz ne bronche contre aucune ineptie si ça vient de la Gauche.)

Esther Coquoz: Rien ne vous oblige à amener votre enfant à la bibliothèque ce jour-là!

Nicolas Kolly n'est pas d'accord qu'au nom d'une infime minorité on confronte des enfants bien dans leur peau pour les perturber avec des questions inadaptées à leur âge. La santé sexuelle est déjà prise en charge par les spécialistes, c'est applicable dès le plus jeune âge.

Esther Coquoz: Cette démarche est pédagogique ou plutôt militante?

Bien entendu, Alizée Rey va trouver la démarche très pédagogique. Il y a toute une collaboration en amont avec, avec... (elle a failli dire les drag queens, mais se reprend...) avec les bibliothécaires.
Elle y voit l'aspect éducationnel (!), non pas la propagande. C'est un événement culturel.
Moi aussi, dit-elle, lorsqu'on parle de la princesse qui va être sauvée par le prince, ce n'est plus vraiment plus d'actualité. (Rire complice de Coquoz.)

**********************

Comme chaque fois qu'il y a un intervenant UDC, la RTS lui oppose un gauchiste. Les gauchistes, eux, sont interviewés seuls pour instruire le peuple sur la bonne manière de comprendre le monde.

Ici, c'est une juriste fanatisée woke de première classe qui défend avec ardeur la sexualisation des tout-petits.
Nous ignorons si à côté de sa frénésie d'activités elle a eu le temps de mettre au monde des enfants, mais qu'elle sache que beaucoup de parents passent actuellement par une tragédie sans nom en voyant leurs enfants se faire endoctriner et détruire par cette mode idéologique horrible qu'est le transgenrisme.

Madame la Socialiste, vous avez passé beaucoup d'examens universitaires avec succès, mais vous n'avez pas appris à penser par vous-même durant toute votre vie, vous êtes dirigée par votre appartenance politique totalitaire, destructrice, tout en vous donnant des airs humanistes. Vous êtes un grand danger pour tous les jeunes dont vous avez le pouvoir d'influencer la vie. Présenter comme une bonne chose le fait d'ébranler des tout-petits dans le développement de leur identité est extrêmement grave, vous ne devriez jamais avoir de responsabilités concernant des enfants.
Si un jour vous êtes mère, comment accueilleriez-vous que votre fille, perturbée par la propagande, se fasse mutiler à l'âge de 12 ans ?

Alizée Rey a un Master en droit et certificat de spécialisation en matière d’avocature, elle est juriste à l’Office fédéral des assurances sociales (OFAS) dans le secteur Questions familiales,
Présidente du comité de direction du Centre scolaire de Villars-Vert (CSVV), Membre de la Commission cantonale de la Collaboration interinstitutionnelle (CII) du canton de Fribourg, Membre de la commission d’école du Collège Sainte-Croix, Membre du comité directeur du Réseau Santé Sarine, Présidente de la Commission des indemnités forfaitaires du district de la Sarine, Présidente de la Commission sociale de Villars-sur-Glâne. elle est députée, Conseillère communale et candidate au Conseil des Etats FR. (source)

 

2 commentaires

  1. Posté par Mireille VALLETTE le

    La situation est encore plus grave
    Pédophilie et pornographie: les penchants des activistes trans (http://islamismeensuisse.blogspirit.com/)
    Le milieu elgébétiste décrit minutieusement les pratiques sexuelles d’adultes que des enfants pourraient suivre avec profit.

  2. Posté par antoineant le

    Super, je vais me recycler en ”Drag Queen” pour être bien rémunérée !
    500 balles de l’heure, je ne vais travailler qu’à 60% pour me faire du blé facile !!
    Et dire que tout cet argent vilipendé provient de NOS impôts …

Et vous, qu'en pensez vous ?

Poster un commentaire

Votre commentaire est susceptible d'être modéré, nous vous prions d'être patients.

* Ces champs sont obligatoires

Avertissement! Seuls les commentaires signés par leurs auteurs sont admis, sauf exceptions demandées auprès des Observateurs.ch pour des raisons personnelles ou professionnelles. Les commentaires sont en principe modérés. Toutefois, étant donné le nombre très considérable et en progression fulgurante des commentaires (259'163 commentaires retenus et 79'280 articles publiés, chiffres au 1 décembre 2020), un travail de modération complet et exhaustif est totalement impensable. Notre site invite, par conséquent, les commentateurs à ne pas transgresser les règles élémentaires en vigueur et à se conformer à la loi afin d’éviter tout recours en justice. Le site n’est pas responsable de propos condamnables par la loi et fournira, en cas de demande et dans la mesure du possible, les éléments nécessaires à l’identification des auteurs faisant l’objet d’une procédure judiciaire. Les commentaires n’engagent que leurs auteurs. Le site se réserve, par ailleurs, le droit de supprimer tout commentaire qu’il repérerait comme anonyme et invite plus généralement les commentateurs à s’en tenir à des propos acceptables et non condamnables.

Entrez les deux mots ci-dessous (séparés par un espace). Si vous n'arrivez pas à lire les mots vous pouvez afficher une nouvelle image.