Trois quarts des Suisses ne s’intéressent pas au débat sur le langage inclusif

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Seul un quart de la population suisse estime que le débat sur le langage «non sexiste» est important et peu de gens y font attention au quotidien. Parallèlement, des termes comme «tête de nègre» sont toujours largement répandus.

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L'article complet, comme tout ce qui sert la diffusion de la bienpensance, est librement disponible dans la majorité de la presse romande: https://www.letemps.ch/societe/trois-quarts-suisses-ne-sinteressent-debat-langage-inclusif

L'image Keystone (voir lien), venant de la Grève des Femmes "Forte.x.s, Fière.x.s, Féministes et en colère", illustre parfaitement cette manipulation idéologique, digne des temps bolchéviques, où les pays sous occupation soviétique avaient remplacé "Madame" et "Monsieur" par "camarade", terme auto-stigmatisant alors qu'il se voulait égalitaire, au service du peuple et inclusif. À l'époque, les personnes ayant des idées politiquement incorrectes étaient appelées "ennemis du peuple" (l'équivalent actuel est "extrême droite", terme aussi flou et extensible à souhait que son prédécesseur).
Aujourd'hui, la personne utilisant le langage épicène annonce immédiatement sa couleur politique, tout comme ceux qui disaient "Camarade X" étaient immédiatement reconnus comme des piliers du régime communistes.- Albert Coroz

 

2 commentaires

  1. Posté par Marie-France le

     » Ces termes font moins débat à la campagne que dans les villes » (extrait de l’article du Temps)… Les urbains n’ont rien d’autre à faire que « pinailler » sur des sujets idiots alors qu’il y a d’autres préoccupations bien plus importantes ! En 1453, lors du siège de Constantinople, alors que les Ottomans ‘apprêtaient à prendre la ville, les religieux byzantins discutaient du sexe des anges… ce fut la fin de l’Empire byzantin…et on remet ça aujourd’hui avec le sexisme, quasiment le même sujet !! Décidément c’est une obsession On n’a donc guère évolué….

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