Surréaliste: Un couple avec bébé, présenté par la RTS comme exemple de pauvreté, dispose de 7 à 8’000 francs par mois

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Cenator

RTS: émission A bon entendeur - Inflation : prix à la gorge

1er exemple RTS: Madame Barlea, 4'500 fr brut, + 500 fr de sa sœur, dans l'émission, est en larmes quand elle explique qu'elle doit se priver de nourriture pour pouvoir fournir le minimum à ses enfants, qu'elle doit regarder son budget au centime près.

-"Souvent, je n’ai pas mangé pour pouvoir leur donner à eux" - elle peut emporter la nourriture invendue de la station service, où elle est gérante.

2e exemple: Le couple Cottin, afro-suisse avec un bébé, "doit regarder de près le prix des courgettes" (dès 7:32), mais il dispose de 7 à 8000 francs brut.

L'émission nous conforte dans l'idée que les journalistes de la RTS  n'ont aucune notion de la réalité des finances du peuple suisse.

Si les exemples du reportage de la RTS pleurent misère, que peuvent dire les retraités qui vivent avec moins, sans indexation au coût de la vie, sans subsides, sans déduction fiscale?

Et que vont faire ces pauvres avec la baisse du niveau de vie qui ne fait que commencer, baisse causée aussi par notre participation insensée aux sanctions contre la Russie qui se cumule avec notre politique énergétique hors sol, qui ont causé ensemble l'augmentation des prix de l'énergie et des conséquences que cela va déclencher en chaîne.

Hélas, la baisse du niveau de vie ne va pas pour autant rendre la Suisse moins attractive à l'immigration, ce qui permettrait d'espérer une amélioration de notre qualité de vie. Car même avec une baisse drastique du niveau de vie, les ressortissants de l'UE, ainsi que de la majorité des pays extra-européens, vont continuer à vouloir venir chez nous, tant notre générosité nous a rendu mondialement célèbre.

Quant à la baisse de notre qualité de vie, ce n'est qu'une catégorie d'immigrés hautement qualifiés qui est rebutée à l'idée d'immigrer en Suisse. Ces personnes manquent sur notre marché du travail parce qu'elles constatent que nos impôts, taxes et réglementations ne sont plus compétitifs, que nos routes sont surchargées, que le prix de l'immobilier est prohibitif, sans rapport avec les salaires. 
Les maisons-clapiers qui sortent actuellement de terre pour pallier la pénurie, les habitants entassés les uns sur les autres, agissent comme un repoussoir pour bien des étrangers hors filière de l'asile.

La Suisse a recueilli en peu de temps beaucoup trop de migrants faiblement formés, peu utiles voire inutiles à notre économie, avec des avoirs de vieillesse lacunaires ou inexistants, et par surcroît souvent en mauvais état de santé, faisant exploser le nombre des candidats à l'AI, au chômage chronique et à l'assistance. Sans parler des incompatibilités culturelles.
Nous sommes persuadés qu'aussi bien économiquement que pour les autres aspects sociétaux examinés sous l'angle des intérêts du peuple suisse, l'immigration de masse présente un bilan extrêmement négatif. C'est bien pour cela qu'aucune recherche honnête n'a été faite sur ce sujet au cours des quarante dernières années, -la recherche sociale est gangrénée par le biais progressiste. Et faute de pouvoir  évaluer objectivement comment notre avenir se dessine avec l'immigration de masse, nous allons tout droit dans le mur.

Voici un exemple par l'image; la part des personnes qui ne s'assument pas financièrement, donc inadaptée à notre économie, est proportionnelle au rapport Suisses de souche/étrangers.

Une propagande médiatique en flux continu nous inculque que l'immigration nous enrichirait, que le constat de la réalité serait raciste.

Par exemple, Le Temps publie une série d'articles pour nous persuader qu'une Suisse surpeuplée, serait pour notre bien, même si cela pose quelques problèmes d'aménagement.
Nos médias diffusent depuis quarante ans ce genre de manipulation d'opinions, qui a été méthodiquement mis en place pour maintenir le blocage mental dans la population, qui sert à empêcher de remettre en question la libre circulation et l’immigration de masse.

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LeTemps.ch - "LA SUISSE À 9 MILLIONS, C’EST GRAVE?"

Ces immigrés qui financent aussi la protection sociale suisse

LA SUISSE À 9 MILLIONS, C’EST GRAVE? C’est une peur récurrente: celle de voir les étrangers avoir un accès trop facile aux assurances sociales suisses. Mais d’année en année, les rapports du Secrétariat d’État à l’économie sur les effets de la libre circulation des personnes démontrent le contraire [...]

Abonnés: https://www.letemps.ch/suisse/immigres-financent-protection-sociale-suisse

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Construire en hauteur n’est pas la panacée

LA SUISSE A 9 MILLIONS, C’EST GRAVE? Les projets de tours et de constructions hautes se multiplient en Suisse. S’ils marquent le paysage urbain, leur impact en termes de densification est à relativiser [...]

Abonnés: https://www.letemps.ch/economie/construire-hauteur-nest-panacee

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RTS - Inflation: "Une fois les factures payées, il ne me reste absolument rien"

A bon entendeur - prix à la gorge / 44 min. / 9/5/23

Au rayon alimentation, les produits premiers prix sont particulièrement touchés par l’inflation. Les ménages qui achètent au moins cher sont ainsi frappés par des hausses plus sévères que ceux qui peuvent s’offrir des produits hauts de gamme. Certains se retrouvent pris à la gorge.

À Roche, dans le canton de Vaud, Andreea Barlea s’occupe à plein temps de la station-service Tamoil, de quoi gagner environ 4500 francs brut par mois. Mère célibataire, elle vit avec ses deux enfants et sa sœur, qu’elle héberge le temps de ses études à l’Université de Lausanne.

Pour son ménage, la hausse des prix de l’alimentation est insoutenable. "Ça a eu un impact énorme. Je fais la plupart des courses en France. Je ne peux pas me permettre plus de 800 francs par mois", explique la Chablaisienne.

"Une fois les factures payées, il ne me reste absolument rien (…). Mes enfants grandissent vite, il leur faut en permanence des habits, des chaussures. Souvent, je n’ai pas mangé pour pouvoir leur donner à eux".

Inflation à deux vitesses

Ses difficultés sont emblématiques de celles que connaissent les foyers suisses à petit budget. En avril, l’inflation atteignait 2,6% sur l’ensemble des produits et services mais au supermarché, certains tickets de caisse ont nettement plus augmenté.

La hausse du prix des aliments d’entrée de gamme est en effet beaucoup plus forte que celle des autres produits comme le montrent les calculs de l’émission "A Bon Entendeur" de la RTS. Ainsi le prix des œufs "M-Budget" a-t-il bondi de 37% en une année, soit 9 centimes par œuf, tandis que dans le segment haut de gamme, le prix des œufs bio de la Migros n’a augmenté que de 5,5%, soit 4 centimes par œuf.

Le phénomène s’observe pour toute une série de produits. Alors que l’augmentation moyenne des céréales petit-déjeuner est de 6,1% sur un an, elle atteint 20% au niveau des premiers prix à la Coop et à la Migros, 22% chez Lidl et 22,3% chez Aldi. Idem pour le sucre dont le prix a gonflé de 17,6% en moyenne, alors que pour l’entrée de gamme, la hausse atteint 44,4% à la Coop et 44,9% chez Aldi et Lidl.

Les prix de Lidl et Aldi s'envolent

Les hard discounters ont par ailleurs perdu de leur attractivité. Le panier type du magazine "Bon à Savoir" coûte 9,9% plus cher aujourd’hui chez Aldi qu’il y a douze mois. Chez Lidl, la hausse atteint 7,7%, alors qu’elle n’est que de 3,2% à la Migros et de 1,7% à la Coop.

Si les chaînes allemandes restent meilleur marché que Migros et Coop, l’écart se resserre et les clients qui achètent au moins cher sont là encore les plus frappés par les augmentations de prix.

Situation critique

Pour le chef du service des affaires sociales de la commune de Carouge, la situation est critique. "Soit d'une manière ou d'une autre, il y a une augmentation des salaires, soit il y a un recalcul d'un certain nombre de barèmes pour accéder à un certain nombre de prestations, soit une partie de la population va drastiquement se précariser", craint François Berthoud.

Mais la probabilité d’une pleine compensation de l’inflation au niveau des salaires paraît faible. "Les entreprises elles-mêmes sont dans l’incertitude", observe Blaise Matthey, directeur de la Fédération des Entreprises Romandes (FER) à Genève. "Les salaires sont un élément très important du prix des produits et des services mais il y a aussi tout le reste: la matière première, l’énergie et tout cela fait que l’on doit être prudent si l’on souhaite préserver l’emploi à long terme".

Sujet TV: Alexandre Nicoulin, Yoan Rithner, Linda Bourget

Adaptation web: Julien Furrer

3 commentaires

  1. Posté par Sonny Walker le

    Le peuple suisse comme d ailleurs la grande majorite des europeens continue a se complaire dans un suicide total, aide en cela par toutes les factions de gauchiottes-verdatres et autres organisations LGBT et autres ONG criminelles envers leurs concitoyens . Que dire aussi de cette explosion de migrants economiques et clandestins, donc absolument illegaux ? Des sommes astronomiques sont vilipendees a leur profit alors qu ils devraient etre renvoyes sceance tenante , ne rentrant absolument pas dans la definition de la loi sur l asile , qui je le rappelle protege uniquement les gens victime de la guerre et de la violence !

  2. Posté par acerso le

    A l’âge de 18 ans, j’ai été victime d’un accident de la circulation routière, qui m’a laissé paraplégique complet. Sans revenu (pas de 2eme pilier à cette époque où j’étais apprenti), le revenu de l’AI seul ne me permettait que de survivre dans un studio ou un home pour handicapé, j’ai décidé de terminer ma formation professionnelle (apprentissage de magasinier-vendeur, puis d’employé de commerce de détail) et chaque soir et nuit des cours d’informatique. En tant qu’employé (analyste-programmeur), puis de patron d’une PME (SA), j’ai travaillé souvent jusqu’à 100h/semaines, sans AI, avec le statut d’employé déclaré. Durant cette carrière, j’ai dû déclarer totalement mes revenus et créer de la prospérité pour mon pays. J’ai payé des impôts comme tout le monde, en plus des charges AI/APG et 2eme pilier, et lorsque, après près de 30 ans d’handicap, j’ai décidé d’alléger ma vie quotidienne, je me suis tourné vers l’AI et leur ai demandé de m’octroyer une rente (que j’aurai obtenir dès le premier jour de mon handicap), ils ont été très sceptique, et après plus d’une année de tergiversation avant d’obtenir une rente cumulée entre l’AI et l’assurance-accident d’environ Frs. 3’800.–. M’étant marié, ma femme ne travaillant pas et s’occupant également de ma situation de paralysé, je ne perçois aucune aide pour subvenir… Alors, quand je vois que certaines personnes, n’ayant jamais cotisé dans notre pays, perçoivent un revenu aussi élevé et osent protester, j’ai honte de ma situation ainsi que celles de certains retraités, bientôt dans mon cas, ayant participé au développement de notre pays et étant si mal traité… Bien sûr, nous sommes blancs, Suisses, et devons ne pas (ou plutôt n’avons pas le droit de) nous plaindre.

  3. Posté par antoine le

    La RTSocialiste ne nous informe plus !
    ”Si les exemples du reportage de la RTS pleurent misère, que peuvent dire les retraités qui vivent avec moins, sans indexation au coût de la vie, sans subsides, sans déduction fiscale”
    Les retraités tirent vraiment la langue … la RTS les IGNORE !
    Les jeunes qui débutent dans la vie professionnelle galèrent sec ! La concurrence est rude surtout au niveau du salaire … dumping salarial provenant des offres de l’étranger ! La RTS les IGNORE !
    La diffusion de telle émission ”d’information” ne vaut pas grand chose, à part nous faire perdre du temps !!

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