Résumé: La codirectrice du festival BD lausannois, Léonore Porchet, explique que si la surface du festival BD est triplée cette année (espace offert gratuitement par la commune aux exposants), c'est pour tripler le nombre de classes qui iront visiter les lieux. Nous nous demandons qui, et selon quels critères est composé le programme des sorties scolaires du Canton de Vaud, sachant qu'il y a un PLR à la place de Cesla Amarelle?
Pour rappel, Léonore Porchet a un master en Lettres et son mémoire porte sur l'usage de la bande dessinée dans la communication politique à Genève (!). Depuis lors, elle est devenue politicienne de carrière et se présente comme spécialiste de la communication free-lance.
Thème du BD festival 2023, qui cible les jeunes/enfants:
Le réchauffement climatique et la déconstruction des "stéréotypes" de genre.
Rappelons-nous que le chantier de la Gare est un scandale sans nom (voir ici, ici, ici), que la Gauche au pouvoir essaye de faire passer en y installant toutes sortes d'animations très coûteuses pour les contribuables, que pratiquement personne ne fréquente.
La très créative Leonore Porchet a trouvé une nouvelle façon d'enjoliver la débâcle du chantier de la gare pour deux semaine, tout en relaçant l’endoctrinement de la jeunesse de Lausanne, du canton, de la Suisse romande, par ses thèmes favorits: l'alarmisme climatiste, les injustices faites aux femmes, le changement de genre et la stigmatisation des minorités LGBT.
Léonore Porchet est la Présidente Conseillère nationale Les VERT·E·S Vaud, Co-Présidente de l'Intergroupe parlementaire pour la santé sexuelle et les droits, membre du Conseil de Fondation de PROFA de la Santé sexuelle du canton de Vaud, élue Vert.e.s, députée du canton de Vaud au Conseil national depuis décembre 2019.
Résumé de l'interview de Leonore Porchet et Amélie Strobino, dessinatrice de BD.
L’exposition a grandi pour ouvrir les portes à plus de classes d'écoles, elle s'est installée à la place de la Gare, une place, précise Porchet, qui est vraiment l'avenir du canton, et Sous-gare la "Plateforme 10", (Pôle muséal de la ville de Lausanne), Événementiel va durer 2 semaines.
Les exposants ciblent les enfants et triplent le nombre des classes dirigées vers l'exposition, et ceci, dès lundi.
RTS: Comment on attire un grand nombre de visiteurs?
Porchet souligne que le 9e art, la BD est un domaine "très palpitant", en Suisse, en France et dans le monde entier ! L'exposition veut renforcer les liens entre tous les acteurs et les actrices de la bande dessinée (tout en épicène s.v.p.).
Amélie Strobino, jeune bédéiste, dit que ce sera un plaisir de rencontrer les autres auteurs et autrices, puis répète: c'est inspirant d'avoir des échanges avec les autres auteurs et autrices.
RTS: La dernière BD que vous allez présenter durant ce festival est une BD jeunesse, qui parle de l'environnement, du réchauffement climatique, avec beaucoup de poésie et de magie.
(ndlr: Mais bon-sang, laissez la population juger si la propagande des Vert.e.s et des LGBT est réellement remplie de poésie et de magie!)
Amélie Strobino est également enseignante d'arts visuels pour l'école primaire avec les 8-12 ans. (ndlr: Pauvres gosses!)
RTS: L'exposition est consacrée aux magazines de la jeunesse depuis le début du 20e siècle pour montrer l'évolution des stéréotypes de genre au sujet des filles.
Léonore Porchet: Le centre BD de Lausanne est tellement précieux! Il possède un fonds de BD à destination des fillettes, alors que partout ailleurs, ç'a été considéré comme pas important, négligeable, parce qu'à destination des filles, et ç'a été détruit. (ndlr: Les subventions ne sont jamais loin.)
Porchet exulte car même la dessinatrice engagée, Pénélope Bagieu sera présente, elle est lauréate d'un équivalent de "prix Nobel de la BD", la star de la BD, créatrice entre autres des «Culottées», ses sujets de prédilection: féminisme, LGBT, antiracisme, réfugiés, et les calories de Nutella.
Voici le personnage:
"C'est compliqué pour moi d'arbitrer ce qui est raciste ou pas, parce que le racisme, je ne le vis pas". La dessinatrice Pénélope Bagieu @PenelopeB #CPolitique pic.twitter.com/IcvhGye2GN
— C Politique (@CPolF5) March 8, 2020
Porchet: Il est important de questionner, quel message on donne spécifiquement aux petites filles, spécifiquement aux petits garçons, et quelle est la place de la BD dans les relations de genre.
RTS: Il y a aussi cette valorisation du travail de la femme dans la bande dessinée?
Porchet: Notre objectif est de montrer la réalité de la BD actuelle (ndlr: en exposant la réalité des filles depuis le début du 20e siècle...). Actuellement, il y a plus de filles que de garçons dans les écoles de BD, et le programme de l'exposition est paritaire, ce qui est normal, précise Notre Dame Vert.e.s.
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La gauche lausannoise a trouvé un nouveau moyen pour mieux "sensibiliser" les enfants, via l'exutoire de la BD verte-rouge-violette. Ces classes d'écoles dirigées vers le BD festival sont juste une variante des mobilisations pour les manifestations climatistes.
Bien entendu, la planète n'a pas été changée d'un iota, mais ces manipulations de masses ont engendré une génération de névrosés. Actuellement, les cabinets de psys sont remplis de jeunes Blancs, surtout des filles, plus émotives, plus influençables, ou de soyboys, se plaignant d'anxiété climatique, et même certains se font stériliser "pour la planète".
C'est comme avec les sectes, les gourous sont les gagnants et les perdants leurs crédules adeptes qui les font vivre.
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Et vous, qu'en pensez vous ?