Transitions de genre: l’école genevoise accusée d’écarter les parents
Selon un avocat et une juriste, une procédure interne au Département de l’instruction publique permet d’accompagner la transition sociale d’un jeune mineur sans l’accord parental. Le DIP réfute et tempère.
"Le DIP s'inscrit dans une approche transaffirmative", basée sur le principe qu'il faut valider la demande de l'enfant sans limite d'âge.
Le message de l'école: Si les professionnels de la transition et les enseignants ne peuvent pas faire avec les parents, ils feront sans eux. Ce qui prouve aux yeux du DIP que l'école n'exclut nullement les parents, ce sont parfois les parents qui s'excluent. Et lorsque les parents apprennent que leur enfant veut effectuer une transition de genre, "certains sont soulagés", car ils sentaient cela au fond d'eux, tandis que d'autres ont plus de mal à accepter.
Nous apprenons par un cas cité en exemple que la jeune fille qui se questionne et prend le chemin de la transition sera prise en charge de A à Z. Dès le premier moment, l'école applaudit et pousse le "paquet complet" offert par l'association "Le Refuge", qui défend les droits des jeunes LGBTQI+. Les parents n'ont aucun accès à la procédure, l’État sait mieux qu'eux ce qui est bon pour les enfants, car les parents peuvent s'avérer rétrogrades, ou même transphobes.
Selon le témoignage, en cas de doute en cours de procédure, la pression est telle qu'il est difficile de revenir en arrière.
résumé: Carla Montet
Grave très grave même lorsque une pseudo institution se donne des droits qu’elle n’a pas. Avec la bénédiction des « autorités « subversives connues et illégales.
Les responsables de ces turpitudes doivent être rapidement mis hors d’état de nuire quel que soit leur niveau hiérarchique.
Nos amis Genevois ont une bonne occasion de commencer le 30 avril en se débarrassant de celle qui couvre (encourage ?) de telles perversions dans son département.
On sait depuis l’antiquité que le poisson pourrit par la tête.